L'asexualité et son spectre

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
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Ostara
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Ostara »

Merci !
Oh trop bien, du jaune ! 💛
Moi j'ai toujours le bout de mes cheveux en bleu, comme quoi les clichés des fois... :mrgreen:
Spoiler : 
hors sujet: avant je vais faire mon néon Peach,si j'en trouve y'a que lime crime qui le fait tout prêt mais bon pas toujours disponible :? ,sinon je mélangerais du corail et du rose,je peut changer a volonté quasiment maintenant j'ai l'impression d'être une métamorphe :lol:
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Deoxys
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Deoxys »

Bon allez, histoire de ne pas terminer sur une note trop mesquine (désolée d'ailleurs pour ton clavier et ton écran, @C3PO :lol:), je souhaitais répondre de manière constructive :

rekkan a écrit : mardi 23 avril 2024 à 17:22Je laisse tomber. Quand on ne veut pas comprendre ...
Je vais m'adonner à une petit mise en perspective :

Admettons que mon asexualité ne soit pas une orientation sexuelle ; une orientation sexuelle étant ce qui fait "s'orienter" sans le vouloir vers les autres sexuellement, sachant que l'on peut s'orienter vers personne (de la même manière que quand on a plusieurs endroits où aller, cela admet aussi de n'être intéressé·e par aucune destination et de préférer rester sur place).

Admettons donc qu'elle ait une origine médicale, psychosomatique comme tu l'as dit ; ou physiologique, hormonale, enfin qu'elle ne soit pas une orientation sexuelle en tout cas.

Ça veut donc dire qu'il y a un problème de santé. Un trouble. Et qui dit problème de santé/trouble, dit prise en charge, traitement le cas échéant, thérapie...
Guérison.

Il faudrait m'expliquer comment on procéderait alors.
Irait-on jusqu'à forcer (ou inciter fortement) les personnes asexuelles qui, en plus de ne pas avoir d'attirance sexuelle pour les autres, sont rebutées par le sexe (moi par exemple) ?
Et comment on apprend à avoir de l'attirance quand on n'en a pas ?
Et comment on déterminerait par quel(s) genre(s) moi par exemple je devrais être attirée ? Devrais-je devenir hétérosexuelle ? Polysexuelle ? Lesbienne ?
Ou alors, on se baserait sur l'attirance romantique quand il y en a une ? Et pour les aromantiques (comme moi), on ferait comment ?

À moins qu'il ne s'agisse d'un trouble incurable ?


Ah... mais j'oubliais, dans tout ça... On parle de trouble quand ça pose un problème.
Sauf qu'une personne asexuelle, à part la pression extérieure subie, ça ne lui pose aucun problème d'être asexuelle.

L'on pourrait rétorquer qu'il y a bien des troubles dont la personne ne se rend pas forcément compte, sauf que dans ce cas, il y a forcément un retentissement (sur l'entourage, ou elle-même sans qu'elle en ait conscience).
Mais ici, non.
On est juste sur quelqu'un·e qui s'écoute (et encore toute personne asexuelle n'a pas cette opportunité malheureusement) et qui, comme moi et bien d'autres, ne s'embête pas avec ce qui ne l'intéresse pas.
Tout simplement.

Est-ce que la majorité des gens ont une orientation sexuelle dirigée vers autrui et donc une attirance sexuelle en conséquence ? Oui.
Est-ce qu'il ne pourrait pas aussi y avoir, dans toute la diversité humaine possible et existante, une minorité non-concernée ou seulement à un degré réduit selon le contexte personnel (et pas si petite car 1 à 2 % de toute la population humaine ça fait beaucoup) ? Bien sûr que si.


À moins que ce ne soient juste la reconnaissance, la légitimation, la réappropriation (par des termes, des revendications) qui te posent problème ?

Comme les personnes qui ne sont pas contre une union des couples homosexuels, pour peu que ce ne soit pas un mariage comme elles elles l'entendent ?
Ou comme les personnes qui ne sont pas contre que les gens vivent leur vie à leur manière, mais s'insurgent dès qu'elles entendent/lisent le pronom "iel" (rappel que la liberté des un·es de vivre à leur manière implique le devoir des autres de les accepter comme légitimes, ou au strict minimum de garder son rejet pour soi) ?


Ne pas oublier non plus qu'ici, ce qui est remis en question, c'est bien la légitimité de groupes de personnes et pas d'autres.
Si encore on remettait en question l'intégralité des constructions humaines, l'intégralité des orientations et identités de genre (donc personnes hétéros et cisgenres comprises), pour tout le monde... soit.
Mais bon, ce serait non seulement compliqué (puisqu'en tant que civilisation nous avons nécessairement des points de repère), mais en plus cela reviendrait tout bonnement à nier à toute personne humaine sa capacité à savoir pour elle-même. À tout relativiser. À ne plus rien affirmer.
Mais au moins, même traitement pour tout le monde !
[Je précise, sait-on jamais, que je ne souhaite pas ça ; c'est un "scénario" hypothétique pour mettre en évidence le souci.]

Sauf que non.
Là, on n'applique cela qu'à certaines personnes, parce qu'elles ne correspondent pas au modèle que l'on admet.
C'est donc bien de la discrimination.
Avec ici, une composante historique, sociologique (tout comme le racisme n'est pas qu'un acte, c'est aussi un phénomène inscrit dans le temps).
Et ça n'a rien à voir, je le précise, avec la légalité (coucou l'esclavage, coucou le DSM qui avait l'homosexualité dedans, coucou le spécisme, coucou les lois transphobes de certains pays comme les USA concernant des putains de toilettes, ...).


Mais bon... Mon message précédent n'était pas qu'humoristique. Je considère qu'on peut toujours apprendre, toujours comprendre, toujours se mettre à jour. :)
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hazufel
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par hazufel »

Je trouve qu'une phrase mentionnée dans le documentaire qu'avait partagé Tugdual, ici résume aussi en peu de mots les préjugés que peuvent avoir nombre de personnes.
"On n'a pas de problèmes à parler de sexe sans amour, ça parait même très "normal" en revanche, parler d'amour sans sexe, semble poser un grand problème ! Alors que ce n'en est pas un" (ce ne sont peut-être pas les mots justes mais ça voulait dire ça. Dit par le couple asexuel.

Il faudrait aussi méditer cela, pour ceux qui ont du mal à percevoir les multiples facettes possibles de liens entre les êtres.
Qu'ils soient romantiques (comme c'est le cas dans l'exemple cité), ou pas (comme nous le décrit parfaitement Deoxys).

Cette phrase écrite par Deoxys me semble très importante aussi dans cette compréhension :
Deoxys a écrit :On est juste sur quelqu'un·e qui s'écoute (et encore toute personne asexuelle n'a pas cette opportunité malheureusement) et qui, comme moi et bien d'autres, ne s'embête pas avec ce qui ne l'intéresse pas.
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Ostara
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Ostara »

Deoxys a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 8:35 Bon allez, histoire de ne pas terminer sur une note trop mesquine (désolée d'ailleurs pour ton clavier et ton écran, @C3PO :lol:), je souhaitais répondre de manière constructive :

rekkan a écrit : mardi 23 avril 2024 à 17:22Je laisse tomber. Quand on ne veut pas comprendre ...
Je vais m'adonner à une petit mise en perspective :

Admettons que mon asexualité ne soit pas une orientation sexuelle ; une orientation sexuelle étant ce qui fait "s'orienter" sans le vouloir vers les autres sexuellement, sachant que l'on peut s'orienter vers personne (de la même manière que quand on a plusieurs endroits où aller, cela admet aussi de n'être intéressé·e par aucune destination et de préférer rester sur place).

Admettons donc qu'elle ait une origine médicale, psychosomatique comme tu l'as dit ; ou physiologique, hormonale, enfin qu'elle ne soit pas une orientation sexuelle en tout cas.

Ça veut donc dire qu'il y a un problème de santé. Un trouble. Et qui dit problème de santé/trouble, dit prise en charge, traitement le cas échéant, thérapie...
Guérison.

Il faudrait m'expliquer comment on procéderait alors.
Irait-on jusqu'à forcer (ou inciter fortement) les personnes asexuelles qui, en plus de ne pas avoir d'attirance sexuelle pour les autres, sont rebutées par le sexe (moi par exemple) ?
Et comment on apprend à avoir de l'attirance quand on n'en a pas ?
Et comment on déterminerait par quel(s) genre(s) moi par exemple je devrais être attirée ? Devrais-je devenir hétérosexuelle ? Polysexuelle ? Lesbienne ?
Ou alors, on se baserait sur l'attirance romantique quand il y en a une ? Et pour les aromantiques (comme moi), on ferait comment ?

À moins qu'il ne s'agisse d'un trouble incurable ?


Ah... mais j'oubliais, dans tout ça... On parle de trouble quand ça pose un problème.
Sauf qu'une personne asexuelle, à part la pression extérieure subie, ça ne lui pose aucun problème d'être asexuelle.

L'on pourrait rétorquer qu'il y a bien des troubles dont la personne ne se rend pas forcément compte, sauf que dans ce cas, il y a forcément un retentissement (sur l'entourage, ou elle-même sans qu'elle en ait conscience).
Mais ici, non.
On est juste sur quelqu'un·e qui s'écoute (et encore toute personne asexuelle n'a pas cette opportunité malheureusement) et qui, comme moi et bien d'autres, ne s'embête pas avec ce qui ne l'intéresse pas.
Tout simplement.

Est-ce que la majorité des gens ont une orientation sexuelle dirigée vers autrui et donc une attirance sexuelle en conséquence ? Oui.
Est-ce qu'il ne pourrait pas aussi y avoir, dans toute la diversité humaine possible et existante, une minorité non-concernée ou seulement à un degré réduit selon le contexte personnel (et pas si petite car 1 à 2 % de toute la population humaine ça fait beaucoup) ? Bien sûr que si.


À moins que ce ne soient juste la reconnaissance, la légitimation, la réappropriation (par des termes, des revendications) qui te posent problème ?

Comme les personnes qui ne sont pas contre une union des couples homosexuels, pour peu que ce ne soit pas un mariage comme elles elles l'entendent ?
Ou comme les personnes qui ne sont pas contre que les gens vivent leur vie à leur manière, mais s'insurgent dès qu'elles entendent/lisent le pronom "iel" (rappel que la liberté des un·es de vivre à leur manière implique le devoir des autres de les accepter comme légitimes, ou au strict minimum de garder son rejet pour soi) ?


Ne pas oublier non plus qu'ici, ce qui est remis en question, c'est bien la légitimité de groupes de personnes et pas d'autres.
Si encore on remettait en question l'intégralité des constructions humaines, l'intégralité des orientations et identités de genre (donc personnes hétéros et cisgenres comprises), pour tout le monde... soit.
Mais bon, ce serait non seulement compliqué (puisqu'en tant que civilisation nous avons nécessairement des points de repère), mais en plus cela reviendrait tout bonnement à nier à toute personne humaine sa capacité à savoir pour elle-même. À tout relativiser. À ne plus rien affirmer.
Mais au moins, même traitement pour tout le monde !
[Je précise, sait-on jamais, que je ne souhaite pas ça ; c'est un "scénario" hypothétique pour mettre en évidence le souci.]

Sauf que non.
Là, on n'applique cela qu'à certaines personnes, parce qu'elles ne correspondent pas au modèle que l'on admet.
C'est donc bien de la discrimination.
Avec ici, une composante historique, sociologique (tout comme le racisme n'est pas qu'un acte, c'est aussi un phénomène inscrit dans le temps).
Et ça n'a rien à voir, je le précise, avec la légalité (coucou l'esclavage, coucou le DSM qui avait l'homosexualité dedans, coucou le spécisme, coucou les lois transphobes de certains pays comme les USA concernant des putains de toilettes, ...).


Mais bon... Mon message précédent n'était pas qu'humoristique. Je considère qu'on peut toujours apprendre, toujours comprendre, toujours se mettre à jour. :)
Oui elle est là la différence,
Une personne qui a des attirances sexuelles,qui a un soucis de libido,qui en souffre, la c'est pathologique parce que la personne ça lui pose un problème elle en souffre (ça peut être dû à une dépression,des traitements aussi,un traumatisme pleins de choses)

Une personne asexuelle et/où aromantique n'en souffre pas puisque c'est son orientation,elle est épanouie comme ça,la chose dont elle peut souffrir c'est justement la pression de la société,

La différence dans les deux exemples cités plus haut, elle saute aux yeux quand même :innocent:

Vous me reprenez si je dis des bêtises hein :mrgreen:
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par rekkan »

J'en aurai beaucoup à dire mais bon ... Je compte, avec son accord, enregistrer mon ami asexuel, qui va démonter toutes vos âneries.
Atteint de TAS, TPE, TSA,dyspraxie constructive visuo-spatiale.
Sors de dépression nerveuse.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Ostara »

rekkan a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 20:54 J'en aurai beaucoup à dire mais bon ... Je compte, avec son accord, enregistrer mon ami asexuel, qui va démonter toutes vos âneries.
Mais y'a une personne asexuelle qui t'as piqué ton Kinder bueno a toi c'est pas possible^^

Deoxys t'explique les choses de façon calme,respectueuses,complètes et pédagogiques,

Comme d'autres personnes ici,

Que tu ne veuille pas l'entendre c'est une chose,et j'ai envie de dire au bout d'un moment c'est ta vie,c'est ton problème,de toute façon cet échange est stérile.

Donc acte,le fil est là pour que les personnes puissent s'exprimer librement si elles le souhaitent sans s'entendre dire que leur orientation est bidon.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par rekkan »

Parce que certaines personnes ici ne semblent pas admettre qu'on ne soit pas de leur avis. D'où mon approche frontale. Toute façon, ce sujet donne lieu à tous les excès et ce fut encore une fois le cas. De plus, si je parle d'âneries, c'est parce qu'il y a un gros problème de compréhension d'un point de vue
sémantique. Sur ce, j'en ai vraiment terminé sur ce sujet et, avertissement, la prochaine personne qui vient me relancer est prévenue : je l'allume !
Je ne suis pas d'accord et il ne sert à rien d'essayer de me faire changer d'avis.
Atteint de TAS, TPE, TSA,dyspraxie constructive visuo-spatiale.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Ostara »

rekkan a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 21:24 Parce que certaines personnes ici ne semblent pas admettre qu'on ne soit pas de leur avis. D'où mon approche frontale. Toute façon, ce sujet donne lieu à tous les excès et ce fut encore une fois le cas. De plus, si je parle d'âneries, c'est parce qu'il y a un gros problème de compréhension d'un point de vue
sémantique. Sur ce, j'en ai vraiment terminé sur ce sujet et, avertissement, la prochaine personne qui vient me relancer est prévenue : je l'allume !
Je ne suis pas d'accord et il ne sert à rien d'essayer de me faire changer d'avis.
Les personnes qui en ont besoin ont le droit de faire vivre ce fil,tu n'as a "allumer" personnes.
Si le fil ne te convient pas tu le lis pas,c'est pas compliqué.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par rekkan »

Je n'ai pas interdit de continuer le fil simplement de venir me contre-argumenter, parce que ça me gonfle et parce que j'estime que tout a été dit. Ta réaction est une nouvelle preuve qu'on ne prend pas la peine de me lire véritablement.
Atteint de TAS, TPE, TSA,dyspraxie constructive visuo-spatiale.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Ostara »

rekkan a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 21:33 Je n'ai pas interdit de continuer le fil simplement de venir me contre-argumenter, parce que ça me gonfle et parce que j'estime que tout a été dit. Ta réaction est une nouvelle preuve qu'on ne prend pas la peine de me lire véritablement.
Ouais bref...

A partir du moment où tu te permet d'exposer un point de vue aussi blessant pour un groupe d'individus,sur un forum public, effectivement c'est le risque.Qui sème le vent récolte la tempête.

Sur ce bonne soirée.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par rekkan »

J'aimerais bien avoir l'avis desdites personnes pour savoir si elles ont été blessées : je parle des non-binaires ou autres.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Lilas »

rekkan a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 21:33 Je n'ai pas interdit de continuer le fil simplement de venir me contre-argumenter,
Ah mais si tu ne veux pas qu'on te contre-argumente, c'est très simple, ne dit rien.
Dans le cas contraire, on ne va forcément pas rester sans réaction si nous ne sommes pas d'accord avec ce que tu dis.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par Deoxys »

rekkan a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 21:24De plus, si je parle d'âneries, c'est parce qu'il y a un gros problème de compréhension d'un point de vue sémantique.
rekkan a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 21:33Je n'ai pas interdit de continuer le fil simplement de venir me contre-argumenter, parce que ça me gonfle et parce que j'estime que tout a été dit. Ta réaction est une nouvelle preuve qu'on ne prend pas la peine de me lire véritablement.
Tu recevras des contre-arguments que cela te plaise ou non. Il faudrait que tu puisses venir réfuter l'asexualité pour ce qu'elle est vraiment, sur un fil de discussion spécifiquement dédié, et qu'en plus tu sois intouchable ? :lol:

En outre, je ne doute pas un seul instant que les personnes qui te répondent lisent bien tes propos et en comprennent la teneur.

Mais tant que j'y suis, laisse-moi t'assurer par ce florilège de citations que le message est on ne peut plus clair :

[Les flèches ramènent aux messages entiers et dans leurs fils respectifs.]
rekkan a écrit : vendredi 23 février 2024 à 20:43Beaucoup ne reposent sur aucune base intellectuelle sérieuse et uniquement sur les affirmations d'une infime minorité.

L'autisme est prouvé scientifiquement, celles-là pas du tout.
rekkan a écrit : lundi 18 mars 2024 à 19:46J'ai fait des recherches et je n'ai personnellement rien trouvé qui atteste objectivement de l'existence de ces orientations.
[...]
On en parle beaucoup depuis plusieurs années, mais contrairement à certains, je conserve mon scepticisme face à de telles allégations.

Quant aux asexuels, l'un de mes amis l'est. Après avoir passé des analyses poussées, ses hormones sont tout à fait normales. Reste l'explication psychosomatique.
rekkan a écrit : mercredi 20 mars 2024 à 19:25j'ai souvent trouvé les arguments faibles voire pitoyables.
rekkan a écrit : jeudi 21 mars 2024 à 16:23je connais déjà tout ça et je n'y crois toujours pas.
rekkan a écrit : jeudi 21 mars 2024 à 18:59je trouve la plupart de ces appellations bidons
rekkan en MP a écrit : C'est bien le problème, car pour moi, ce n'est pas la réalité, juste la perception d'une minorité.
rekkan a écrit : samedi 23 mars 2024 à 20:19j'ai simplement dit que je ne croyais pas à la plupart des identités/orientations sexuelles alternatives.
rekkan a écrit : lundi 22 avril 2024 à 18:02Je n'ai jamais dit que l'asexualité n'existait pas, simplement qu'elle avait peut-être une explication médicale. Quant à la qualifier d'orientation sexuelle : comment une personne dépourvue de désir sexuel pourrait être orientée sexuellement ? C'est illogique !

Je n'ai jamais non plus nié l'existence des personnes non-binaires ou autres. Je réfute simplement leur vision du genre et c'est mon droit le plus strict.
D'ailleurs à ce sujet :
rekkan a écrit : jeudi 7 décembre 2023 à 17:48
Spoiler : 
La non-binarité
, je n'y crois pas !
rekkan a écrit : jeudi 7 décembre 2023 à 18:18ce mouvement nie la réalité
[...]
Les arguments qui m'ont été apportés par les personnes concernées ne m'ont absolument pas convaincu.
rekkan a écrit : jeudi 7 décembre 2023 à 19:14Le genre n'est pas lié à l'anatomie, c'est justement le point qui fâche pour moi, car ça ne repose sur aucune base scientifique, et je me suis renseigné. C'est simplement une opinion et non un fait objectif

(Tout ceci n'annule pas pour autant une possibilité d'amélioration dans le futur. :bravo:)
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par user6539 »

rekkan a écrit : mercredi 24 avril 2024 à 20:54 J'en aurai beaucoup à dire mais bon ... Je compte, avec son accord, enregistrer mon ami asexuel, qui va démonter toutes vos âneries.
Nous attendons, avec une impatience palpable, l'enregistrement, monsieur le pseudo-éclairagiste. De plus, il vous sera exigé de nous fournir les sources et les études scientifiques qui soutiennent, avec une impartialité irréprochable, les assertions que vous osez formuler.
Enfin, si par mégarde, votre intérêt se trouvait orienté vers des écrits relatifs au sexisme ou au masculinisme, sachez que je dispose exactement des documents nécessaires pour satisfaire et défaire cette fâcheuse inclination. ;)

Il est plutôt alarmant de constater l'augmentation du nombre d' » hommes » qui, désabusés par leur incapacité à « trouver l'amour », finissent par adopter des comportements nuisibles envers autrui.
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Re: L'asexualité et son spectre

Message par piedsboueux »

Ça a l'air bien compliqué de juste se faire des vrais câlins qui font du bien et de s'aimer humainement et non bestialement, et sans avoir peur de bander alors qu'on n'a pas en tête de faire la nique.

Tomber amoureux: et ensuite pour 40minutes
https://www.youtube.com/watch?v=KH1l1aMAj8M&t=1550s
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