[Doc] Le Mur ou la psychanalyse à l'épreuve de l'autisme (Sophie Robert)

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martinemj
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par martinemj »

Jonquille57 a écrit :Mais la folie n'est pas du côté que l'on croit. :naugty:


Ca c'est sûr !!!
martine, maman de Florian (30/04/1998), TED avec autisme
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Benoit
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Benoit »

En demandant l'interdiction du documentaire litigieux, les trois psychanalystes ont pris un risque. Celui d'attirer l'attention générale sur un film dont l'audience est restée confinée, jusqu'ici, aux militants de la cause des enfants autistes.
+1000.
Par contre l'autre, la dame au crocodile, on dirait qu'elle ne se plaint pas. Elle sait pas ce que c'est qu'Internet c'est ça ? :mrgreen:
La psychiatrie n’est qu’un banal instrument de contrôle social fondé sur la coercition et paré des plumes de la science médicale.
Il y aurait beaucoup à dire sur la folie et la normalité, aussi, oui...
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manu
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par manu »

[édit : 7 message depuis que j'ai commencer a écrire! j'envoie sans les lires, c'est hautement improbable que ça soit sur le même thème de toute façon]
Murielle a écrit :une machination familiale l'a jeté en prison,, puis dans le monde des fous. Il vous raconte comment cris et protestations ne servaient qu'à le rendre plus- fou pour les psychiatres.
Bah oui, et il serrait peut être bon de commencer par bien comprendre çà!

Chacun préserve son schémas, son entendement, son socle empathique qui impose a tout le monde de plier de façon a suivre cet entendement là.

Les psykk comme vous dite, moi je lit ceux qui sont enfermé dans leurs schémas, ne peuvent voir la différence. Leur théories permet de maintenir l'exacte conformité de tous les individus, leur mécanisme empathique abusif a eux. Une mauvaise action de la mère permet de maintenir a flot leur entendement, leur empathie (je me répète exprès), c'est a dire la projection que eux font sur vous.

Mais quant on projette sur quelqu'un la personne se défend par sa présence.
C'est pourquoi l'autiste qui défend mal sa position est un joker précieux dans ce mécanisme là, pour continuer a projeter ce qu'on veux en ce "miroir magique".

La notion de neuro-diversité que seul Ole quant il est là semble défendre sur ce forum il me semble est le remède, la seule position sérieuse pour faire face a ce problème de fond.

Le reste, tout le reste, c'est une guerre pour s'approprier le miroir magique, et lui faire dire ce qu'on veux y voir, autrement dit c'est faire comme eux mais pour un autre compte.
Plus vous faites la ronde en chantant autour du bûcher allumé par le film et destiné a faire brûler en enfer les hérétique, et plus j'ai peur. Peur comme dans un divorce ou chaque parent se bataille la garde des enfants au noms de leurs bien, mais en gueulant tellement qu'ils n'ont plus la possibilité de voir en l'enfant autre chose que ce qu'il sont besoin d'y voir, à savoir le bonheur s'ils sont avec eux et le malheur dans toute autres situations.

Empathie mal a propos et projection, attribution affirmative d'un état, sont les deux mamelle de l'enfer des autiste.

Que défend-t-on ici?
Les enfants autistes?
Leurs parents?
Mes méthodes de rééducation comportementales?
La réponse je crois crèves les yeux : un magmas informe de tout ça, indissociable, surtout pas dissociable.

Pourtant, pour sortir l'enfant autiste de ce rôle de miroir magique qui rends les uns et les autres fébriles, pour pouvoir efficacement combattre les abus psy, la solution est simple, c'est de ne pas fusionner l'intérêt des autistes avec celui de la psychanalyse, de ne pas fusionner l'intérêt des autistes avec celui de la thérapie comportementale, de ne pas fusionner l’intérêt des autistes avec celui de leurs parents, car dans tous les cas celui qui passe à l'as c'est l'intérêt des autistes.
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Jonquille57
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Jonquille57 »

julie a écrit : mais même là il trouverai à redire que leurs travail et bien fait
mais oui vous voyais bien madame là il n'est plus un danger pour personne :evil:
Tu ne crois pas si bien dire.

Quelques années plus tard, je suis retournée voir un psy ( pas toujours d'autres solutions sous la main en cas d'urgence ! :roll: ) et celui-ci a demandé un compte-rendu de l'hospitalisation en HP de Mysterio.

Devinez le contenu du courrier qu'il a reçu... ! :roll:

" Mysterio a été chez nous car il a fait une forte crise d'adolescence. Grâce à nos soins, il a pu sortir car son état s'était nettement amélioré. "

Bien sûr, ce ne sont pas les termes exactes, mais c'est à peu près cela. Quand j'ai entendu " crise d'adolescence ", heureusement que j'étais assise.... :shock:
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Murielle
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Murielle »

Jonquille57 a écrit :
julie a écrit : " crise d'adolescence ". :shock:
Ou comment avoir raison à tout crin.... :evil: Incroyable d'avoir autant d'EGO ou de mauvaise foi.... :naugty: :evil: :evil:
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bernard
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par bernard »

Jonquille57 a écrit :Je voudrais rajouter une chose : les psys soignent la folie qu'ils installent eux-même chez leurs patients.
100% d'accord avec toi Jonquille.
J'ai même des exemples réels dans ma région qui sont une honte.
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Murielle
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Murielle »

Info que je viens d'avoir:

SOPHIE ROBERT va être interviewée par Michel Cymes et Marina Carrère d'Encausse dans le Magazine de la santé sur France 5 semaine prochaine...MARDI 22 A 13 H 15 .... à vos agendas !!!!
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manu
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par manu »

Benoit a écrit :Il y aurait beaucoup à dire sur la folie et la normalité, aussi, oui...
Et sur la folie de la normalité.
(Ca fait le lien avec mon message.)

La folle énergie déployé pour maintenir en place les schémas de cette norme.
Le socle empathie qui présuppose qu'on "sait l'autre", alors que non.

C'est de ça dont vous avez été victime les uns ou les autres face aux psy, eux diraient un dénis de la diversité, de la complexité qui s'étend au delà de leurs champs de vision.
Vous pouvez faire l’économie de me répondre, mais pas de me comprendre si vous voulez vraiment que ça cesse.
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Jean
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Jean »

manu a écrit :Pourtant, pour sortir l'enfant autiste de ce rôle de miroir magique qui rends les uns et les autres fébriles, pour pouvoir efficacement combattre les abus psy, la solution est simple, c'est de ne pas fusionner l'intérêt des autistes avec celui de la psychanalyse, de ne pas fusionner l'intérêt des autistes avec celui de la thérapie comportementale, de ne pas fusionner l’intérêt des autistes avec celui de leurs parents, car dans tous les cas celui qui passe à l'as c'est l'intérêt des autistes.
J'aime bien cette phrase, mais je ne pense pas que la solution est "simple"... Le principe est simple, mais pas la solution.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Jonquille57
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Jonquille57 »

Il est vrai que cette phrase pourrait être super si on avait une autre solution.... Car dire " Il ne faut pas " ne donne pas la solution... :wink:
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Murielle
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Murielle »

Encore un super article sur RUE89.com: EDIFIANT!

A lire sur leur site ici
TÉMOIGNAGE04/10/2011 à 13h26
En France, si votre enfant est autiste, ne comptez sur personne

Laurent Alt
Parent d'enfant autiste
Du diagnostic de notre fils Rodrigue, à la formation d'auxiliaires de vie scolaire, nous avons tout fait nous-mêmes.


« Les Shadoks » (Jacques Rouxel).
Rodrigue, notre second fils, est né en 1999, et il y a tout de suite eu quelque chose qui n'allait pas. Il pleurait tout le temps. La nuit, il se réveillait toutes les heures. Nous pensions que cette situation allait être temporaire, mais elle a duré trois ans. Trois ans où ma femme et mois nous relayions toutes les nuits pour le calmer et l'endormir. C'était vraiment épuisant, et nous ne comprenions pas ce qui se passait.

« Des otites à répétition », c'était la seule explication que les médecins nous proposaient. Puis, de nouveaux problèmes sont apparus : il criait de manière très stridente, son regard était fuyant, il refusait de manger autre chose que des pâtes...

On suggère une psychanalyse pour ma femme

Nous avons consulté trois psychiatres. Aucun ne nous a donné de diagnostic. En fait, ils savaient, nous ne l'avons su que bien plus tard. Mais, sur le moment, ils ne nous ont rien dit : il ne fallait pas nous brusquer. Pendant plusieurs années, nous avons été baladés entre des consultations au centre médico-psychologique, qui en tant qu'organisme référent, avait suggéré :

une psychanalyse pour ma femme,
une heure de psychomotricité par semaine pour mon fils,
une heure de jeu en collectivité avec une éducatrice – qui ne comprenait rien à l'autisme –,
un peu d'école maternelle – dans une école qui ne voulait pas de notre fils.
Ça ne donnait rien, notre fils ne progressait pas.

Nous, ses parents, « ne lui donnions pas envie de parler »

Pour nous, qui avions une culture scientifique, quand il y avait un problème, on l'analysait, et on essayait de le résoudre. Là, nous nous trouvions face à des gens dont la logique était totalement opposée : pas de diagnostic, des hypothèses fumeuses et rien de concret. Il « fallait que notre enfant veuille la relation », « s'il ne parlait pas, c'est parce que nous ne lui donnions pas envie de parler », ...

Bref, comme chez « Les Shadoks », s'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème.

La psychologue scolaire ne connaissait rien à l'autisme, pas plus que la pédiatre, et l'école ne voulait pas savoir. Tout ce beau monde se renvoyait la balle. Il semblait admis qu'il n'y avait rien à faire, que l'idée même d'entreprendre quelque chose pour améliorer son état était saugrenue.

Nous nous sommes formés, grâce aux associations

Ce néant total, nous ne l'avons pas accepté. Tout d'abord, nous avons fait nous-mêmes notre propre diagnostic, en comparant les symptôme dont il souffrait aux descriptions cliniques sur des sites étrangers (américains et canadiens) : c'était l'autisme.

En mars 2004, nous avons découvert l'« ABA » (Applied Behavioral Analysis ) lors d'une conférence de l'association Vaincre l'autisme (association qui s'appelait alors Léa pour Samy), qui avait invité le Dr Vinca Rivière . Cette rencontre a été un électrochoc, parce qu'il était justement question de diagnostic, d'organisation, d'action, d'amélioration, etc. C'était ce qu'il nous fallait.

L'ABA consiste à détailler l'éducation de l'enfant en apprentissages élémentaires, et à les enseigner de manière coordonnée et progressive. En l'absence de structure en France, nous nous sommes formés à l'ABA via des formations proposées par des associations françaises et suisses, l'université de Lille-III, et ABA Espana.

Sur les forums, comme des résistants devant un poste de TSF

Ce fut un moment magique, parce que, de petites victoires en petites victoires, nous avons appris et nous avons assuré la coordination d'une équipe de psychologues, éducateurs, orthophonistes et auxiliaires de vie scolaire (AVS). Tout n'était pas parfait, mais les progrès étaient vraiment visibles et rapides. Rodrigue avait alors 6 ans ; en un an de prise en charge, il a rattrappé deux ans et demi de développement.

En même temps que nous trouvions des informations utiles sur Internet, notamment sur des sites américains comme Autism Speaks , nous étions très actifs sur des forums de parents d'autistes. Nous avions l'impression de nous retrouver comme des résistants devant un poste de TSF.

Des parents qui racontaient leurs démêlés avec des psychiatres, un bestiaire de « mères trop fusionnelles », ou « trop absentes », de « pères transparents »... J'ai réalisé alors que nous, parents, détenons bien plus de savoir que les professionnels.

Il est en cinquième, a un QI de 110... malgré son autisme

En 2005, je suis devenu le secrétaire général bénévole de l'association Léa pour Samy. J'ai découvert la spécificité de la France, où :

l'autisme est transformé en « psychose infantile »,
il est normal de ne pas annoncer les diagnostics aux parents,
la majorité des professionnels considèrent que l'autisme est un trouble contre lequel on ne peut rien faire,
les avancées de la science sont niées sous la pression de lobbies,
la Sécu rembourse néanmoins les soins prodigués en Belgique...
Il nous a fallu beaucoup d'aplomb, d'énergie et d'argent pour sortir notre fils du destin que le système français lui promettait. Ma femme est devenue une professionnelle à part entière de l'ABA. Nous avons aussi formé sur nos propres deniers les auxiliaires de vie scolaire qui interviennent à l'école.

Notre fils a un QI de 110, selon l'évaluation américaine (sachant qu'en France, on lui avait évalué un retard mental). Il est en cinquième, avec une auxiliaire de vie scolaire. Son intégration à l'école tient surtout à la bonne volonté conjointe de quelques personnes qu'à un vrai système fait pour réussir.

Nous, parents, sommes très fiers d'avoir réalisé tout cela, quel qu'en soit le coût, mais aussi furieux. Nous ne rattraperons jamais ces premières années de sa vie passées entre les mains de professionnels incompétents.
Et que dire aux parents qui ne peuvent pas aujourd'hui, pour des raisons financières, ne serait-ce qu'envisager un traitement efficace ?
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par manu »

Jean a écrit :J'aime bien cette phrase, mais je ne pense pas que la solution est "simple"... Le principe est simple, mais pas la solution.
... Réponse plaisante qui me laisse pensif, j'aimerais pouvoir répondre aussi court et simple ...

Si le principe est simple, s'il est possible de le garder en tête quant il faut se défendre contre les abus des psy, alors la bête noir a abattre pour protéger l’enfant, c'est ce qui empêche l’expression de l'enfant, pas autre chose...
Donc identifier déjà tout envahissement de cette expression, toute expression à la place de ces enfants, donc tout "conflit d’intérêt", déjà, c'est simple, et pas fait.
Jonquille57 a écrit :Car dire " Il ne faut pas " ne donne pas la solution... :wink:
Si, un début de solution.
Puisque ce n'est pas fait, puisqu'on marche sur des voix sans issue, en sortir, et garder en tête des principes simple pour ne pas marcher dans ce sens, c'est résoudre au moins déjà la moitié du problème.
Jonquille57 a écrit :si on avait une autre solution
Ici, garder ce principe au tête t’aurait fait écrire "si on avait une solution", et pas une autre solution.
Comme si ça fonctionnait mieux de fusionner l’intérêt de parant que celui des psy, alors que l'est le point de vue qui le laisse croire, car c'est toujours pas celui des autistes. :wink:
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Murielle »

Laurent Ruquier s'élève contre la censure du MUR...
A écouter....
http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emiss ... 9/?mid=531
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Murielle »

Je précise qu'une fois les présentations d'usage passées, ça débute par ça avec une intervention du psy de l'émission...; :?
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Re: Reportage : LE MUR, La psychanalyse à l'épreuve de l'aut

Message par Jonquille57 »

Ah, merci, car quand j'ai vu que la vidéo durait 98 minutes.... :roll:

Bon, j'y retourne. :wink: