Bon je ne vois qu'ici où en parler car je ne sens incapable de trouver une solution seule... Je vous explique le papa de mon fils entre tjrs dans la mm dynamique... Le bonheur est forcément tjrs "ailleurs". La je comprends avec son job les propositions sont bcp plus alléchantes aux US et la trouille au ventre de ne plus bosser (alors qu'il se débrouille pas mal mais il lui en faut tjrs plus c'est tout à son honneur d'ailleurs d'être si travailleur
). Mais en réfléchissant depuis que je le connais il a tjrs fonctionné ainsi. Insatisfait il a tjrs envie de déménager (alors que ça lui prend le ventre de bouger en plus
), quand nous étions à Paris "son rêve du sud" retrouver ses racines, après envie d'une vie plus "fun", après tjrs à fond dans ce qu'il entreprend (job, passions). Hier nous n'arrivions plus à communiquer
, je suis partis si triste, mon frère de coeur qui m'accompagnait m'a aussi assurer que ce n'était pas de l'égoïsme de sa part mais il n'analyse pas tous les cas de figures... Je ne suis pas là à refuser un éventuel départ au US car Léon voudra suivre son papa et je ne me vois pas ne plus le voir
. Ensuite je pense à des choses pratiques, comment se passera l'école là-bas ? Comment sont perçus les autistes aux US... Et puis l'éloignement de ma famille (lui il n'a plus de famille excepté moi et Léon)..; Et dans ce cas il a tjrs la solution tu les verras, il viendront etc... Alors que quand nous sommes arrivés ici il a pété un boulon
ce qui à engendrer notre séparation... Pfiou je suis paumée et Léon qui clame à tout va c'est quand qu'on part, il y a des piscines là-bas ?. Enfin je les vois tous les deux "à fond" dans leur quête du bonheur inconnu... Et là c'est carrément risible (en tout cas moi ça me fait rire) on dit souvent que les autistes ont peur de l'inconnu et là c'est moi la NT qui flippe comme c'est pas permis
.
. Donc mes inquiétudes ne sont plus à l'ordre du jour