Bonsoir,
je ne sais pas si ce fil est encore suceptible d'être suivi, mais je voulais préciser une chose primordiale...
Bien sûr en premier lieu les personnes toxiques sont a évitées sitôt que nos alertes se mettent en route, il faut s'écouter ou écouter l'entourage bienveillant, et bien sur toujours se méfier de qui montre rapidement pate blanche même quand ce n'est ni demandé, ni nécessaire...
Enfin, je vais tenetr d'expliquer simplement pourquoi un aspie ne peut être un pervers narcissique.
dfhjkjhds, même si tu as pas mal écris sur ce fil, je suis désolé ta méthode n'est pas bonne, tu prends des éléments séparés pour faire coincider ce qui te semble aller dans le sens attendu de ton illustration, ce n'est pas scientifique, par le passé on a vu ce que ça a pu donner avec certains régimes politiques...
Loin de l'angélisme, loin du "ils sont tous beaux tous gentils ces aspies", force est de constater que l'on est aspie si l'on est diagnostiqué en tant que tel, et donc on répond à quelques traits inhérents à cette condition, donc on connait des troubles de la communication, et je croit que chacun sait que la non verbale est sans doute la moins maîtrisée. Le pervers narcissique quant à lui est un maître de la manipulation, comment un aspie pourrait séparer ses relations, veiller à la non rencontre de ses victimes, lire leur failles, anticiper leurs réactions à moyen terme, se caler à l'instant T à la réaction ad hoc, etc...
Mettre en place des stratégies pour obtenir par exemple que l'on puisse s'adonner à ses intérêts particuliers, et vivre sa vie d'aspie autocentré est bien loin de la visée machiavélique du pervers narcissique...
Côtoyez des aspies d'une part et faites vous prendre en grippe par un pervers narcissique sur 30 mois quotidiennement, vous réviserez sans doute votre jugement et vous penserez que aspie + perversion narcissque = erreur dans un des diagnostic.
Voilà, ça va mieux en le disant