Ah la naïveté, c'est beau ... mais ca n'est pas ce qui se passe en réalité. Le datacenter est soumis à une juridiction nationale qui s'applique aussi aux données stockées dans les disques, même si ces données sont propriétés d'une personne/organisation à l'étranger. Et aucun cryptage n'est inviolable.
Oui je pense qu'un NAS de marque est plus simple à l'utilisation.
Normalement pas, en tout cas pas un cycle d'écriture des données du fichier lui-même. Ca va faire un cycle d'écriture dans la MFT (la table d'allocation des fichiers).freeshost a écrit : Au fait, si je renomme un fichier dans un SSD, ça utilise un cycle d'écriture ?
SSD ou pas, c'est une « écriture », qui concerne une petite partie précise, l'endroit où est stocké ce nom de fichier.
Un simple renommage ne touche pas à la table d'allocation, mais tape dans la structure de l'arborescence des répertoires.
L'impact est insignifiant pour de simples renommages.
Mmm là on est dans la zone grise. Si le code a été fait sur un poste privé, qui n'est pas propriété de l'employeur, avec des outils de codage non acquis par l'employeur. Après en terme de temps de codage vs temps de travail, je pense que c'est discutable.Tugdual a écrit : ↑vendredi 11 février 2022 à 10:01 Je trouve aussi curieux que le gars se vante dans la presse de la situation, et particulièrement d'avoir développé un script pour automatiser son job pendant son temps de travail (donc ce script ne lui appartient pas), tout en envisageant de ne pas laisser ce script à sa société si elle veut se séparer de lui...
« Les cybercriminels élargissent considérablement leur champ d'action et ajoutent à leur panoplie d'outils d'attaque des malwares qui ciblent les systèmes d'exploitation basés sur Linux, afin de maximiser leur impact avec le moins d'efforts possible », explique Giovanni Vigna, directeur principal de la veille sur les menaces chez VMware. Plutôt que d'infecter un PC et de se diriger ensuite vers une cible de plus grande valeur, les cybercriminels ont compris que la compromission d'un seul serveur peut rapporter gros.
La plupart des cyberattaques visant les environnements Linux sont encore relativement peu sophistiquées par rapport aux attaques équivalentes visant les systèmes Windows.
Cela signifie qu'une approche correcte de la surveillance et de la sécurisation des systèmes basés sur Linux permet d'éviter bon nombre de ces attaques. Cela inclut des procédures d'hygiène en matière de cybersécurité, comme s'assurer que les mots de passe par défaut ne sont pas utilisés et éviter de partager un compte entre plusieurs utilisateurs.
« Concentrez-vous sur les éléments de base. Le fait est que la plupart des adversaires ne sont pas super avancés », indique Brian Baskin, responsable de la recherche sur les menaces chez VMware. « Ils ne cherchent pas des exploits uniques, ils recherchent les vulnérabilités ouvertes générales et les mauvaises configurations. Concentrez-vous sur celles-ci avant de vous concentrer sur les attaques de type "zero-day" et les nouvelles vulnérabilités – assurez-vous d'abord de couvrir les bases », ajoute-t-il.