On trouve le pdf ici.Hydrean a écrit : ↑vendredi 7 mars 2025 à 10:43 La fiche que la phychogue m'a donné https://ibb.co/7LfyD5b

On trouve le pdf ici.Hydrean a écrit : ↑vendredi 7 mars 2025 à 10:43 La fiche que la phychogue m'a donné https://ibb.co/7LfyD5b
D'avance merci...Spoiler : Pour modifier la signature :
Je réponds que maintenant car mes paroles m'ont fait douter ..Hydrean a écrit : ↑vendredi 7 mars 2025 à 10:16Je suis d'accord.Scalt a écrit : ↑vendredi 7 mars 2025 à 10:06 Bonjour,
Diagnostiqué tardivement dans mon cas.
Beaucoup de souffrances une fois adulte, isolement etc...
Mais ce n'était pas le cas enfant. Ca s'est installé petit à petit
Je confirme que je constate qu'il y a des autistes "heureux" et le diagnostic précoce est important pour ne pas laisser l'enfant affronter seul certaines difficultés qui pourraient engendrer des souffrances à l'age adulte.
Si l'ado est autiste et que son suivi est de qualité, les problèmes seront probablement plus facile à résoudre que pour un adulte qui n'a pas eu de diagnostic enfant/ado
Elemental a écrit : ↑mardi 11 mars 2025 à 11:28 J'ai un peu la même interrogation : si j'avais su à 15 ans que j'étais autiste et non à >40 ans, aurais-je tenté tout ce que j'ai tenté (et parfois réussi) ?
Je ne sais pas pour moi à l'époque, où "on" pensait qu'au mieux, "autiste = Rainman". Mais je pense qu'aujourd'hui en 2025 le regard sur l'autisme a suffisamment changé pour qu'un ado fraîchement diagnostiqué ne se mette pas trop d'auto-limites : des personnalités célèbres (qu'on approuve ou pas) ont réussi à faire des choses impressionnantes malgré leur autisme (Greta Thunberg, Bill Gates, Elon Musk, Mark Zuckerberg...).
Par ailleurs, si j'avais eu connaissance de mon autisme plus tôt, j'aurais de façon certaine évité certains mauvais choix.
Donc au total je pense qu'il vaut mieux savoir. Et que j'aurais aimé savoir plus tôt.
Oui, c'est ce que j'en conclu aussi malgré mes questionnements
A priori c'est tout de même fréquent chez les adultes
Attention à ne pas conclure trop vite.
Oui !Tugdual a écrit : ↑dimanche 16 mars 2025 à 9:29Attention à ne pas conclure trop vite.
Le premier article n'est que l'avis d'une personne, et ne repose pas sur une étude scientifique.
Le second article ne repose pas non plus sur une étude scientifique, et surtout ne concerne pas les « diagnostics », mais les « auto-diagnostics », notion qui par définition ne veut rien dire (c'est pourquoi on la combat sur le forum).
Voir plutôt, par exemple :
Bonsoir.sdroineau a écrit : ↑vendredi 7 mars 2025 à 9:02 Ou plutôt peut-on être autiste et bien dans sa peau ?
Bonjour à tous
Mon fils est en cours de diagnostic de TSA de type Asperger. Nous nous ressemblons énormément, et si c'est le cas il y a des chances que je le sois aussi.
Mais là n'est pas le problème...
Peut-être est-ce le biais des médias, mais j'ai du mal à voir l'autisme chez lui. Bien sûr il a des comportements autistiques mais, tout comme moi, ce qui me frappe le plus c'est l'absence de "souffrance". Je m'explique.
Partout on lit des témoignages de gens sur le spectre qui se sentent différents, malheureux... ils ressentent au quotidien des difficultés à cause des relations sociales, des environnements trop bruyants, trop éclairés etc
Et c'est cette absence de problèmes qui me trouble. Il a vraisemblablement un trouble des fonctions exécutives associé, et la vrai gêne du quotidien est là dans ses oublis constants et son manque d'organisation, c'est pourquoi nous étions partis pour un diag TDAH. Mais sinon, aucun soucis en rien avec les stimuli sensoriels, et pour la sphère sociale... c'est soit un solitaire, mais c'est un choix de sa part, il trouve que les autres jeunes (à part son frère et les enfants de nos amis qui partagent ses délires) sont inintéressants et ne souhaite pas leur compagnie. Il est au contraire très enthousiaste à l'idée de partir à l'internat en plus de pouvoir intégrer un cursus scientifique, il espère là-bas rencontrer des gens plus dans ses délires, et pouvoir y trouver des personnes qu'il pourra connaitre de manière moins superficielle qu'au collège (il a bien remarqué lors de sa semaine en Angleterre qu'à vivre avec des gens H24 on créait plus de liens)
Bref, je suis un peu paumée, est-ce la vision du TSA qu'on voit partout qui est déformée ? ne voit-on s'exprimer que les personnes en souffrance (j'imagine bien qu'il doit y avoir un biais de recrutement) ?
Il doit passer dans les prochaines semaines un bilan neuropsychologique plus un ADOS et ADI-R, et nous en saurons plus.
Mais voilà, je voulais adresser ce point et réviser, ma certainement mauvaise perception du TSA en vous demandant votre avis.
Merci de m'avoir lue.
Stéphanie