Comment aborder sa Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) lors d’un entretien et en entreprise ?
Parler de sa RQTH en entretien d'embauche et/ou dans l'entreprise
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Parler de sa RQTH en entretien d'embauche et/ou dans l'entreprise
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Pré-diagnostic TSA asperger, de niveau faible à modéré, par psychologue clinicien en 03/2019
Confirmation par psychiatre en 04/2019, à 51 ans
Juin 2020 : tests du bilan diagnostic réalisés dans le privé - QI hétérogène
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Re: Parler de sa RQTH en entretien d'embauche et/ou dans l'entreprise
Je trouve cette présentation très pertinente.
J'ai l'habitude de dire aux personnes autistes qu'ils doivent comprendre que leur différence apparaîtra, qu'elles le veuillent ou non.
Par exemple, ne pas regarder dans les yeux sera un critère déterminant pour le recruteur, parce qu'il interprétera ce signe comme un mensonge.
Ne pas donc se faire trop d'illusions, et se préparer à parler de son handicap suivant les modalités indiquées.
Ensuite, il faut connaître le contexte : l'entreprise cherche-t-elle à recruter des personnes handicapées ?
Les aménagements pour une personne autiste sont généralement raisonnables : il faut souvent - mais pas toujours - tenir compte de l'environnement sensoriel (lumière, son, poste de travail), mais surtout de l'organisation du travail.
Parmi les aménagements possibles, il y a le télétravail. Certaines entreprises donnent des droits particuliers au télétravail pour les travailleurs handicapés.
J'ai l'habitude de dire aux personnes autistes qu'ils doivent comprendre que leur différence apparaîtra, qu'elles le veuillent ou non.
Par exemple, ne pas regarder dans les yeux sera un critère déterminant pour le recruteur, parce qu'il interprétera ce signe comme un mensonge.
Ne pas donc se faire trop d'illusions, et se préparer à parler de son handicap suivant les modalités indiquées.
Ensuite, il faut connaître le contexte : l'entreprise cherche-t-elle à recruter des personnes handicapées ?
Les aménagements pour une personne autiste sont généralement raisonnables : il faut souvent - mais pas toujours - tenir compte de l'environnement sensoriel (lumière, son, poste de travail), mais surtout de l'organisation du travail.
Parmi les aménagements possibles, il y a le télétravail. Certaines entreprises donnent des droits particuliers au télétravail pour les travailleurs handicapés.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Parler de sa RQTH en entretien d'embauche et/ou dans l'entreprise
Bonjour à tout le monde, je voulais réagir au sujet de la RQTH et partager mon expérience, en espérant qu'elle puisse être utile à certains d'entre vous.
Me concernant, j'ai fait une bonne école d’ingénieurs, et je travaille depuis plusieurs années dans une grande entreprise du CAC 40 à Paris. J'ai eu auparavant d'autres expériences professionnelles, mais celles-ci ne se sont pas toujours bien passées : mes relations sociales étaient souvent critiquées, on me reprochait de mettre les autres mal à l'aise. C'est suite à ces difficultés que j'ai entamé un diagnostic de TSA et demandé la RQTH il y a pas mal d’années.
Dans mon entreprise actuelle, mes débuts étaient positifs : mes responsables et collègues ne semblaient pas gênés par mon envie de travailler seule, de déjeuner seule ou de ne pas participer aux pauses café ou aux teambuilding. On me disait que mon travail était très bien, et on était content de moi.
Le temps a passé, et j’ai intégré une nouvelle équipe. Les retours de mes responsables étaient jusqu'alors très positifs. Cependant, au fil du temps, il y a eu pas mal de recrutements et les chefs ont changé. Cela a affecté ma situation sur une période de plusieurs mois : on a commencé à me donner de moins en moins de travail, jusqu'à ce que je n'aie presque plus rien à faire. Mes collègues ont commencé à m'éviter, à m'ignorer, et certains ne répondaient même plus à mes questions ou à mes mails. Un jour, j'ai découvert que mon responsable organisait régulièrement des fêtes pour toute l'équipe, sauf que j’étais la seule qui n’était pas invitée. Si, pour certaines personnes, une faible charge de travail peut sembler agréable, pour moi, c'était dérangeant. Je travaille à Paris, et chaque jour, je subis les nuisances de la ville, les bruits et les stimulations sensorielles. Mon stress me provoque déjà des problèmes de santé (gastrite, RGO e.g.). Auparavant, j’acceptais de vivre dans cet environnement difficile pour moi, car j'avais un poste dans lequel j'apprenais des choses avec un travail stimulant intellectuellement.
Cette situation qui a commencé à durer me rendait malheureuse. J'en ai parlé à plusieurs reprises à mes responsables, mais rien ne changeait. Lorsque je demandais plus de travail, on me donnait seulement des invitations à des réunions où je n'avais pas de rôle précis, comme si ma présence n'était là que pour cocher une case. Lors de mon diagnostic, le psychologue m'avait conseillé de garder la RQTH en « joker » pour me défendre dans des moments difficiles. J'ai donc commencé à envisager de l'utiliser et j’ai cherché sur ce forum ainsi que sur des threads reddits d’aspergers, sur des retours d’expérience de gens qui ont eu des problèmes similaires et qui ont fait leur coming-out, mais je n’ai pas trouvé beaucoup de messages. Au bout d’un moment, j'ai pris la décision d’envoyer un message au service handicap de mon entreprise pour solliciter leur avis et obtenir de l'aide.
J'ai été très rapidement recontactée et j’ai précisé le problème et demandé quelles solutions ils proposaient pour les personnes avec un TSA. Gros silence : mon interlocuteur ne savait pas quoi répondre, puis il m'a finalement proposé de faire un bilan avec un psychologue pour expliquer la situation.
J'ai accepté et déclaré la RQTH, ce qui a donné lieu à un premier rendez-vous téléphonique avec le psychologue, suivi d'un autre deux semaines plus tard. Ensuite, le psychologue a insisté pour que le rendez-vous se fasse en présentiel dans son cabinet sur Paris loin de mon domicile ou de mon travail. J'ai accepté pour jouer le jeu, même si j'ai expliqué sur place que c'était difficile pour moi de me déplacer. Marcher dans la rue m'est compliqué à cause du bruit constant et des gens qui vont dans tous les sens. La réaction du psychologue a été : "Ah, je ne savais pas que les autistes avaient une hypersensibilité. Vous voulez que je baisse les stores de la fenêtre ?"
Plusieurs rendez-vous en présentiel ont suivi, où j'allais avec la boule au ventre, car le psychologue me taclait parfois et j'avais peur que cela aboutisse à une mise à pied ou une suspension pour me faire passer pour instable (par exemple, quand je disais que j’avais trop de stimulations dans la rue, on me disait que j’étais peut-être paranoïaque). À chaque séance, j’expliquais que venir était difficile et que ces rendez-vous ne m'apportaient pas grand-chose. Une fois mes problèmes professionnels expliqués, il n'y avait plus de sujet de discussion, et le psychologue passait son temps à me parler de ses problèmes personnels. Il tenait parfois des propos dérangeants, comme lorsqu'il disait espérer qu'il n’y ait pas plus d'autistes dans la population. Le psychologue a également bien précisé que je ne pouvais pas être défendue pour des événements antérieurs à ma déclaration de RQTH, même si je l'avais déjà à l'époque. Sachant que j’ai souvent lu que la RQTH peut être activée à tout moment en tant que “joker”, je pense qu'il est important de savoir que ce n’est pas tellement vrai…
En parallèle, il m'arrive de voyager à l'étranger pour le travail, puisque mon entreprise est implantée dans plusieurs pays. Il existe un accord handicap dans l'entreprise, offrant des avantages aux personnes ayant une RQTH, comme un budget plus élevé pour prendre un hôtel proche du lieu de travail ou un train plus cher pour voyager à des horaires plus adaptés. J'ai demandé à bénéficier de ces droits, mais les RH ont fait pression pour que je n'utilise pas ces facilités, "par souci d'égalité avec les autres membres de l'équipe".
Depuis, j'ai arrêté les rendez-vous avec le psychologue, j'ai contacté le service handicap et expliqué que cela ne m'était plus utile, les remerciant. Ces rdv avec le psychologue étaient reconduits tacitement, et si je n’avais pas pris l’initiative d’insister chez la mission handicap, rien n’aurait bougé. Du coup, j’avais la sensation d’être punie pour être différente, puisque les rdv n’avaient plus aucun but défini, mais continuaient à se suivre encore et encore, avec le stress et la perte de temps associée …
Mon bilan personnel est que cette RQTH ne m’a pas réellement aidée pour mes difficultés. Je l’ai utilisée, mais cela n'a rien apporté de concret face à mes problèmes. Par ailleurs, je ne rentre dans aucune catégorie de l'accord handicap, ce qui fait que je n'ai droit à aucune compensation pour mes difficultés au quotidien. J’ai souvent lu qu’il y a un taux de chômage de 80% chez les TSA et que c’est le “handicap” avec le taux de chômage le plus haut mais l’accord handicap d’une très grande entreprise ne prévoit que des aménagements pour des gens avec des handicaps plus visibles et plus lourds (et tant mieux pour eux bien sûr !), rien pour les gens comme nous.
En tout cas c’est mon expérience, cela me tenait à cœur de la partager et merci d’avoir lu tout ça !
Me concernant, j'ai fait une bonne école d’ingénieurs, et je travaille depuis plusieurs années dans une grande entreprise du CAC 40 à Paris. J'ai eu auparavant d'autres expériences professionnelles, mais celles-ci ne se sont pas toujours bien passées : mes relations sociales étaient souvent critiquées, on me reprochait de mettre les autres mal à l'aise. C'est suite à ces difficultés que j'ai entamé un diagnostic de TSA et demandé la RQTH il y a pas mal d’années.
Dans mon entreprise actuelle, mes débuts étaient positifs : mes responsables et collègues ne semblaient pas gênés par mon envie de travailler seule, de déjeuner seule ou de ne pas participer aux pauses café ou aux teambuilding. On me disait que mon travail était très bien, et on était content de moi.
Le temps a passé, et j’ai intégré une nouvelle équipe. Les retours de mes responsables étaient jusqu'alors très positifs. Cependant, au fil du temps, il y a eu pas mal de recrutements et les chefs ont changé. Cela a affecté ma situation sur une période de plusieurs mois : on a commencé à me donner de moins en moins de travail, jusqu'à ce que je n'aie presque plus rien à faire. Mes collègues ont commencé à m'éviter, à m'ignorer, et certains ne répondaient même plus à mes questions ou à mes mails. Un jour, j'ai découvert que mon responsable organisait régulièrement des fêtes pour toute l'équipe, sauf que j’étais la seule qui n’était pas invitée. Si, pour certaines personnes, une faible charge de travail peut sembler agréable, pour moi, c'était dérangeant. Je travaille à Paris, et chaque jour, je subis les nuisances de la ville, les bruits et les stimulations sensorielles. Mon stress me provoque déjà des problèmes de santé (gastrite, RGO e.g.). Auparavant, j’acceptais de vivre dans cet environnement difficile pour moi, car j'avais un poste dans lequel j'apprenais des choses avec un travail stimulant intellectuellement.
Cette situation qui a commencé à durer me rendait malheureuse. J'en ai parlé à plusieurs reprises à mes responsables, mais rien ne changeait. Lorsque je demandais plus de travail, on me donnait seulement des invitations à des réunions où je n'avais pas de rôle précis, comme si ma présence n'était là que pour cocher une case. Lors de mon diagnostic, le psychologue m'avait conseillé de garder la RQTH en « joker » pour me défendre dans des moments difficiles. J'ai donc commencé à envisager de l'utiliser et j’ai cherché sur ce forum ainsi que sur des threads reddits d’aspergers, sur des retours d’expérience de gens qui ont eu des problèmes similaires et qui ont fait leur coming-out, mais je n’ai pas trouvé beaucoup de messages. Au bout d’un moment, j'ai pris la décision d’envoyer un message au service handicap de mon entreprise pour solliciter leur avis et obtenir de l'aide.
J'ai été très rapidement recontactée et j’ai précisé le problème et demandé quelles solutions ils proposaient pour les personnes avec un TSA. Gros silence : mon interlocuteur ne savait pas quoi répondre, puis il m'a finalement proposé de faire un bilan avec un psychologue pour expliquer la situation.
J'ai accepté et déclaré la RQTH, ce qui a donné lieu à un premier rendez-vous téléphonique avec le psychologue, suivi d'un autre deux semaines plus tard. Ensuite, le psychologue a insisté pour que le rendez-vous se fasse en présentiel dans son cabinet sur Paris loin de mon domicile ou de mon travail. J'ai accepté pour jouer le jeu, même si j'ai expliqué sur place que c'était difficile pour moi de me déplacer. Marcher dans la rue m'est compliqué à cause du bruit constant et des gens qui vont dans tous les sens. La réaction du psychologue a été : "Ah, je ne savais pas que les autistes avaient une hypersensibilité. Vous voulez que je baisse les stores de la fenêtre ?"
Plusieurs rendez-vous en présentiel ont suivi, où j'allais avec la boule au ventre, car le psychologue me taclait parfois et j'avais peur que cela aboutisse à une mise à pied ou une suspension pour me faire passer pour instable (par exemple, quand je disais que j’avais trop de stimulations dans la rue, on me disait que j’étais peut-être paranoïaque). À chaque séance, j’expliquais que venir était difficile et que ces rendez-vous ne m'apportaient pas grand-chose. Une fois mes problèmes professionnels expliqués, il n'y avait plus de sujet de discussion, et le psychologue passait son temps à me parler de ses problèmes personnels. Il tenait parfois des propos dérangeants, comme lorsqu'il disait espérer qu'il n’y ait pas plus d'autistes dans la population. Le psychologue a également bien précisé que je ne pouvais pas être défendue pour des événements antérieurs à ma déclaration de RQTH, même si je l'avais déjà à l'époque. Sachant que j’ai souvent lu que la RQTH peut être activée à tout moment en tant que “joker”, je pense qu'il est important de savoir que ce n’est pas tellement vrai…
En parallèle, il m'arrive de voyager à l'étranger pour le travail, puisque mon entreprise est implantée dans plusieurs pays. Il existe un accord handicap dans l'entreprise, offrant des avantages aux personnes ayant une RQTH, comme un budget plus élevé pour prendre un hôtel proche du lieu de travail ou un train plus cher pour voyager à des horaires plus adaptés. J'ai demandé à bénéficier de ces droits, mais les RH ont fait pression pour que je n'utilise pas ces facilités, "par souci d'égalité avec les autres membres de l'équipe".
Depuis, j'ai arrêté les rendez-vous avec le psychologue, j'ai contacté le service handicap et expliqué que cela ne m'était plus utile, les remerciant. Ces rdv avec le psychologue étaient reconduits tacitement, et si je n’avais pas pris l’initiative d’insister chez la mission handicap, rien n’aurait bougé. Du coup, j’avais la sensation d’être punie pour être différente, puisque les rdv n’avaient plus aucun but défini, mais continuaient à se suivre encore et encore, avec le stress et la perte de temps associée …
Mon bilan personnel est que cette RQTH ne m’a pas réellement aidée pour mes difficultés. Je l’ai utilisée, mais cela n'a rien apporté de concret face à mes problèmes. Par ailleurs, je ne rentre dans aucune catégorie de l'accord handicap, ce qui fait que je n'ai droit à aucune compensation pour mes difficultés au quotidien. J’ai souvent lu qu’il y a un taux de chômage de 80% chez les TSA et que c’est le “handicap” avec le taux de chômage le plus haut mais l’accord handicap d’une très grande entreprise ne prévoit que des aménagements pour des gens avec des handicaps plus visibles et plus lourds (et tant mieux pour eux bien sûr !), rien pour les gens comme nous.
En tout cas c’est mon expérience, cela me tenait à cœur de la partager et merci d’avoir lu tout ça !
TSA diagnostiqué de type asperger (psychiatre spécialisée, 2019)
HPI.
RQTH.
HPI.
RQTH.
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- Localisation : Essonne (91)
Re: Parler de sa RQTH en entretien d'embauche et/ou dans l'entreprise
Bonjour HarmonicNode,
Ce que vous relatez est dû au fait que :
l'autisme est méconnu de la mission handicap de l'entreprise qui vous emploi
et
du psychologue que vous avez rencontré.
L'autisme est invisible. Vos précédents interlocuteurs (mission handicap et psychologue) ont vraisemblablement, hélas, une vision extrêmement stéréotypée du handicap (visible tel que : seule une personne en fauteuil roulant n'est handicapée...).
Or, 80 % des handicaps sont invisibles...
Je vous suggère d'envoyer ceci : https://gncra.fr/wp-content/uploads/202 ... -_-DEF.pdf à la mission handicap de votre entreprise ainsi que le lien LinkedIn vers les profils de Lali Dugelay et/ou Julie Dachez et/ou Stef Bonnot Briey pour une sensibilisation à l'autisme et, plus largement, au handicap invisible.
Il y a aussi : https://auticon.com/fr/services-de-neur ... n/conseil/...
De plus, la Semaine Européenne pour l'Emploi des Personnes Handicapées (SEEPH 2024) débute lundi prochain, 18 novembre.
Bon courage
Ce que vous relatez est dû au fait que :
l'autisme est méconnu de la mission handicap de l'entreprise qui vous emploi
et
du psychologue que vous avez rencontré.
L'autisme est invisible. Vos précédents interlocuteurs (mission handicap et psychologue) ont vraisemblablement, hélas, une vision extrêmement stéréotypée du handicap (visible tel que : seule une personne en fauteuil roulant n'est handicapée...).
Or, 80 % des handicaps sont invisibles...
Je vous suggère d'envoyer ceci : https://gncra.fr/wp-content/uploads/202 ... -_-DEF.pdf à la mission handicap de votre entreprise ainsi que le lien LinkedIn vers les profils de Lali Dugelay et/ou Julie Dachez et/ou Stef Bonnot Briey pour une sensibilisation à l'autisme et, plus largement, au handicap invisible.
Il y a aussi : https://auticon.com/fr/services-de-neur ... n/conseil/...
De plus, la Semaine Européenne pour l'Emploi des Personnes Handicapées (SEEPH 2024) débute lundi prochain, 18 novembre.
Bon courage
Pré-diagnostic TSA asperger, de niveau faible à modéré, par psychologue clinicien en 03/2019
Confirmation par psychiatre en 04/2019, à 51 ans
Juin 2020 : tests du bilan diagnostic réalisés dans le privé - QI hétérogène
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- Intarissable
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Re: Parler de sa RQTH en entretien d'embauche et/ou dans l'entreprise
Bienvenue ! HarmonicNode !
Pour en savoir plus le spectre autistique, il est possible de dévorer ici.
Je partage aussi diverses ressources là.
Pour en savoir plus le spectre autistique, il est possible de dévorer ici.
Je partage aussi diverses ressources là.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
Diagnostiqué autiste en l'été 2014