snip a écrit :autisme non syndromique
!?
Voilà une expression que j'ai pas lue souvent (jamais?). Je suis curieux de savoir ce qu'elle distingue.
Un rapport avec la distinction "autisme réactionnel" dans l'acceptation plus psy qui inclurait hospitalisme par exemple ou c'est encore autre choses?
@ samoju sur le type du film le mur et concernant la psychanalyse
Si une logique t'es apparue c'est celle que je croie être la seule qui mérite le nom de psychanalyse, qui ne consiste précisément pas à soigner, mais exclusivement de recueillir la parole ou l'expression du N°1 dans ma liste, la personne elle même. Face un défaut de communication cette porteur réceptive je la trouve potentiellement importante, en n'y voyant rien de thérapeutique pour autant, si ce n'est que si une action envoyé est reçu c'est nécessairement une base d'échange.
Je suis franchement pas un pro-psychanalyse, je suis de ceux qui pense qu'il s'agit surtout de la psychanalyse de freud extrapolé abusivement la l'ensemble du genre humain, mais comme l'histoire de la compréhension de l’agencement psychique de chacun sur les communications interpersonnelle est passée par là, je pense qu'il faut pas exclusivement détourner la tête et dire c'est des méchants, mais au contraire creuser et utiliser l'utilisable pour comprendre comment un défaut de synapse peut interféré dans la communication et pas là amplifier le syndrome (là je mélange un peut exprès effet synonymique et cause physiologique car je crois en un tout qui explique l'unité dans l'identification)
Enfin, désolé si c'est un peut lourd, le point de ralliement dont j'ai parlé dans un autre sujet peut être l'identification du bug de communication. Je le crois commun a tout le spectre autistique, et il faut passer par la psychanalyse et la dépasser pour arriver a ce point là, sans sombré dans le fantasme du "c'est un gêne donc ça ne peut avoir aucun rapport avec la mère". Au contraire, c'est des défauts physiologiques identifié les uns après les autres, qui entrave la communication, ce qui explique que c'est par la communication qu'on sort d'une causalité fonctionnel très largement génétique.
Benoit a écrit :Bon, je mets mon casque de chantier pour répondre.
Ca tombe bien je crois que je suis partie a creuser le sujet à la pelle et la pioche.
J'arrive pas a faire le pont avec les fondement des principes démocratique, ou il est écrit que la démocratie fonctionne par groupement d'intérêt? (c'est une vraie question, est-ce vraiment un fondement?)
Et dans la transposition a l'autisme, d'où on peut affirmer que c'est profitable au premiers intéressées?
Chacun défend ces intérêts éventuellement ceux qu'il projettent sur l'autre. Le fonctionnement lobbyiste comme vois de l'expression je le crois caduque ici.
Mieux, je crois que les mouvements que parcours Ole et qui sont assez rare dans la francophonie fonctionne justement a l'inverse. Les défenseur de la neurodiversité sont éclaté en non-groupement, les personnes sont hyper différentes les unes des autres, et leurs revendication et leurs intérêt aussi.
Et de là, pourtant, le fond commun émerge de fait de cet ensemble, le socle d'intérêt n'est pas défendu, il décante tout seul.
Le fait d'être nombreux rend juste nombreux. aucun des exemple n'utiliser les autres pour se placer comparativement a eux en groupe fort. Et l'affirmation de soit est fonctionnelle, elle est juste interdite car rendu non recevable. Cette non recevabilité viens je crois de la défense de l'architecture pyramidale du pouvoir démocratique. C'est un fausse bonne idée, du moins a mon avis, il n'est question que de ma vision des chose, je ne prêtant pas énoncer "le vraie". C'est une fausse bonne solution que de présenter le groupe comme sortie de la timidité.
Le groupe la crée, et de toute façon j'ai toujours trouvé que les gens timides n'avait pas de problèmes puisqu'ils était fonctionnels, cette réflexion je l'ai eut au début au j’étais à l'école primaire, et je la crois toujours aussi applicable.
Le mode coquille est comme pour les coquillages a géométrie plus ou moins ouverte, et comme dans une nasse secoué le mode du regroupement pyramidale me semble plutôt aider a maintenir bien fermées les coquilles.
J'arrête ici, il y a trop a dire et c'est trop facile de glisser dans le complètement subjectif en suivant sa tranché sans avoir de point de repère fixe, et de points de ralliements factuels.
Je rappelle juste encore une fois que la circulation de l'information devrais être ce point clés de voûte de la compréhension de l'autisme, aucun autre physiologique, génétique, psychologique ou même social, ne peut avoir cette prétention, ils ne sont chacun que des piliers.