Ok, je réunirais raisonnement et réflexion pour finir par prise de décision (qui peut être aussi création d'une idée nouvelle par exemple, un agencement actif de la réflexion, ça devais être le sens de ton schéma).samoju a écrit :le shéma il me semble c est Besoin------>information ---> apprentissage-----> raisonnement-------> réfléxion.
Informer c'est donc pour toi pas communiquer mais fournir au fond un contexte qui permet à la personne de se servir, d'apprendre par elle même a partir de ce qui est disponible...
Mais c'est ce que font déjà tous les autistes non déficient non?
Ca ne répare pas la communication ça, ça lève juste l'effet de sur-handicap social créé par l'imposition de méthode communicationnel, c'est déjà beaucoup, énorme même, mais je crois que c'est quasiment un autre sujet.
Ici le mur c'est l'imposition d'une psychothérapie au sens de soin mentale à la personne voir a son entourage en dépit semble-t-il des cause physiologique. Jusque la moi je partage le point de vue.
L'idée du comportementalisme qui est défendu en opposition a la psychanalyse c'est d'imposer par différent levier des supports d'échanges. (comme les images).
L'idée de la psychanalyse qui n'est pas celle que l'on voit dans le film (sauf a un moment) c'est de laisser faire, d'être a l'écoute, et de se mettre en position de recevoir soi la parole de l'autre, au lieu d'imposer a l'autre de recevoir la sienne. (et c'est antinomique avec la posture de soin dirigiste de certain, peut être le plus part)
Dans les deux cas c'est l'interaction qui est en jeu, la communication en elle même, voir derrière l'idée de qui s'adapte a qui.
L'argument du comportementalisme c'est que c'est efficace pour adapter a l’échange commun, au risque a l’extrême de dénaturer l'enfant ou de le mettre a vif en lui interdisant ces retranchement, protection interne
L'argument de la vraie psychanalyse (enfin je crois que c'est ça la vraie), c'est de respecter pleinement la personne et ces impossibilités, de la laisser faire elle, au risque a l'extrême de ne pas aboutir à une rééducation efficace.
Ton schéma est un peut a mi chemin, voir un mix des deux, en imposant un contexte, une situation, un besoin, mais laissant le choix (je crois que j'ai du écrire tout ça pour le comprendre. Mais est-ce qu'on peut trouver un moyen de l’appliquer a la communication elle même?