De rien ! N'hésite pas ! En plus, je ne suis même pas en forme aujourd'hui à cause des nuits courtes depuis qu'on a le défi des 500 messages pour ta mère.
diegoc a écrit : ↑mardi 7 janvier 2020 à 15:12
Ah. Je crois que j'ai eu un problème. Ma réponse n'a pas été publiée. J'ai dû faire une erreur de manipulation.
Reviens en arrière parfois tu retrouves ton écrit.
Je suis revenu en arrière je ne l'ai pas retrouvé.
Mais je disais en substance que ma copine est très respectueuse et aimante. Tout simplement que j'ai un caractère un peu indépendant et solitaire et que c'est sans doute pour ça que je me sens vite étouffé dans les interactions sociales. Et on culpabilise vite quand on veut bien faire. Mais bon, par ailleurs ma mère a aussi été un peu envahissante donc après ça forge aussi le besoin d'indépendance.
J'ai été diagnostiqué en 2012 à Cery, on m'a collé un Trouble Envahissant du Développement.
diegoc a écrit : ↑mardi 7 janvier 2020 à 15:24
Je suis revenu en arrière je ne l'ai pas retrouvé.
Mais je disais en substance que ma copine est très respectueuse et aimante. Tout simplement que j'ai un caractère un peu indépendant et solitaire et que c'est sans doute pour ça que je me sens vite étouffé dans les interactions sociales. Et on culpabilise vite quand on veut bien faire. Mais bon, par ailleurs ma mère a aussi été un peu envahissante donc après ça forge aussi le besoin d'indépendance.
C'est ce que j'allais aussi dire à daphnée. Tu résumes là une différence de besoins entre individus. Et il me semble qu'entre NT et atypiques, un fossé peut vite se creuser malgré la bonne volonté de part et d'autre et parfois l'abus peut aussi s'installer insidieusement par la fragilité et l'ingérance de certains.
Oui, Dori, c'est exactement ça. Dans toute interaction, la part de conflit, même minime est inévitable. Il ne s'agit pas de confondre le fait qu'autrui ait d'autres besoins que soi avec le fait de lui accoler toute sa part d'erreur. Tout en sachant que ma copine est loin d'être (neuro)typique. Elle a sa part d'originalité et de difficultés.
J'ai été diagnostiqué en 2012 à Cery, on m'a collé un Trouble Envahissant du Développement.
diegoc a écrit : ↑mardi 7 janvier 2020 à 20:39
Avec mes parents c'est différent. Je leur ai longtemps attribué une part de mes difficultés. Mais bon. Je pense qu'ils y ont leur part aussi.
Rares sont les parents qui ne sont pas les premiers à morfler.
daphnée a écrit : ↑mardi 7 janvier 2020 à 12:03Voilà, aujourd'hui, exemple de message de ma mère qui me met la pression.
" Coucou (…)
J’espère que toutes tes démarches se passent bien. Je t’écris ce matin car ma journée va être chargée. (…) On peut se joindre ce soir par sms ou tél ou plus tard dans la semaine si tu es overbookée !
Bon courage !
Bisous "
Tu peux lui répondre quelque chose comme "Non, c'est tout bon, j'me débrouille. Y'a pas d'problème."
Et tu t'en fous !
daphnée a écrit : ↑mardi 7 janvier 2020 à 12:03Sur ce j'ai répondu:
"Coucou ! Moi aussi ça va être chargé les prochains temps, de toute façon on se voit bientôt donc ça va." Et je lui ai posé une question sur sa journée
Tu lui tends des perches. Elle sort le filet !
"Coucou ! Je fais mes trucs. La routine. Salut." Et tu raccroches.
daphnée a écrit : ↑mardi 7 janvier 2020 à 12:03Y'a même des moments où je comprends pas du tout. Je lui demande pas de m'appeler. Et elle tout d'un coup elle me dit "écoute je suis désolée je t'abandonne mais là les deux prochains jours j'ai ça et ça à faire et je pourrai t'appeler que dans trois jours". Mais là encore, ça m'impose un truc. J'en ai marre de ce genre de formulations.
"Tout va très bien aller. Alizée (prénom tiré au hasard pour ta mère ). Reste sereine. J'ai tout ce qu'il faut. Ça plane pour moi."
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.