Du coup on peut de nouveau se permettre de refaire certaines activités qui demandent davantage un peu de discipline de sa part (style la cabane dans les arbres, je ne veux pas qu'il tombe

On fera le point avec le pédopsy à la fin du mois

Or dans HAS et Anesm / Service Bonnes pratiques professionnelles (HAS) et service Recommandations (Anesm) / mars 2012, il est donné par AE (Accord d'Experts) qu'il est noté dans ce q'il faut mettre en oeuvre prioritairement pour améliorer la qualité des interventions délivrées aux enfants/adolescents avec trouble envahissant du développement (TED) Enfants/adolescents avec TED :ACCORD D'UNE ALLOCATION D'EDUCATION DE L'ENFANT HANDICAPE
Taux d'Incapacite entre 80% et 95%
Allocation de base -
En application de la législation en vigueur, à l'étude du dossier de votre enfant, il apparait que le montant de vos depenses mensuelles, proratise sur un an, n'ouvre pas droit à un complement de l'AEEH concemant les frais de rééducation.
Un SESSAD est notifié et non effectif du fait du choix de la famille
Alors je pense qu'il doit y avoir un rapport car c'est la première année où on respecte notre choix de prise en charge. La place en SESSAD fournie d'office pour nous c'était un peu du genre (sans vouloir vexer personne) " nous savons que vous êtes végétariens mais nous vous donnons un steak à manger " ... Bon bref - tout ça pour dire que, oui, je pense que les recommandations de la HAS ont du produire un effet.Associer l’enfant/adolescent et ses parents
Respecter la singularité de l’enfant et de sa famille (AE)
Co-élaborer le projet d’interventions avec les parents (AE)
La directrice du centre de loisirs de l'anée 2011-2012 était visiblement soulagée à l'idée de NE PLUS revoir mon fils. Elle nous a conseillé un autre centre de loisirs pour 2012-2013. Dans notre dernière discussion, nous avons mentionnés que nous allions faire du camping pendant nos vacances. Elle a alors déclaré [sérieusement, ceci n'est pas un canularL'initiative en centre de loisirs était notre démarche pour re-socialiser notre enfant. Tout c'était bien passé du mois de novembre 2011 jusqu'aux mois d'avril /mai 2012 puis nous avons reçus de moins de moins de compte rendus de l'accompagnatrice du petit jusqu'à l'épisode morsure vraiment teigneuse sur un autre enfant au mois de juillet.
L'accompagnatrice dédiée à l'intégration de ce petit autiste en centre de loisirs l'a envoyé au milieu d'autres enfants, et selon ce qu"elle m'a confiée, il devait expérimenter ce qui lui passait par la tête, seul, sans explications. Elle m'a dit avoir estimé que cet enfant était trop cadré et elle a fait des "expériences de débridage" (c'est le terme qu'elle a employé quand je lui ai demandé des explications).
Les comportements problèmes avec les enfants du centre se sont installés mais personne n'a jugé utile de nous en informer. Ces comportements ne se sont pas étendus dans les autres environnements où le petit est présent tels que la maison, le manège, la piscine, les parcs, le domicile de l’assistante maternelle, etc … Mais nous avons observés des modifications de comportement. Pour rompre la routine des comportements problèmes, nous avons choisis de faire un retrait : le sortir du dispositif "centre de loisirs" pour qu'il ne soit temporairement plus en situation là où les déviances se sont développées. (et dois-je vraiment expliquer qu'il était devenu dangereux pour les autres enfants ?)
Je me sentais démunie pour te répondre sur le coup, je suis ravie de voir que votre problème est résolu. Je suis admirative quand je te lis, ta sagesse m'impressionneAlors maintenant je peux écrire avec joie que c’est complètement résolu. Il n’est plus du tout violent.
et le doute je connais bien donc je suis certainement sur la bonne voieAristote a écrit :Le doute est le commencement de la sagesse