Il y a quelques jours je me suis enfin souvenu de mes obsessions étant gamin alors qu'aujourd'hui encore elles me captivent sans m'en rendre compte.
Je croyais que c'était les jeux vidéo. L'envie de conduire une voiture pour faire des sauts, d'incarner un personnage en vue subjective, Un soldat lors du débarquement, un chevalier lors d'un siege, Un truand en pleine course poursuite, un bandit du far West, un espion infiltré... etc. Aujourd'hui j'ai pu réaliser tous mes fantasmes videoludiques et je me plais à y jouer encore pour l'immersion, le dépaysement et l'inspiration imaginaire qu'ils me procurent mais pas seulement.
En effet cela fait très longtemps que j'ai oublié ce qui m'avait poussé à aimer les jeux vidéo au point de saouler "mes copains" qui eux avaient les dernières consoles mais qui préféraient faire la course dehors... alala les pauvres. (ironie)
C'est quelque chose d'indescriptible. La dernière fois que j'ai éprouvé ça c'était lors d'une poursuite dans les étroites ruelles de Hong Kong après avoir tabassé un groupe du gang des triades. Oui je suis comme ça moi. (Sleeping Dogs)
Voici une marmite d'images d'exemples explicites ou subtils qui me retournent la tête ou qui l'ont fait auparavant :
En vérité elles ont toutes un point commun.Spoiler : :
Les parcours ? Les labyrinthes ? Les châteaux ? ... J'appelle ça le "Level Design" des yeux. Suivre le chemin riche en détails et franchir les obstacles.
Il est beaucoup plus agréable de créer que de parcourir. Paradoxalement ...
Je passais beaucoup de temps à dessiner et construire ce genre de labyrinthe que je faisais ensuite tester à ma sœur.
Poursuivre avec les jeux vidéo était parfaitement logique c'est la même chose. C'est à la fois procédural mais peut être aussi arborescent dans la conception des niveaux (ce qui est encore plus cool)
Quelques jeux qui collent parfaitement à cette obsession :
(Des jeux où l'on passe le plus de temps dans l’éditeur de carte que dans la campagne solo)
Voilà je sais que je ne suis pas le seul.Spoiler : :