Je confirme, moi qui suis une femme je chercherais plutôt une copie si pas conforme, disons presque parfaite. ^^ Surtout au niveau des hobbies, du caractère... J'ai de gros critères non négociables qui font que toute rencontre "classique" (comprenez : par hasard) est exclue d'office. Au final j'ai tendance à penser que la seule personne que je sois capable d'aimer et de supporter, c'est...moi-même ! C'est mal barré ! lolZ999 a écrit :Ouille ouille ouille ! Le sujet qui (me) tue ! Je suis tellement désabusé que j'éclate de rire en voyant le titre du sujet !
Comme tu l'auras peut-être deviné pour moi c'est zéro relation (jamais embrassé une fille de ma vie) et pourtant c'est peut-être bien mon désir le plus cher de trouver l'âme sœur, mais je ne sais répondre à aucune des questions suivantes : qui ?, où ?, quand (la question critique) ?, comment ?
Une autre question que tu aurais pu poser est : Préféreriez-vous avoir une compagne/un compagnon aspie ou non-aspie ? Pour ma part je préférerais chercher du côté des non-aspies, mon raisonnement est de trouver quelqu'un qui n'aura pas de difficultés là où j'en ai. D'ailleurs Atwood explique bien que les hommes aspies pensent plutôt comme moi, alors que les femmes aspies pensent plutôt le contraire : elles cherchent quelqu'un qui leur ressemble.
Ceux qui ont eu/ont toujours une relation, n'hésitez surtout pas à témoigner sur les difficultés rencontrées, comment la relation a-t-elle commencé, comment s'est-elle finie, etc...
L'amour, toujours l'amour...
-
- Assidu
- Messages : 270
- Enregistré le : lundi 9 février 2015 à 10:29
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
pré-diagnostiquée Aspie en 2012 à l'âge de 30 ans - pas trop envie de faire confirmer le diag par le CRA mais ça pourrait changer...
-
- Prolifique
- Messages : 2253
- Enregistré le : dimanche 9 février 2014 à 22:04
- Localisation : Suisse
-
- Intarissable
- Messages : 5331
- Enregistré le : vendredi 3 janvier 2014 à 3:44
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Je ne suis pas diag aspie
Oui, j'ai eu 7 relations de plus de 6 moisavez vous eu une ou plusieurs relations amoureuses sérieuses (plus de 6 mois...)
- 2 ans1/2 - 1 an1/2 - 1 an - 4 ans - 9 ans - 1 an - 3 anscombien de temps cela a t il duré?
Non, pas du tout. La seule relation dans laquelle je peux dire que ça c'est relativement bien passé et dans laquelle j'ai pu avoir de bons souvenirs, c'est la relation qui a duré 4 ans quand j'étais étudiante(il était très très patient et nous nous entendions très bien). La pire et la plus destructrice étant la plus longue, avec le père de mes enfants.est ce que ça s est assez bien passé?
Oui pour 4 ces relationsviviez vous ensemble?
Oui, car jusqu'à il y a peu, je ne me croyais pas capable de gérer le fait d'être entièrement seule. J'avais besoin d'une béquille affective capable de gérer ce qui doit être géré quand on est adulte(paperasses, téléphone, le quotidien en gros...). En fait, c'est dur à dire, mais je crois que j'avais besoin d'une personne qui fasse office de parent, d'amant, d'ami....... et surtout, de quelqu'un qui fasse "bouclier" lors d'interactions sociales . Quand j'en parlais à un psy que j'aimais bien il y a quelques années, il m'avait dit "prenez-vous un chien....". J'avais été très choquée par ce qu'il m'avait ditsi non,
est ce un gros problème?
Modifié en dernier par Pupuce le mardi 3 mars 2015 à 16:09, modifié 1 fois.
Officiellement non-autiste
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
-
- Assidu
- Messages : 270
- Enregistré le : lundi 9 février 2015 à 10:29
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Pupuce a écrit : Oui, car jusqu'à il y a peu, je ne me croyais pas capable de gérer le fait d'être entièrement seule. J'avais besoin d'une béquille affective capable de gérer ce qui doit être géré quand on est adulte(paperasses, téléphone, le quotidien en gros...). En fait, c'est dur à dire, mais je crois que j'avais besoin d'une personne qui fasse office de parent, d'amant, d'ami....... et surtout, de quelqu'un qui fasse "bouclier" lors d'interactions sociales . Quand j'en parlais à un psy que j'aimais bien il y a quelques années, il m'avait dit "prenez-vous un chien....". J'avais été très choquée par ce qu'il m'avait dit
Surtout que je ne vois pas en quoi le chien résoudrait le problème. En fait c'est même en prenant le mien que j'ai réalisé que j'étais encore plus "handicapée" sur le plan des émotions que je ne le croyais (et ça m'a fait un sacré choc !)...
pré-diagnostiquée Aspie en 2012 à l'âge de 30 ans - pas trop envie de faire confirmer le diag par le CRA mais ça pourrait changer...
-
- Intarissable
- Messages : 5331
- Enregistré le : vendredi 3 janvier 2014 à 3:44
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Et bien sur le coup, j'étais vraiment interloquée, je n'ai pas compris pourquoi il m'a dit ça. A la réflexion, je me dis que ce qu'il a voulu dire, c'est que sans doute ma recherche était trop utilitaire, un truc dans ce goût là. Je ne prenais pas mes mecs pour des clébards, quand même, faut pas exagérer d'ailleurs, je ne comprends toujours pas bien le sens de ce qu'il a voulu me direClaraO a écrit :Pupuce a écrit : Oui, car jusqu'à il y a peu, je ne me croyais pas capable de gérer le fait d'être entièrement seule. J'avais besoin d'une béquille affective capable de gérer ce qui doit être géré quand on est adulte(paperasses, téléphone, le quotidien en gros...). En fait, c'est dur à dire, mais je crois que j'avais besoin d'une personne qui fasse office de parent, d'amant, d'ami....... et surtout, de quelqu'un qui fasse "bouclier" lors d'interactions sociales . Quand j'en parlais à un psy que j'aimais bien il y a quelques années, il m'avait dit "prenez-vous un chien....". J'avais été très choquée par ce qu'il m'avait dit
Surtout que je ne vois pas en quoi le chien résoudrait le problème. En fait c'est même en prenant le mien que j'ai réalisé que j'étais encore plus "handicapée" sur le plan des émotions que je ne le croyais (et ça m'a fait un sacré choc !)...
Officiellement non-autiste
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
-
- Assidu
- Messages : 270
- Enregistré le : lundi 9 février 2015 à 10:29
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Je pense que c'était effectivement le message, tu recherchais plus l'utilitaire que le sentiment (aucune critique de ma part vu que j'aurais une fâcheuse tendance à faire la même chose !!)... Mais bon, ce n'était pas super clair, son histoire !!Pupuce a écrit :Et bien sur le coup, j'étais vraiment interloquée, je n'ai pas compris pourquoi il m'a dit ça. A la réflexion, je me dis que ce qu'il a voulu dire, c'est que sans doute ma recherche était trop utilitaire, un truc dans ce goût là. Je ne prenais pas mes mecs pour des clébards, quand même, faut pas exagérer d'ailleurs, je ne comprends toujours pas bien le sens de ce qu'il a voulu me direClaraO a écrit :Pupuce a écrit : Oui, car jusqu'à il y a peu, je ne me croyais pas capable de gérer le fait d'être entièrement seule. J'avais besoin d'une béquille affective capable de gérer ce qui doit être géré quand on est adulte(paperasses, téléphone, le quotidien en gros...). En fait, c'est dur à dire, mais je crois que j'avais besoin d'une personne qui fasse office de parent, d'amant, d'ami....... et surtout, de quelqu'un qui fasse "bouclier" lors d'interactions sociales . Quand j'en parlais à un psy que j'aimais bien il y a quelques années, il m'avait dit "prenez-vous un chien....". J'avais été très choquée par ce qu'il m'avait dit
Surtout que je ne vois pas en quoi le chien résoudrait le problème. En fait c'est même en prenant le mien que j'ai réalisé que j'étais encore plus "handicapée" sur le plan des émotions que je ne le croyais (et ça m'a fait un sacré choc !)...
pré-diagnostiquée Aspie en 2012 à l'âge de 30 ans - pas trop envie de faire confirmer le diag par le CRA mais ça pourrait changer...
-
- Intarissable
- Messages : 5331
- Enregistré le : vendredi 3 janvier 2014 à 3:44
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Oui, mais ne plus, c'est faux, car je recherche le sentiment aussi (bon, j'ai du mal à trouver, c'était l'objet d'ailleurs de ma discussion avec le psy)
Officiellement non-autiste
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
"J'aurais pas été besoin" Nikos Aliagas, philosophe grec des Lumières
-
- Assidu
- Messages : 270
- Enregistré le : lundi 9 février 2015 à 10:29
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Il a dû tiquer si tu lui as décrit le côté "béquille" que tu recherchais dans une relation. Mais pour un psy, sa remarque manquait quand même d'explications !Pupuce a écrit :Oui, mais ne plus, c'est faux, car je recherche le sentiment aussi (bon, j'ai du mal à trouver, c'était l'objet d'ailleurs de ma discussion avec le psy)
pré-diagnostiquée Aspie en 2012 à l'âge de 30 ans - pas trop envie de faire confirmer le diag par le CRA mais ça pourrait changer...
-
- Habitué
- Messages : 83
- Enregistré le : jeudi 22 janvier 2015 à 17:40
- Localisation : N/A
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Je précise que je ne suis pas officiellement diagnostiqué SA.
Les ruptures, non, elles ont toutes été particulièrement douloureuses d'un côté ou de l'autre (je suis initiateur de la rupture dans la moitié des cas), et aucune n'a échappé à la règle.
Des histoires n'ont aussi pas pu aller plus loin à cause de mon hypersensibilité (soit je n'aimais pas la texture de leur peau, soit leur contact). Il y a eu des filles avec qui c'était vraiment répulsif et même en se disant au début que ce n'est pas grave et que ca va changer, eh bien non ca ne change pas. Je sais que c'est cruel car la personne ne peut pas changer sa peau ou difficilement modifier sa préhension mais je n'y peux rien...
Il n'y en a eu qu'une avec qui je me suis débrouillé tout seul, mon histoire d'un an et demi. J'étais comme habité par une force surnaturelle. C'était une collègue d'un bureau étranger qui venait en France pour une réunion annuelle et que je voyais pour la première fois. On a fait une soirée, et c'était très bizarre. Il fallait absolument que j'aille lui parler, la faire me parler, la faire rire, je ne sais pas, j'étais dans un autre monde, je ne contrôlais plus grand chose J'y suis allé comme entouré d'un épais coton, limite inconscient (non je n'étais pas mort saoûl ) et ca s'est fait tout de suite, presque immédiatement. J'avais l'impression de marcher sur l'eau mais ca ne m'est plus jamais arrivé. A de rares exceptions près en soirées (alcool aidant...) ce sont ces demoiselles qui font le boulot car je suis juste un énorme handicapé de la drague.
D'un autre côté je fonctionne en tout ou rien : je ne cherche des histoires qu'avec des filles que je suis susceptible de vouloir revoir, j'ai bien eu des histoires d'un soir (ca se compte sur les doigts d'une main...) mais ca ne m'intéresse absolument pas, je n'y vois aucun intérêt. Je suis maintenant célibataire depuis 9 mois et ca ne me pose pas plus de problèmes que ça, surtout dans cette période d'intenses questionnements. En revanche ce qui me dérange le plus c'est :
1. d'être incapable de savoir si je plais à quelqu'un sans qu'on me le dise explicitement et faire le premier pas,
2. d'avoir peur de l'échec en essayant.
Alors vu qu'un de mes principes fondamentaux est que "tout s'apprend", je me force et j'essaie doucement de détecter si je plais à une fille que je trouve jolie et intéressante, et parfois même d'y aller. Pour l'instant ca se solde par des recalages en règles bon, on n'a qu'à dire que c'est le métier qui rentre Parce que quand même, se sentir bien célibataire ne veut pas dire qu'on ne se sentirait pas mieux accompagné
1 an, 1 an, 2 ans, 1 an et demi, 4 mois (je la mets car sérieux), 1 an.rebecca a écrit :avez vous eu une ou plusieurs relations amoureuses sérieuses (plus de 6 mois...)
si oui:combien,?
combien de temps cela a t il duré?
Les histoires en elles-mêmes, oui. J'ai eu la chance d'avoir pu connaitre des filles que je trouvais vraiment géniales.rebecca a écrit :est ce que ça s est assez bien passé?
Les ruptures, non, elles ont toutes été particulièrement douloureuses d'un côté ou de l'autre (je suis initiateur de la rupture dans la moitié des cas), et aucune n'a échappé à la règle.
Des histoires n'ont aussi pas pu aller plus loin à cause de mon hypersensibilité (soit je n'aimais pas la texture de leur peau, soit leur contact). Il y a eu des filles avec qui c'était vraiment répulsif et même en se disant au début que ce n'est pas grave et que ca va changer, eh bien non ca ne change pas. Je sais que c'est cruel car la personne ne peut pas changer sa peau ou difficilement modifier sa préhension mais je n'y peux rien...
Non, jamais.rebecca a écrit :viviez vous ensemble?
C'est exactement mon problème. La plupart de mes histoires ont été possibles car c'est la fille qui a fait le premier pas vers moi. En même temps mes deux premières tentatives d'aller vers des filles à 16 ans se sont soldées par deux échecs monumentaux alors ca n'aide pas, même chez un optimiste béat comme moirebecca a écrit :l homme se croyant devoir etre l initiateur d une relation est encore plus mal barré s il est aspi...
Il n'y en a eu qu'une avec qui je me suis débrouillé tout seul, mon histoire d'un an et demi. J'étais comme habité par une force surnaturelle. C'était une collègue d'un bureau étranger qui venait en France pour une réunion annuelle et que je voyais pour la première fois. On a fait une soirée, et c'était très bizarre. Il fallait absolument que j'aille lui parler, la faire me parler, la faire rire, je ne sais pas, j'étais dans un autre monde, je ne contrôlais plus grand chose J'y suis allé comme entouré d'un épais coton, limite inconscient (non je n'étais pas mort saoûl ) et ca s'est fait tout de suite, presque immédiatement. J'avais l'impression de marcher sur l'eau mais ca ne m'est plus jamais arrivé. A de rares exceptions près en soirées (alcool aidant...) ce sont ces demoiselles qui font le boulot car je suis juste un énorme handicapé de la drague.
D'un autre côté je fonctionne en tout ou rien : je ne cherche des histoires qu'avec des filles que je suis susceptible de vouloir revoir, j'ai bien eu des histoires d'un soir (ca se compte sur les doigts d'une main...) mais ca ne m'intéresse absolument pas, je n'y vois aucun intérêt. Je suis maintenant célibataire depuis 9 mois et ca ne me pose pas plus de problèmes que ça, surtout dans cette période d'intenses questionnements. En revanche ce qui me dérange le plus c'est :
1. d'être incapable de savoir si je plais à quelqu'un sans qu'on me le dise explicitement et faire le premier pas,
2. d'avoir peur de l'échec en essayant.
Alors vu qu'un de mes principes fondamentaux est que "tout s'apprend", je me force et j'essaie doucement de détecter si je plais à une fille que je trouve jolie et intéressante, et parfois même d'y aller. Pour l'instant ca se solde par des recalages en règles bon, on n'a qu'à dire que c'est le métier qui rentre Parce que quand même, se sentir bien célibataire ne veut pas dire qu'on ne se sentirait pas mieux accompagné
-
- Assidu
- Messages : 283
- Enregistré le : samedi 25 janvier 2014 à 13:08
- Localisation : Ille-et-Vilaine
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Ah la drague ! Je ne sais pas draguer et je ne sais pas reconnaître un comportement de drague chez une fille...sauf plusieurs années après ! De plus les filles qui me draguaient je les trouvais rétrospectivement repoussantes, c'était un tel mensonge...
Comme personne ne me parle à la fac rien n'est possible ("impossible is everything" c'est un bon crédo pour mes relations amoureuses), et comme je ne trouve aucun endroit où rencontrer des personnes intéressantes eh bien le résultat est là.
Le truc c'est que je rêve tous les soirs de m'endormir dans les bras de ma bien-aimée, mais je me connais, les filles que je trouve jolies me font tellement peur que je détourne le regard en les voyant arriver, comment puis-je espérer être intéressant à leurs yeux ?
Comme personne ne me parle à la fac rien n'est possible ("impossible is everything" c'est un bon crédo pour mes relations amoureuses), et comme je ne trouve aucun endroit où rencontrer des personnes intéressantes eh bien le résultat est là.
Le truc c'est que je rêve tous les soirs de m'endormir dans les bras de ma bien-aimée, mais je me connais, les filles que je trouve jolies me font tellement peur que je détourne le regard en les voyant arriver, comment puis-je espérer être intéressant à leurs yeux ?
D'un Z qui ne veut rien dire. Diagnostiqué Asperger en octobre 2013.
-
- Prolifique
- Messages : 1695
- Enregistré le : samedi 29 novembre 2014 à 20:17
- Localisation : Rennes
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
]avez vous eu une ou plusieurs relations amoureuses sérieuses (plus de 6 mois...)
si oui:combien,?
4 relations sérieuses
combien de temps cela a t il duré?
2 ans, 2 ans, 2 ans et la dernière depuis 2 ans et demi
est ce que ça s est assez bien passé?
non sauf pour la dernière mais ça a été difficile au début
viviez vous ensemble?
oui pour deux relations
si non,est ce un gros problème?
non
si oui:combien,?
4 relations sérieuses
combien de temps cela a t il duré?
2 ans, 2 ans, 2 ans et la dernière depuis 2 ans et demi
est ce que ça s est assez bien passé?
non sauf pour la dernière mais ça a été difficile au début
viviez vous ensemble?
oui pour deux relations
si non,est ce un gros problème?
non
Aspie diagnostiquée au CRA de Toulouse
-
- Nouveau
- Messages : 9
- Enregistré le : vendredi 16 janvier 2015 à 4:17
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
20 ans, non diagnostiquer, mais signe repérer, je ne voit pas se que sa peut étre d'autre sinon ^^
1 relation d'un jours, et un flirte "bien réussi"
ont as vécu ensemble une nuit dans une tante ^^
Z999>je rêve de a bien aimer aussi.... mais je ne crois plus au conte de fée...du coup j'ai taper drague sur internet, mais je suis pas du genre a trop me bouger ^^ ji vais pas a pas...
1 relation d'un jours, et un flirte "bien réussi"
ont as vécu ensemble une nuit dans une tante ^^
Z999>je rêve de a bien aimer aussi.... mais je ne crois plus au conte de fée...du coup j'ai taper drague sur internet, mais je suis pas du genre a trop me bouger ^^ ji vais pas a pas...
-
- Intarissable
- Messages : 37322
- Enregistré le : lundi 15 juillet 2013 à 15:09
- Localisation : CH
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Non, pas de relations amoureuses.
Chus pas assez sérieux.
Je préfère les libertés du célibat.
C'est loin d'être mon premier sujet de préoccupation.
Chus pas assez sérieux.
Je préfère les libertés du célibat.
C'est loin d'être mon premier sujet de préoccupation.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
-
- Habitué
- Messages : 83
- Enregistré le : jeudi 22 janvier 2015 à 17:40
- Localisation : N/A
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
C'est un entrainement. Je me suis beaucoup entrainé dans le métro à regarder les gens dans les yeux, de la façon la plus neutre possible (bon, max 5 secondes hein, je veux embrouiller personne ), et attendre que ce soit l'autre qui détourne le regard en premier (filles ou pas d'ailleurs). Ca m'a beaucoup aidé à soutenir le regard de filles qui me plaisaient par la suite.Z999 a écrit :les filles que je trouve jolies me font tellement peur que je détourne le regard en les voyant arriver, comment puis-je espérer être intéressant à leurs yeux ?
NB: sans aller jusque là quand même
-
- Intarissable
- Messages : 37322
- Enregistré le : lundi 15 juillet 2013 à 15:09
- Localisation : CH
Re: questions aux aspi:relations amoureuses
Remarque que... ça dépend aussi du type de sourire...
Bon, et imiter ces regards, c'est pas d'la tarte. Miroir, miroir !
Bon, et imiter ces regards, c'est pas d'la tarte. Miroir, miroir !
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
Diagnostiqué autiste en l'été 2014