[Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Ça me semble le bon endroit.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
« Guide pratique pour devenir un vrai “mec bien” », par Les couilles sur la table :
Partie 1 :
Partie 2 :
Partie 1 :
Spoiler : ▮▶ :
Partie 2 :
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TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
T'es-tu un "vrai mec bien" ?
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Pendant toute la campagne électorale, la présidentielle américaine a été présentée par de nombreux commentateurs comme extrêmement genrée, voire comme mettant en scène la guerre des genres. Donald Trump et ses soutiens ont multiplié les attaques sexistes, anti-LGBT et racistes. Kamala Harris, pour sa part, pensait que la question de l’avortement aurait un impact fort sur le vote. L'écart entre les valeurs des hommes et des femmes se creuse-t-il ? Comment analyser le vote américain et que dit-il de la pratique du pouvoir ?
https://www.radiofrance.fr/francecultur ... re-4891466
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TSA SDI complexe
Dysthymie
Stress Post Traumatique complexe
Troubles neurovisuels + dyspraxie neuro visuel
Diagnostiquée CRA
TDAH psychiatre en lien avec CRA
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
"Le "4B Movement" : une résistance féministe à la réélection de Trump"
[Temps d'écoute : environ 3 minutes.]
Parenthèse personnelle qui s'éloigne du féminisme... mais seulement à première vue, car ça se récoupe très vite :
C'est marrant, parce que "pas de couple hétéro, pas de mariage, pas de grossesse, pas de sexe", en tant que femme aromantique, asexuelle et childfree, je vis déjà comme ça sans même l'avoir choisi, car ce sont des trucs qui n'ont tout simplement pas d'intérêt pour moi.
Et là, paf, la piqûre de rappel comme quoi le même positionnement peut être un outil de militantisme...
Une occasion de rappeler que le rejet de ces non-attirances (romantiques, sexuelles, parentales, ou même d'apparences), au-delà du rejet de leur légitimité comme expressions normales de la diversité humaine, est conditionné également par un modèle sociétal bien établi, et donc que ce rejet est on ne peut plus réel...
Je vais me faire l'avocat du diable un instant : "oui mais Deoxys, du coup tout le monde, hommes compris, subit ce modèle, donc c'est pas tellement un problème de patriarcat, ce fameux joker".
Que tout le monde subisse les normes, oui (et attention : je ne nie pas que beaucoup de gens désirent des choses s'inscrivant dans les normes non pas par obéissance auxdites normes, mais juste par volonté personnelle). Qu'il n'y ait pas une hiérarchie et des privilèges faisant pencher la balance en défaveur des femmes, non.
Prenons la reproduction, vu qu'en Occident ce mouvement concerne principalement la liberté reproductive : il y a une différence entre un homme qui a intégré l'idée que le modèle à suivre était d'avoir des enfants, et une femme qui a intégré la même chose mais qui a, en plus de cela, intégré l'idée que l'utilisation de son propre corps, que l'exercice de sa propre liberté, ne lui appartenaient pas réellement. Qu'avoir le dernier mot et être l'unique personne à avoir son mot à dire sur ce qu'elle fait de son corps et de sa vie, n'était pas vraiment en option ; que sa vie était déterminée par, dépendante de.
En d'autres termes : pour les femmes, c'est de leurs — nos — droits dont il s'agit. Ce n'est pas seulement une histoire de conformisme touchant effectivement l'intégralité de la population et apportant certes son lot de problèmes, c'est aussi une histoire de non-reconnaissance inconditionnelle de leur autonomie, entre autres physique. Elles sont infériorisées précisément du fait qu'elles sont des femmes, car pour beaucoup de gens encore, la féminité ce n'est pas par rapport à soi-même, c'est par rapport aux autres, c'est des fonctions (en l'occurrence sexuelles et reproductives) qui sont attendues d'elles ; ce n'est pas ce qu'elles peuvent s'offrir, mais ce qu'elles peuvent offrir.
Et donc forcément, ce qu'elles peuvent offrir à autrui, elles peuvent aussi l'en priver (libre-arbitre féminin considéré au travers des implications sur des personnes extérieures, qu'il peut être pertinent de prendre en compte dans certaines situations, mais qui ne font pas le poids par rapport aux implications sur la principale concernée).
Ça me semble rejoindre les inégalités concernant la diversité des genres ; pour beaucoup, genre = sexe (et fonctions associées), pas identité, et ce serait un peu notre destinée sociale.
Dans "faire des enfants est ce qui est attendu", qui se fait instrumentaliser concrètement, physiquement, légalement ?
Qui, dans la pratique, doit se plier à diverses règles sur un domaine aussi intime que les fonctions reproductives, imposées en partie par une population bien à l'abri (puisqu'en plus de ne pas être concernée prioritairement par la vie d'autrui, elle ne dispose pas du système reproductif sur lequel elle se permet de dicter sa loi, une loi dont elle n'aura jamais à subir les conséquences sur des domaines dépassant largement les seules fonctions biologiques — avant/pendant/après) ?
Qui se fait percevoir d'un mauvais œil, comme une véritable menace pour la société, dès qu'il y a une décision, une revendication de "c'est moi qui décide pour moi et qui autorise ou non l'accès aux divers aspects de ma vie", parce que c'est synonyme de "merde, l'usine à bébés est fermée (et, accessoirement, se gère toute seule et a le culot d'être épanouie), alerte rouge !" ; c'est l'indépendance de qui, qui rime avec "société en périle", "ça va trop loin" ?
Qui doit se battre pour ses droits reproductifs dans un des pays supposément parmi les plus modernes au monde ; pour qui "je fais ce que je veux" va de pair avec protestation politique, lutte, au lieu d'être un acquis ?
Qui, hein ?
Les hommes ? Certains hommes trans (pas tous, c'est très personnel), ouais, après tout utérus ≠ femme, qu'on en ait un ou non... Mais je doute que les personnes aveugles — pour l'instant — aux dynamiques d'oppression aient une vision aussi inclusive.
Ce n'est pourtant pas très compliqué. Si l'idée qu'une femme vive pour elle-même est encore controversée (dans des pays qui se targuent d'être tellement plus sensés quant aux droits féminins que ceux du "tiers monde"), c'est bien qu'actuellement, ce n'est toujours pas en option.
(Au cas où : oui, oui, bien sûr que "pas en option", ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas cette option ; bien sûr qu'une femme, aux USA, en France, etc., n'est obligée de rien. Je parle bien ici d'attentes genrées, de pression, de norme ; ce n'est pas parce que la possibilité existe, qu'elle est considérée comme une option égale à celles attendues. C'est donc la porte ouverte à la stigmatisation, l'infantilisation, la pathologisation, la régression des lois, et ainsi de suite. Ce n'est pas admis comme une option valide et à recevoir comme telle, si c'est mieux...)
[Temps d'écoute : environ 3 minutes.]
Mouv' a écrit :Inspiré d'un mouvement initié par des Sud-Coréennes, il s’agit pour certaines Américaines de couper avec les hommes.
Avec
- Constance Vilanova Rédactrice
En janvier 2020, Donald Trump est le premier président américain à participer à une marche anti-avortement. Deux ans plus tard, la Cour suprême abroge le droit constitutionnel à l’IVG dans le pays. Depuis la victoire de Trump aux élections présidentielles le 6 novembre 2024, les Américaines s’inquiètent pour leurs droits. Pendant la campagne présidentielle, il qualifiait sa rivale démocrate Kamala Harris de folle et d’attardée mentale. N’oublions pas non plus que le futur président des États-Unis a été reconnu coupable d’agression sexuelle par un tribunal de New York en mai 2023.
Alors aux Etats Unis, la résistance des femmes s’organise avec le "4B Movement", qui s’inspire de la lutte des Sud-Coréennes lancée après MeToo. En Corée du Sud, le sexisme fait rage. C’est le pays de l’OCDE au plus grand écart salarial entre les hommes et les femmes avec 29 % de différence en moyenne. "4B" est une abréviation de quatre mots qui commence tous par "bi", en coréen, et qui veut dire "pas de couple hétéro, pas de mariage, pas de grossesse, pas de sexe". En Corée, le mouvement se centre sur le mariage, une institution quasiment obligatoire pour être reconnue socialement. Aux États-Unis, c’est la contraception qui est au cœur du mouvement "4B".
Les recherches sur le mouvement explosent
Jada Mevs, une internaute âgée de 25 ans habitant à Washington, conseille, par exemple, aux Américaines qui souhaite appliquer concrètement le mouvement "4B", de prendre des cours de self défense, de supprimer leur profil sur les app de rencontre, d'arrêter de parler aux hommes, de prendre rendez-vous avec son gynéco et d'investir dans un sex toy. Depuis quelques jours, d’autres se filment en se rasant le crâne pour ne plus plaire à la gent masculine.
Sur Twitter, des internautes ont établi un lien entre la baisse de la natalité en Corée du Sud observée depuis 2019 et le mouvement "4B". Mais il n’y a pas d’études claires et scientifiques sur l’impact de cette lutte féministe dans le pays. Difficile donc de savoir si le mouvement américain qui en est à ses balbutiements aura des conséquences. Aux États-Unis, sur Google, les recherches associées au "4B movement", ont explosé depuis l’élection de Trump. L’état où les internautes s’interrogent le plus est la Géorgie, l'un des États les plus restrictifs en ce qui concerne l’IVG. Sur Twitter, l’un des posts viral vu 17 millions de fois clame “il est temps de fermer vos utérus aux hommes. Cette élection prouve plus que jamais qu’ils nous détestent et nous détestent fièrement. Ne les récompensez pas.”
Parenthèse personnelle qui s'éloigne du féminisme... mais seulement à première vue, car ça se récoupe très vite :
C'est marrant, parce que "pas de couple hétéro, pas de mariage, pas de grossesse, pas de sexe", en tant que femme aromantique, asexuelle et childfree, je vis déjà comme ça sans même l'avoir choisi, car ce sont des trucs qui n'ont tout simplement pas d'intérêt pour moi.
Et là, paf, la piqûre de rappel comme quoi le même positionnement peut être un outil de militantisme...
Une occasion de rappeler que le rejet de ces non-attirances (romantiques, sexuelles, parentales, ou même d'apparences), au-delà du rejet de leur légitimité comme expressions normales de la diversité humaine, est conditionné également par un modèle sociétal bien établi, et donc que ce rejet est on ne peut plus réel...
Je vais me faire l'avocat du diable un instant : "oui mais Deoxys, du coup tout le monde, hommes compris, subit ce modèle, donc c'est pas tellement un problème de patriarcat, ce fameux joker".
Que tout le monde subisse les normes, oui (et attention : je ne nie pas que beaucoup de gens désirent des choses s'inscrivant dans les normes non pas par obéissance auxdites normes, mais juste par volonté personnelle). Qu'il n'y ait pas une hiérarchie et des privilèges faisant pencher la balance en défaveur des femmes, non.
Prenons la reproduction, vu qu'en Occident ce mouvement concerne principalement la liberté reproductive : il y a une différence entre un homme qui a intégré l'idée que le modèle à suivre était d'avoir des enfants, et une femme qui a intégré la même chose mais qui a, en plus de cela, intégré l'idée que l'utilisation de son propre corps, que l'exercice de sa propre liberté, ne lui appartenaient pas réellement. Qu'avoir le dernier mot et être l'unique personne à avoir son mot à dire sur ce qu'elle fait de son corps et de sa vie, n'était pas vraiment en option ; que sa vie était déterminée par, dépendante de.
En d'autres termes : pour les femmes, c'est de leurs — nos — droits dont il s'agit. Ce n'est pas seulement une histoire de conformisme touchant effectivement l'intégralité de la population et apportant certes son lot de problèmes, c'est aussi une histoire de non-reconnaissance inconditionnelle de leur autonomie, entre autres physique. Elles sont infériorisées précisément du fait qu'elles sont des femmes, car pour beaucoup de gens encore, la féminité ce n'est pas par rapport à soi-même, c'est par rapport aux autres, c'est des fonctions (en l'occurrence sexuelles et reproductives) qui sont attendues d'elles ; ce n'est pas ce qu'elles peuvent s'offrir, mais ce qu'elles peuvent offrir.
Et donc forcément, ce qu'elles peuvent offrir à autrui, elles peuvent aussi l'en priver (libre-arbitre féminin considéré au travers des implications sur des personnes extérieures, qu'il peut être pertinent de prendre en compte dans certaines situations, mais qui ne font pas le poids par rapport aux implications sur la principale concernée).
Ça me semble rejoindre les inégalités concernant la diversité des genres ; pour beaucoup, genre = sexe (et fonctions associées), pas identité, et ce serait un peu notre destinée sociale.
Dans "faire des enfants est ce qui est attendu", qui se fait instrumentaliser concrètement, physiquement, légalement ?
Qui, dans la pratique, doit se plier à diverses règles sur un domaine aussi intime que les fonctions reproductives, imposées en partie par une population bien à l'abri (puisqu'en plus de ne pas être concernée prioritairement par la vie d'autrui, elle ne dispose pas du système reproductif sur lequel elle se permet de dicter sa loi, une loi dont elle n'aura jamais à subir les conséquences sur des domaines dépassant largement les seules fonctions biologiques — avant/pendant/après) ?
Qui se fait percevoir d'un mauvais œil, comme une véritable menace pour la société, dès qu'il y a une décision, une revendication de "c'est moi qui décide pour moi et qui autorise ou non l'accès aux divers aspects de ma vie", parce que c'est synonyme de "merde, l'usine à bébés est fermée (et, accessoirement, se gère toute seule et a le culot d'être épanouie), alerte rouge !" ; c'est l'indépendance de qui, qui rime avec "société en périle", "ça va trop loin" ?
Qui doit se battre pour ses droits reproductifs dans un des pays supposément parmi les plus modernes au monde ; pour qui "je fais ce que je veux" va de pair avec protestation politique, lutte, au lieu d'être un acquis ?
Qui, hein ?
Les hommes ? Certains hommes trans (pas tous, c'est très personnel), ouais, après tout utérus ≠ femme, qu'on en ait un ou non... Mais je doute que les personnes aveugles — pour l'instant — aux dynamiques d'oppression aient une vision aussi inclusive.
Ce n'est pourtant pas très compliqué. Si l'idée qu'une femme vive pour elle-même est encore controversée (dans des pays qui se targuent d'être tellement plus sensés quant aux droits féminins que ceux du "tiers monde"), c'est bien qu'actuellement, ce n'est toujours pas en option.
(Au cas où : oui, oui, bien sûr que "pas en option", ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas cette option ; bien sûr qu'une femme, aux USA, en France, etc., n'est obligée de rien. Je parle bien ici d'attentes genrées, de pression, de norme ; ce n'est pas parce que la possibilité existe, qu'elle est considérée comme une option égale à celles attendues. C'est donc la porte ouverte à la stigmatisation, l'infantilisation, la pathologisation, la régression des lois, et ainsi de suite. Ce n'est pas admis comme une option valide et à recevoir comme telle, si c'est mieux...)
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Un article amusant sur un procès perdu par la plaignante.
J'ai déjà été traité de "charmant" par une dame de 80 ans. dois-je l'attaquer pour "outrage sexiste"? Je me suis senti embarrassé car je ne savais pas comment réagir à ce gentiment compliment. Cela m'embêterait de le faire.Un chef d'entreprise avait écrit que l'ancienne sous-préfète de Château-Chinon était "délicieuse" et "charmante"
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Ce que j'aime bien avec tes interventions c'est qu'elles n'oublient aucuns cas de figure
C'est cool de rappeler qu'on peut être mariée par choix et non par conventions sociales,et qu'on peut être féministe et mariée,
Je te dit pas le nombre de gens qui nous ont gonflés (et je suis polie encore),mon mari et moi,euh gna gna gna,vous allez pas vous marié c'est démodé,et pis c'est un engagement euh gna gna gna,
Non mais comme si on était C*ns,si on se marie on sait ce que c'est quand même,
Je dit ça parce qu'il y avait une insistance de ces propos envers moi,ben oui une femme est une éternelle enfant,pauvre petite créature ce n'est pas sa faute elle ne sait pas ce qu'elle fait,il faut lui expliquer
La notion d'épanouissement est différente d'une personne a une autre,et aucunes n'est mieux qu'une autre,le principal c'est d'être libre de le faire et puis d'être bien dans ses baskets selon ce qu'on est et ce qu'on veut,
Sinon pour le reste avec l'élection de Trump on est entrain de reculer dans le droits des femmes aux Etats Unis déjà qu'avant lui il y avait des régressions inquiétante et complètement indignes (supression du droit a l'avortement dans certains états,quelle honte c'est scandaleux, et encore une fois c'est toujours les même qui en paye le prix)
C'est cool de rappeler qu'on peut être mariée par choix et non par conventions sociales,et qu'on peut être féministe et mariée,
Je te dit pas le nombre de gens qui nous ont gonflés (et je suis polie encore),mon mari et moi,euh gna gna gna,vous allez pas vous marié c'est démodé,et pis c'est un engagement euh gna gna gna,
Non mais comme si on était C*ns,si on se marie on sait ce que c'est quand même,
Je dit ça parce qu'il y avait une insistance de ces propos envers moi,ben oui une femme est une éternelle enfant,pauvre petite créature ce n'est pas sa faute elle ne sait pas ce qu'elle fait,il faut lui expliquer
La notion d'épanouissement est différente d'une personne a une autre,et aucunes n'est mieux qu'une autre,le principal c'est d'être libre de le faire et puis d'être bien dans ses baskets selon ce qu'on est et ce qu'on veut,
Sinon pour le reste avec l'élection de Trump on est entrain de reculer dans le droits des femmes aux Etats Unis déjà qu'avant lui il y avait des régressions inquiétante et complètement indignes (supression du droit a l'avortement dans certains états,quelle honte c'est scandaleux, et encore une fois c'est toujours les même qui en paye le prix)
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Les féministes vont dire ce n’est pas la même dynamique entre les deuxlucius a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 16:19 Un article amusant sur un procès perdu par la plaignante.
J'ai déjà été traité de "charmant" par une dame de 80 ans. dois-je l'attaquer pour "outrage sexiste"? Je me suis senti embarrassé car je ne savais pas comment réagir à ce gentiment compliment. Cela m'embêterait de le faire.Un chef d'entreprise avait écrit que l'ancienne sous-préfète de Château-Chinon était "délicieuse" et "charmante"
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Ben si c'est la même chose,on a pas imposer des choses aux gens qu'ils n'ont pas envie d'entendre, on a pas a importuner des gens qui n'ont rien demandé,ça s'appelle le respect,la retenue et la politesse en dehors de toute notion de féminisme d'ailleurs.Hydrean a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 16:37Les féministes vont dire ce n’est pas la même dynamique entre les deuxlucius a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 16:19 Un article amusant sur un procès perdu par la plaignante.
J'ai déjà été traité de "charmant" par une dame de 80 ans. dois-je l'attaquer pour "outrage sexiste"? Je me suis senti embarrassé car je ne savais pas comment réagir à ce gentiment compliment. Cela m'embêterait de le faire.Un chef d'entreprise avait écrit que l'ancienne sous-préfète de Château-Chinon était "délicieuse" et "charmante"
C'est facile de faire le mariole devant des femmes dans la rue,allez donc faire ce manège devant une avocate,une gendarme où une procureur de la république,on verra bien tiens si le bagout est le même.
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Ostara a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 16:48Ben si c'est la même chose,on a pas imposer des choses aux gens qu'ils n'ont pas envie d'entendre, on a pas a importuner des gens qui n'ont rien demandé,ça s'appelle le respect,la retenue et la politesse en dehors de toute notion de féminisme d'ailleurs.Hydrean a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 16:37Les féministes vont dire ce n’est pas la même dynamique entre les deuxlucius a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 16:19 Un article amusant sur un procès perdu par la plaignante.
J'ai déjà été traité de "charmant" par une dame de 80 ans. dois-je l'attaquer pour "outrage sexiste"? Je me suis senti embarrassé car je ne savais pas comment réagir à ce gentiment compliment. Cela m'embêterait de le faire.
Ah bon ?
Je suis d’accord alors . Sauf pour la liberté d’expression (tant que ça ne rentre pas dans des obcénite). Et si la personne n’à pas envie d’entendre qu'une femme libre. Comment ca se passe ? On doit respecter cela ?
Je respecte tout à fait les femmes. C’est dans mon éducation et c’est en accord avec mon comportement.C'est facile de faire le mariole devant des femmes dans la rue,allez donc faire ce manège devant une avocate,une gendarme où une procureur de la république,on verra bien tiens si le bagout est le même.
Modifié en dernier par Hydrean le vendredi 15 novembre 2024 à 17:17, modifié 3 fois.
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
C'est vrai que je viens d'une famille où on ne se faisait jamais de compliments. Féliciter ou complimenter quelqu'un est difficile pour moi. Alors en recevoir! Il y a quelques jours, un membre de ma famille a adopté une nouvelle coiffure et un nouveau style. Je l'ai vu. Je me suis tu car cela ne me concernait pas et que je n'ai pas à lui dire un mot pouvant mal être interprété (comme une approbation ou une critique). Et on m'a reproché ce silence.
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Donc quand c'est une question de respect et de politesse c'est entendable et quand c'est une femme qui veut être tranquille ça l'est pas faut fermer sa bouche et prendre la réflexion sur son physique sinon on est des méchantes qui sont pas contentes qu'on leur fasse un "compliment" ?mais mdr j'hallucine le culot sur un fil sur le féminisme en plus.
Putain mais même sur un fil sur les "droits des femmes" je le rappelle quand même faut qu'il y en ai un qui vienne pour te dire de pas te plaindre et fermer ta bouche, subit et t'as rien a dire tu prend ce qu'on te balance et tu la ferme,
Si le féminisme te dérange on te met pas le couteau sous la gorge pour intervenir sur ce fil.
Putain mais même sur un fil sur les "droits des femmes" je le rappelle quand même faut qu'il y en ai un qui vienne pour te dire de pas te plaindre et fermer ta bouche, subit et t'as rien a dire tu prend ce qu'on te balance et tu la ferme,
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Je n’ai pas dit ça.Ostara a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 17:16 Donc quand c'est une question de respect et de politesse c'est entendable et quand c'est une femme qui veut être tranquille ça l'est pas faut fermer sa bouche et prendre la réflexion sur son physique sinon on est des méchantes qui sont pas contentes qu'on leur fasse un "compliment" ?mais mdr j'hallucine le culot sur un fil sur le féminisme en plus.
Putain mais même sur un fil sur le "droit des femmes" faut qu'il y en ai un qui vienne pour te dire de pas te plaindre et fermer ta bouche.
Si le féminisme te dérange on te met pas le couteau sous la gorge pour intervenir sur ce fil.
Si une fois le compliment dit ,la femme fait savoir qu’elle n’a pas envie d’entendre cela, elle a le droit de le dire et de le faire savoir si malgré cela ça continue. J’ai pas dit le contraire.
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Non on a pas a emmerder une personne qu'on ne connait pas une fois où mille fois,on a pas a faire chier une femme parce que c'est une femme,et que on a décidé qu'on a envie qu'elle est la sous nos yeux alors on le fait,non on fait pas il y a des lieux fait pour les gens qui cherchent des rencontres et qui peuvent discuter dans ce but là,on fais pas chier les femmes au travail,on fais pas chier les femmes dans la rue,nulle part en fait,Hydrean a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 17:23Je n’ai pas dit ça.Ostara a écrit : ↑vendredi 15 novembre 2024 à 17:16 Donc quand c'est une question de respect et de politesse c'est entendable et quand c'est une femme qui veut être tranquille ça l'est pas faut fermer sa bouche et prendre la réflexion sur son physique sinon on est des méchantes qui sont pas contentes qu'on leur fasse un "compliment" ?mais mdr j'hallucine le culot sur un fil sur le féminisme en plus.
Putain mais même sur un fil sur le "droit des femmes" faut qu'il y en ai un qui vienne pour te dire de pas te plaindre et fermer ta bouche.
Si le féminisme te dérange on te met pas le couteau sous la gorge pour intervenir sur ce fil.
Si une fois le compliment dit ,la femme fait savoir qu’elle n’a pas envie d’entendre cela, elle a le droit de le dire et de le faire savoir si malgré cela ça continue. J’ai pas dit le contraire.
Ça s'appelle du harcèlement d'imposer a quelqu'un qu'on ne connait pas quelques choses qu'il ne veut pas ne sollicite pas.
Ici c'est un fil sur le féminisme ce n'est pas le lieu pour les débats a coups de "mais si c'est une fois on peu le faire on est dans notre bon droit" non en faite non certainement pas.et si vous pensez être dans votre bon droit comme je l'ai dit plus haut assumez jusqu'au bout et aller dans un palais de justice,une gendarmerie,dans une mairie et faite ça on verra bien tiens.Invitez moi surtout j'aimerais bien être là avec mes pop corns,je veut voir cette liberté prise avec tant de courage.
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
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Savoir,Vouloir,Oser,
Se taire.
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Re: [Index Sociologie] Féminisme : Pour parler des droits des femmes
Sauf que toutes les femmes ne sont pas pareille. Certaines peuvent en effet en pas désirer être aborder comme pour d’autres ça ne les dérange et ça c'est pas marqué sur le front.
Mais bon je note que pour vous ce n’est un lieu de débat alors je vais m’arrêter la
Mais bon je note que pour vous ce n’est un lieu de débat alors je vais m’arrêter la
Modifié en dernier par Hydrean le vendredi 15 novembre 2024 à 18:25, modifié 2 fois.
TSA confirmé le 01/05/24.