Bonjour,
En pleine galère pour la recherche du logement idéal, je me pose pas mal de questions, notamment sur la possibilité d'une colocation entre autistes (sachant qu'avec des NT, j'ai déjà donné, plus jamais ).
Si vous vivez ou avez déjà vécu une colocation entre autistes, vos retours m'intéressent
Si jamais l'idée d'une colocation dans le sud-ouest (n'importe où dans le sud-ouest) peut vous intéresser, n'hésitez pas à me mp (sachant que je n'ai aucune piste et que je ne sois pas sûr du tout que ça soit une bonne idée ).
Bonne journée à vous
Colocation entre autistes ?
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Colocation entre autistes ?
Diagnostiqué surdoué en 2013, diagnostiqué autiste en 2016. Dyspraxique et hyperacousique (non diagnostiqué mais ça ne fait aucun doute).
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Re: Colocation entre autistes ?
De la colocation avec des personnes autistes, je n'en ai pas vécu. J'ai juste dormi parfois chez des personnes autistes, en tant qu'invité, pas en tant que colocataire.
Pourquoi pas une colocation de personnes autistes. Mais il faudrait qu'au moins une personne autiste mène les rennes avec de fermes rênes. Autrement, les sirènes risquent de retentir dans l'arène.
Pourquoi pas une colocation de personnes autistes. Mais il faudrait qu'au moins une personne autiste mène les rennes avec de fermes rênes. Autrement, les sirènes risquent de retentir dans l'arène.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Colocation entre autistes ?
Je ne suis pas d'accord avec toi freehost.
Je pense qu'on est tout à fait capables de se mettre d'accord, de trouver le moyen de communiquer malgré nos difficultés de communication, de rechercher le consensus, de faire avec les besoins et les habitudes de chacun, etc... Plutôt que de laisser une seule personne aux commandes, aussi bienveillante qu'elle puisse être.
Après il va de soi qu'on n'est pas tous fait pour s'entendre
Je pense qu'on est tout à fait capables de se mettre d'accord, de trouver le moyen de communiquer malgré nos difficultés de communication, de rechercher le consensus, de faire avec les besoins et les habitudes de chacun, etc... Plutôt que de laisser une seule personne aux commandes, aussi bienveillante qu'elle puisse être.
Après il va de soi qu'on n'est pas tous fait pour s'entendre
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Re: Colocation entre autistes ?
Bon, je me suis mal exprimé, ou pas assez précisément. Je voulais parler d'au moins une personne qui gère l'intendance. Après, le détail, les colocataires en discutent et décident en commun. Pas de dictature.
Juste au moins une personne pour gérer le côté administratif, procédurier, bureaucratique.
Tu recherches une colocation pour quoi ? Parce que c'est potentiellement moins cher ? Pour quand même garder une certaine socialisation (y compris avec des personnes autistes) ?
Je ne sais plus si tu habites loin d'Astragale, faudrait lui demander.
Bon, si, comme moi, tu as déjà de l'expérience avec les personnes non autistes, tu peux déjà anticiper les problématiques et autres points de discussion à traiter avec les personnes autistes, anticiper les similitudes et les différences.
[En ce qui me concerne, certains points de la cohabitations non anodins sont les horaires de sommeil, le niveau sonore des activités, le fait de nettoyer juste après avoir utilité (et pas juste chaque semaine), les horaires de repas (bon, on peut chacun avoir ses propres horaires), la gestion budgétaire, les projets (et les différences d'ambitions d'un colocataire à l'autre...).]
Juste au moins une personne pour gérer le côté administratif, procédurier, bureaucratique.
Tu recherches une colocation pour quoi ? Parce que c'est potentiellement moins cher ? Pour quand même garder une certaine socialisation (y compris avec des personnes autistes) ?
Je ne sais plus si tu habites loin d'Astragale, faudrait lui demander.
Bon, si, comme moi, tu as déjà de l'expérience avec les personnes non autistes, tu peux déjà anticiper les problématiques et autres points de discussion à traiter avec les personnes autistes, anticiper les similitudes et les différences.
[En ce qui me concerne, certains points de la cohabitations non anodins sont les horaires de sommeil, le niveau sonore des activités, le fait de nettoyer juste après avoir utilité (et pas juste chaque semaine), les horaires de repas (bon, on peut chacun avoir ses propres horaires), la gestion budgétaire, les projets (et les différences d'ambitions d'un colocataire à l'autre...).]
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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