[Index Solitude] Autiste et célibataire

[HeleneK]

Pour revenir sur le débat j'ai l'impression qu'on vit un monde un peu heraclitéen c'est à dire où le conflit est partout et chaque homme et chaque femme cherchent à se dépasser pour être en couple mais on a aussi des caractéristiques innées qui nous rendent attirant ou pas. D'ailleurs je ne sais pas si ça a été dit ici mais en France les gens font moins l'amour selon les statistiques.
En fait plaire aux femmes c'est un mélange d'inné et d'acquis comme un peu dans tous les domaines où on a besoin de compétences. Et si t'as pas l'inné ou si dans ton enfance on ne t'a pas donné les bases on est comme condamné à la solitude.
Excusez moi si ce que je dis est plat je fais une sorte d'auto-meditation un peu foireuse je le reconnais. Mais c'est à force de réflexions pauvres qu'on arrive à quelque chose.

Je trouve bizarre l'expression "plaire aux femmes", comme si toutes les femmes avaient les mêmes goûts. Attention aux idées reçues, les femmes ne tombent pas toutes amoureuses de beaux gosses arrogants et friqués, comme les masculinistes, par exemple, essaient de le faire croire, pour dévaloriser les femmes et faire croire que si des hommes ne trouvent pas de compagnes, c'est (encore) de la faute des femmes, car vénales et superficielles.

[seul]

Pour revenir sur le débat j'ai l'impression qu'on vit un monde un peu heraclitéen c'est à dire où le conflit est partout et chaque homme et chaque femme cherchent à se dépasser pour être en couple mais on a aussi des caractéristiques innées qui nous rendent attirant ou pas. D'ailleurs je ne sais pas si ça a été dit ici mais en France les gens font moins l'amour selon les statistiques.
En fait plaire aux femmes c'est un mélange d'inné et d'acquis comme un peu dans tous les domaines où on a besoin de compétences. Et si t'as pas l'inné ou si dans ton enfance on ne t'a pas donné les bases on est comme condamné à la solitude.
Excusez moi si ce que je dis est plat je fais une sorte d'auto-meditation un peu foireuse je le reconnais. Mais c'est à force de réflexions pauvres qu'on arrive à quelque chose.

Je trouve bizarre l'expression "plaire aux femmes", comme si toutes les femmes avaient les mêmes goûts. Attention aux idées reçues, les femmes ne tombent pas toutes amoureuses de beaux gosses arrogants et friqués, comme les masculinistes, par exemple, essaient de le faire croire, pour dévaloriser les femmes et faire croire que si des hommes ne trouvent pas de compagnes, c'est (encore) de la faute des femmes, car vénales et superficielles.

Quoi ? Mais si je ne plais pas aux femmes c'est un constat que j'ai fait à répétition et il y a plein d'autres hommes comme moi. Elles n'ont pas toutes les mêmes goûts (d'ailleurs si tu lis mon message à aucun moment je ne dis qu'elles ont les mêmes goûts) je dis juste qu'il y a des hommes qui plaisent à aucune femme.
Excuse moi mais je suis atterré par l'absurdité de ton message. Tu me fais dire des tas de trucs que j'ai jamais dit . Si les débats deviennent aussi débiles j'ai un peu envie de me barrer de ce forum franchement.
C'est quand même chaud d'être dans un état désespéré, de rechercher du soutien et tomber sur un crétinisme pareil.

[seul]

Pardon j'ai eu une dure journée . Mais franchement si c'est pour sortir des trucs wokes par rapport à une phrase qui n'a aucun rapport là j'hallucine c'est le podium, la médaille d'or .

[Escherischieuse]

Pour revenir sur le débat j'ai l'impression qu'on vit un monde un peu heraclitéen c'est à dire où le conflit est partout et chaque homme et chaque femme cherchent à se dépasser pour être en couple mais on a aussi des caractéristiques innées qui nous rendent attirant ou pas. D'ailleurs je ne sais pas si ça a été dit ici mais en France les gens font moins l'amour selon les statistiques.
En fait plaire aux femmes c'est un mélange d'inné et d'acquis comme un peu dans tous les domaines où on a besoin de compétences. Et si t'as pas l'inné ou si dans ton enfance on ne t'a pas donné les bases on est comme condamné à la solitude.
Excusez moi si ce que je dis est plat je fais une sorte d'auto-meditation un peu foireuse je le reconnais. Mais c'est à force de réflexions pauvres qu'on arrive à quelque chose.

Je trouve bizarre l'expression "plaire aux femmes", comme si toutes les femmes avaient les mêmes goûts. Attention aux idées reçues, les femmes ne tombent pas toutes amoureuses de beaux gosses arrogants et friqués, comme les masculinistes, par exemple, essaient de le faire croire, pour dévaloriser les femmes et faire croire que si des hommes ne trouvent pas de compagnes, c'est (encore) de la faute des femmes, car vénales et superficielles.

Quoi ? Mais si je ne plais pas aux femmes c'est un constat que j'ai fait à répétition et il y a plein d'autres hommes comme moi. Elles n'ont pas toutes les mêmes goûts (d'ailleurs si tu lis mon message à aucun moment je ne dis qu'elles ont les mêmes goûts) je dis juste qu'il y a des hommes qui plaisent à aucune femme.
Excuse moi mais je suis atterré par l'absurdité de ton message. Tu me fais dire des tas de trucs que j'ai jamais dit . Si les débats deviennent aussi débiles j'ai un peu envie de me barrer de ce forum franchement.
C'est quand même chaud d'être dans un état désespéré, de rechercher du soutien et tomber sur un crétinisme pareil.

Je me demande si on ne fait pas "fuir" par le fait d'avoir besoin. On dit assez qu'on court souvent après ce qu'on n'a pas. Et quand on nous cherche, on fuit...
Moi, on m'a souvent reproché de trop "attendre" et de trop vouloir d'amour, de présence, de tout. A la limite "étouffante". Alors que je n'en avais pas l'impression.
Comme j'ai remarqué autrefois, que certains hommes m'ont attirée, car, contrairement aux autres, à être "ami" mais à ne absolument pas me chercher. Et à adorer ça. Me laisser le temps et me laisser décider...
Perso, j'ai fini par renoncer à l'amour.
Mais c'est vrai que quand on a ce manque, et qu'on ne sait pas le pourquoi ni si on pourrait espérer un jour, ce n'est pas marrant.
Et effectivement, on vit une époque difficile où les gens aujourd'hui ont + tendance à se crêper le chignon, à douter de l'autre, à craindre... que à être dans le peace and love...
Alors je ne sais que dire... Et je me demande comment les Japonais arrivent à tomber amoureux de leur amie virtuelle... car, ça, c'est encore une autre réalité de notre époque...

Bon, déjà, laissons passer la lune et quelques jours après, pour voir si... Ou effet du printemps aussi?
Moi, je vais manger ma mousse au chocolat...

[Deoxys]

@Scalt - Mais de rien, ça me fait plaisir. L'asexualité (mais pas que) est sujette à l'effacement dans notre société, d'où l'importance du dialogue et de la représentation active, pour faire progresser la connaissance commune.

En parlant de ça :

Il y a un sujet déjà existant sur l'aromantisme : l'on peut soit déplacer les messages vers ce sujet (quitte à ajouter dans le titre le terme "asexualité"), soit créer un sujet dédié sur l'asexualité.

Merci pour ton retour, Curiouser ; il vaudrait sans doute mieux créer un topic dédié (vu que l'aromantisme et l'asexualité sont deux choses distinctes).

Pour revenir sur le débat j'ai l'impression qu'on vit un monde un peu heraclitéen c'est à dire où le conflit est partout et chaque homme et chaque femme cherchent à se dépasser pour être en couple mais on a aussi des caractéristiques innées qui nous rendent attirant ou pas. D'ailleurs je ne sais pas si ça a été dit ici mais en France les gens font moins l'amour selon les statistiques.
En fait plaire aux femmes c'est un mélange d'inné et d'acquis comme un peu dans tous les domaines où on a besoin de compétences. Et si t'as pas l'inné ou si dans ton enfance on ne t'a pas donné les bases on est comme condamné à la solitude.
Excusez moi si ce que je dis est plat je fais une sorte d'auto-meditation un peu foireuse je le reconnais. Mais c'est à force de réflexions pauvres qu'on arrive à quelque chose.

Je trouve bizarre l'expression "plaire aux femmes", comme si toutes les femmes avaient les mêmes goûts. Attention aux idées reçues, les femmes ne tombent pas toutes amoureuses de beaux gosses arrogants et friqués, comme les masculinistes, par exemple, essaient de le faire croire, pour dévaloriser les femmes et faire croire que si des hommes ne trouvent pas de compagnes, c'est (encore) de la faute des femmes, car vénales et superficielles.

Quoi ? Mais si je ne plais pas aux femmes c'est un constat que j'ai fait à répétition et il y a plein d'autres hommes comme moi. Elles n'ont pas toutes les mêmes goûts (d'ailleurs si tu lis mon message à aucun moment je ne dis qu'elles ont les mêmes goûts) je dis juste qu'il y a des hommes qui plaisent à aucune femme.
Excuse moi mais je suis atterré par l'absurdité de ton message. Tu me fais dire des tas de trucs que j'ai jamais dit . Si les débats deviennent aussi débiles j'ai un peu envie de me barrer de ce forum franchement.
C'est quand même chaud d'être dans un état désespéré, de rechercher du soutien et tomber sur un crétinisme pareil.

Je tâcherai de ne pas trop m'étendre, afin de me cantonner à une tentative de solutionnage (et ne pouvant pas, faute de temps actuellement, partir dans une nouvelle logorrhée sur la société) :
As-tu regardé du côté des femmes "qui ne plaisent à aucun homme" ?

J'ai pu lire et entendre des propos tristement incisifs (et attention, je ne te les prête pas) sur ces femmes qu'on appelle des "thons", des "cageots", des "baleines" pour celles frappées de grossophobie, j'en passe et des meilleurs... Des femmes aux côtés desquelles certains hommes ont honte de se montrer en public, qu'ils rechignent à présenter à leur cercle privé, et qu'ils perçoivent non pas comme des personnes méritant empathie et respect, mais comme (désolée du terme) des "vides-couilles".

Et bien sûr, je ne suis pas en train de dire que c'est la solution de secours, le fond de tiroir dont il faut se contenter faute de mieux (ni que c'est le sort de toute femme ne collant pas aux critères de beauté sociétaux, clairement pas).
Au contraire, c'est une invitation à corréler (si ce n'est pas déjà fait) les difficultés que tu évoques dans le dating game, avec celles de femmes à qui la société ne fait pas de cadeau.


Sinon, il y aurait aussi la possibilité de regarder du côté des autistes...

Il a été dit — et avec justesse — qu'on ne s'entend pas forcément avec une personne parce qu'elle a un fonctionnement cognitif similaire au nôtre. Il y a effectivement des couples autiste/non-autiste, et des autistes qui ne peuvent pas se piffrer.
Mais il est vrai aussi que ce dating game peut être très compliqué pour les personnes autistes, les laisser totalement larguées, et que donc peut-être s'assembler en tant que binôme autiste serait une solution.

[hazufel]

Je tâcherai de ne pas trop m'étendre, afin de me cantonner à une tentative de solutionnage (et ne pouvant pas, faute de temps actuellement, partir dans une nouvelle logorrhée sur la société) :
As-tu regardé du côté des femmes "qui ne plaisent à aucun homme" ?

J'ai pu lire et entendre des propos tristement incisifs (et attention, je ne te les prête pas) sur ces femmes qu'on appelle des "thons", des "cageots", des "baleines" pour celles frappées de grossophobie, j'en passe et des meilleurs... Des femmes aux côtés desquelles certains hommes ont honte de se montrer en public, qu'ils rechignent à présenter à leur cercle privé, et qu'ils perçoivent non pas comme des personnes méritant empathie et respect, mais comme (désolée du terme) des "vides-couilles".

Et bien sûr, je ne suis pas en train de dire que c'est la solution de secours, le fond de tiroir dont il faut se contenter faute de mieux (ni que c'est le sort de toute femme ne collant pas aux critères de beauté sociétaux, clairement pas).
Au contraire, c'est une invitation à corréler (si ce n'est pas déjà fait) les difficultés que tu évoques dans le dating game, avec celles de femmes à qui la société ne fait pas de cadeau.


Sinon, il y aurait aussi la possibilité de regarder du côté des autistes...

Il a été dit — et avec justesse — qu'on ne s'entend pas forcément avec une personne parce qu'elle a un fonctionnement cognitif similaire au nôtre. Il y a effectivement des couples autiste/non-autiste, et des autistes qui ne peuvent pas se piffrer.
Mais il est vrai aussi que ce dating game peut être très compliqué pour les personnes autistes, les laisser totalement larguées, et que donc peut-être s'assembler en tant que binôme autiste serait une solution.

Pardon je n’ai pas le temps d’écrire davantage mais juste merci pour tout ce qui a écrit, qui rééquilibre intensément nombre de préjugés bien souvent observés et énoncés.

et dans la liste tu peux ajouter celles qui ont dépassé un âge canonique se situant entre 40 et 45 ans, et tant d’autres encore…

[Escherischieuse]

whaou...
Mais c'est vrai que certaines personnes ne s'arrêtent qu'à l'apparence...
Juste dire que le problème de l'apparence, c'est qu'elle peut être très variable au cours du temps. Ptêt + que le caractère?
Ensuite, ça peut être une question de temps et de s'habituer... tout comme on peut finir par se lasser d'une mannequin, je pense, comme de manger toujours le même caviar ou..., on doit pouvoir s'habituer à un certain visuel et parallèlement de + en + apprécier le non-visuel, pas tjrs montré.
Mais ça ne devrait pas être par dépit, mais parce que le + important ne devrait pas être l'apparence.

Mais, ça, ça dépend des caractères/personnalités de chacun. On n'est pas tous égaux. Même en nourriture, des fois on aimerait réussir à manger et on vomit... Alors que d'autres y parviennent, on se demande comment.

Après, difficile de se mettre à la place.

Juste souhaiter de tout coeur que vous trouverez.

[Chimera]

Je trouve que c'est encore plus fréquent, pour nous les autistes, d'avoir l'impression que l'on ne plaît à personne du genre désiré. J'ai eu une période comme ça aussi, à me sentir complètement à côté de la plaque et indésirable dans ce monde de la drague/recherche de partenaire, et j'en étais triste. Pour être honnête, j'ai toujours ce sentiment ! Je le vis juste mieux qu'avant, peut-être que je me suis résignée à l'idée que mon expérience allait être fondamentalement différente de celle des autres.

Déjà, je crois que je capte rien aux "signaux" de drague. Si je devais vous dire le nombre de fois où un homme s'est mis en colère contre moi et a mis fin à notre amitié, car il disait que je le faisais tourner en bourrique, alors que je croyais que c'était juste un ami... Ou bien, à l'inverse, le nombre de fois où je me prenais d'affection pour quelqu'un qui, de son côté, se servait juste de moi sans vraiment vouloir commencer une relation amoureuse comme il me le laissait entendre... Le plus souvent d'ailleurs, je ne savais pas comment approcher celui sur qui je flashais, et je le regardais se mettre en couple avec une autre. J'ai souvent eu cette impression que je ne pouvais pas être en phase avec qui que ce soit au niveau amoureux, alors que ça paraissait si facile pour d'autres.

Concernant les sites/applis de rencontre, pour moi c'est même pas la peine. C'est vraiment pas mon truc, et je trouve ça dévalorisant au possible quand on a déjà des difficultés au niveau social, car ce genre d'application favorise ceux qui sont déjà à l'aise pour draguer.

Pour ce sentiment de solitude, je n'ai pas vraiment de solution... C'est déjà dur pour moi de me faire des vrais amis, donc des amoureux... voilà quoi. Tout ce que j'espère, c'est que ça puisse me tomber dessus à force de consacrer ma vie à mes hobbies et à essayer de le partager avec les autres. C'est comme ça que j'ai eu mes quelques précédentes relations amoureuses. Et si ça n'arrive jamais... Je commence à me dire que c'est pas grave Devenir la sorcière aux chats solitaire-et-flippante-mais-en-fait-gentille de mon village, c'est déjà un peu dans ma bucket list (perso, je trouve ça classe !)

J'espère que mon message ne manque pas trop de tact ; je sais que la solitude est parfois une vraie souffrance, j'en ai déjà fait les frais. J'essaie juste d'y apporter un peu de légèreté et de me dire que la vie, ça ne se résume pas qu'à la "réussite" amoureuse. On trouve aussi beaucoup de bonheur dans les relations familiales et/ou platoniques. Ou bien dans la compagnie de ses animaux, ou de ses passions, voire même de son monde intérieur. Des fois, c'est même en lâchant prise à ce sujet qu'on finit, comme par hasard, à trouver une personne qui nous correspond et vice-versa. En tout cas, je ne veux pas rester dans l'attente de quelque chose estimée nécessaire pour mon bonheur, sans savoir si j'arriverai à l'avoir ou pas.

[Curiouser]

Il y a un sujet déjà existant sur l'aromantisme : l'on peut soit déplacer les messages vers ce sujet (quitte à ajouter dans le titre le terme "asexualité"), soit créer un sujet dédié sur l'asexualité.

Merci pour ton retour, Curiouser ; il vaudrait sans doute mieux créer un topic dédié (vu que l'aromantisme et l'asexualité sont deux choses distinctes).

Voilà qui est fait, j'ai déplacé quelques messages de cette discussion vers le nouveau sujet.

[Escherischieuse]

Je trouve que c'est encore plus fréquent, pour nous les autistes, d'avoir l'impression que l'on ne plaît à personne du genre désiré. J'ai eu une période comme ça aussi, à me sentir complètement à côté de la plaque et indésirable dans ce monde de la drague/recherche de partenaire, et j'en étais triste. Pour être honnête, j'ai toujours ce sentiment ! Je le vis juste mieux qu'avant, peut-être que je me suis résignée à l'idée que mon expérience allait être fondamentalement différente de celle des autres.

Déjà, je crois que je capte rien aux "signaux" de drague. Si je devais vous dire le nombre de fois où un homme s'est mis en colère contre moi et a mis fin à notre amitié, car il disait que je le faisais tourner en bourrique, alors que je croyais que c'était juste un ami... Ou bien, à l'inverse, le nombre de fois où je me prenais d'affection pour quelqu'un qui, de son côté, se servait juste de moi sans vraiment vouloir commencer une relation amoureuse comme il me le laissait entendre... Le plus souvent d'ailleurs, je ne savais pas comment approcher celui sur qui je flashais, et je le regardais se mettre en couple avec une autre. J'ai souvent eu cette impression que je ne pouvais pas être en phase avec qui que ce soit au niveau amoureux, alors que ça paraissait si facile pour d'autres.

Concernant les sites/applis de rencontre, pour moi c'est même pas la peine. C'est vraiment pas mon truc, et je trouve ça dévalorisant au possible quand on a déjà des difficultés au niveau social, car ce genre d'application favorise ceux qui sont déjà à l'aise pour draguer.

Pour ce sentiment de solitude, je n'ai pas vraiment de solution... C'est déjà dur pour moi de me faire des vrais amis, donc des amoureux... voilà quoi. Tout ce que j'espère, c'est que ça puisse me tomber dessus à force de consacrer ma vie à mes hobbies et à essayer de le partager avec les autres. C'est comme ça que j'ai eu mes quelques précédentes relations amoureuses. Et si ça n'arrive jamais... Je commence à me dire que c'est pas grave Devenir la sorcière aux chats solitaire-et-flippante-mais-en-fait-gentille de mon village, c'est déjà un peu dans ma bucket list (perso, je trouve ça classe !)

J'espère que mon message ne manque pas trop de tact ; je sais que la solitude est parfois une vraie souffrance, j'en ai déjà fait les frais. J'essaie juste d'y apporter un peu de légèreté et de me dire que la vie, ça ne se résume pas qu'à la "réussite" amoureuse. On trouve aussi beaucoup de bonheur dans les relations familiales et/ou platoniques. Ou bien dans la compagnie de ses animaux, ou de ses passions, voire même de son monde intérieur. Des fois, c'est même en lâchant prise à ce sujet qu'on finit, comme par hasard, à trouver une personne qui nous correspond et vice-versa. En tout cas, je ne veux pas rester dans l'attente de quelque chose estimée nécessaire pour mon bonheur, sans savoir si j'arriverai à l'avoir ou pas.

En fait, avec l'âge, je pense qu'on réalise combien durent les couples des autres, que pas tjrs idylliques comme on aimerait qu'ils soient (cette vie de couple), que, une fois âgés, si on avait eu la chance de trouver l'âme soeur, plus dure est le moment du décès de l'un des deux... Sans compter que, déjà, au moment de la retraite, faut que chacun retrouve ses marques...

Donc le célibat, quelque part, c'est quand même + reposant. Juste par moment le manque. Et juste financièrement où à deux, c'est mieux.

Et moi aussi, les souvenirs des crash!

Au lycée, je donnais des bouts de papier à faire passer... Et on m'a dit que ça ne se faisait plus à cet âge-là... donc restée sage et studieuse...
En BTS, ça avait été romantique... Pas compris, et un à avoir parier que, et je l'avais su... Mais en fait, il était finalement tombé amoureux. On s'est retrouvé devant la salle de bal à s'engueuler sous la pluie et finalement à finir par s'embrasser... Bon, mais on était trop explosifs et différents, ça aurait très mal fini dans la durée... (il était du genre "femme, tais-toi!" et moi "mais tu crois quoi?!" Deux univers très très très différents. On aurait vraiment fini par se taper dessus si restés...)

Enfin, bon...

Un ex qui, quand il m'a dit que fini, moi à dire "bon" et partir et lui "c'est tout? Tu ne me fais pas d'histoire?" "ben pourquoi je te ferais des histoires?" "ben je pensais que comme tu es spéciale, tu étais le genre qui déchire tout, etc." "moi? Dis, sérieux, c'est crevant de faire une crise à un mec. Déjà, je voyais bien que tu étais tiède, ensuite, tu n'es pas le seul mec de la terre, et perdre mon temps et mon énergie et risquer des ennuis avec la justice à te faire une crise, non, franchement, c'est ptêt ton fantasme mais pas le mien..." Et il avait l'air très surpris. Et moi à me dire que je n'avais finalement rien perdu car "quel con!"

Tiens, vu que pas de travail, je pourrais presque écrire un bouquin sur les mecs et...

J'ai eu un certain nombre de mecs, en fait, ils étaient jaloux de mes animaux. Mais si je regarde avec le recul, ils avaient raison: j'ai toujours mes animaux... alors que eux...

Trêve de plaisanterie, Seul, Chimera: Pâque seuls? En famille?

Bonne Pâque à vous!