Aujourd'hui, je teste sur peau le Inej de French Avenue.
Déjà, je peux affirmer une chose : je déteste l'ouverture. Rien d'étonnant, parce que c'est une overdose de cardamome et de rhum. Et je hais le rhum, dont son odeur en tant qu'alcool.
Heureusement, il semble se poser assez "rapidement", environ 15-20 minutes après la pulvérisation. La cardamome reste mais se fait plus discrète et passe au second plan, ce qui me convient déjà plus. Quant au rhum, il se fait mettre au tapis par le cèdre ultra-puissant.
Je crois que j'aime bien le drydown. Pour l'instant en tout cas, c'est pas mal du tout. Les notes minérales y ressortent bien (comme dans Masa), l'immortelle commence à pointer le bout de son nez aussi, le cèdre y est délicieux. Mais il est très, très, très, mais alors très présent. Ce n'est clairement pas un parfum pour les gens qui n'aiment pas cette note, parce que là c'est vraiment l'overdose !
A voir comment ça évolue dans la journée. Je ne pense pas que ce parfum finira sur ma wishlist même s'il ne me déplaît pas. Tout simplement parce que je ne souhaite pas investir dans des parfums -même abordables- dont au moins une des phases me déplaît. Même si l'ouverture dure assez peu, elle reste rédhibitoire. Mais franchement, ça restera une chouette expérience.
Sinon j'y pense, dans la catégorie des flacons qui nous font criser. J'adore le design de celui de Masa de Lattafa. Un beau flacon en métal, bien lourd, qui représente très bien à mon sens l'odeur qu'on aura sur la peau. Le souci : sa forme ! J'ai des petites mains, alors j'ai un problème pour le tenir. Soit je le tiens par la partie fine pour pulvériser, et il me glisse des mains car pas assez de prise. Soit j'essaie de le tenir par la partie la plus charnue, déjà j'ai pas la main assez large pour ça, et du coup je n'atteins plus le pulvérisateur. Soit je dois le tenir avec les deux mains (option choisie) pour réussir...
Voilà, c'est un détail, mais un détail pénible
