Première chose, le site n'indique pas qu'il y a des places de parking à proximité. Certes, il y a le métro pas loin, mais si je peux venir en voiture je suis beaucoup moins fatiguée, donc il peut être utile de préciser qu'on peut se garer.
Un peu désorientée à l'entrée, il y avait une sorte de vigile mais je n'ai pas compris qui il était/pourquoi il était là donc c'était déstabilisant, on m'a demandé où je voulais aller mais je n'avais pas de réponse précise (je venais voir les lieux, c'est tout). Alors cela m'a déroutée. Je suis allée au centre de documentation, j'ai réussi à trouver le cadre de classement mais il a fallu que je demande, tous les exemplaires du Guide de survie de Jean-Philippe Piat étaient sortis.
Lilas, je n'ai vu de toi que Ma dame aux oiseaux, pas la suite. Je ne sais pas si on peut leur suggérer l'achat.
Ensuite je suis allée dans l'espace sensoriel. Autant les espèces de cabine avec le tissu bleu m'ont semblées curieuses, parce que dans le champ de vision de la personne à l'accueil, autant j'ai aimé la pièce sensorielle. Il y a un fauteuil super chouette, le fauteuil Oto, qui est compressif. Je me suis mise là, j'étais bien, super bien, détendue
J'ai beaucoup aimé la sensation elle-même, ça doit être ça la "pression profonde". Et ça a aussi répondu à un besoin que j'avais depuis longtemps, un gros câlin rassurant et réconfortant qui donne l'impression d'être protégée.
Bilan : je ne vois pas vraiment la pertinence d'y aller expressément, en revanche quand je retournerai à la BU comme ça implique pas mal de trajet j'y ferai peut-être un arrêt pour le fauteuil.
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