D'ou sort elle ce chiffre, sachant que la MDPH, du 35 n'a pas moins que 4 mois de retard dans l'étude des dossiers et 4000 dossiers en souffrance ( tout besoin confondu )
Ce gouvernement fait vraiment des merveilles sur l'information
OUH LA VILAINE



Il existe déjà le réferentiel metier, pourquoi perdre du temps à en refaire un, et en attendant, ça calme tout le monde et les enfants sont en rade ( pas de Brest ) et les AVS formés aussiJean a écrit : mais également d'autres Associations membres du Comité d'Entente.
OK, donc pour une asso, il faut faire partie du comité![]()
Si la prise de conscience des pouvoirs publics a été tardive, l'ambition de ces travaux est d'aboutir très rapidement (avant Noël) à une solution pour mettre fin à la précarisation de ces personnels.
Objectif : la professionnalisation voire la création d'un métier d'accompagnant - dont le cadre d'intervention est à définir - avant la prochaine rentrée scolaire.
Je pense qu'il s'agit plutôt du cadre juridique !thierry35 a écrit :Il existe déjà le réferentiel metier, pourquoi perdre du temps à en refaire un, et en attendant, ça calme tout le monde et les enfants sont en rade ( pas de Brest ) et les AVS formés aussi
QUEL GASPILLAGE DE TEMPS alors qu'on en a tous besoin
III.1.1 L'article L. 351-3 du code de l'Éducation, dans sa nouvelle rédaction issue de l'article 44 de la loi précitée, ouvre à côté de l'accompagnement par les A.V.S.-i, prévu par le même article, et de l'accompagnement par un service d'éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) prévu par le 2° du 1 de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, une troisième modalité, subsidiaire, pour l'accompagnement scolaire des enfants handicapés à besoins particuliers plus spécifiques.
Il prévoit désormais la possibilité, pour l'inspecteur d'académie, de conventionner avec des associations aux fins d'assurer, à la demande des familles, la continuité de la prise en charge des élèves handicapés à besoins très spécifiques.
III.1.2 Ce dispositif sera utilisé pour les accompagnants ayant exercé des fonctions d'accompagnement individuel qui ne peuvent être renouvelés dans leurs fonctions avec les dispositifs actuels et qui remplissent l'une des conditions suivantes :
- les fonctions d'accompagnement qu'ils ont exercées nécessitent la mobilisation de compétences spécifiques, telles que, notamment, les aides à la communication pour les jeunes sourds ou la langue des signes française, le braille, la prise en charge de l'autisme, etc.
- les besoins particuliers de l'élève qu'ils accompagnent nécessitent un suivi par la même personne d'une année sur l'autre.
En pratique, ce dispositif a vocation à concerner principalement des personnels employés sous statut d'assistant d'éducation, plus rarement des personnels bénéficiant d'un contrat aidé.