[Index Humeur] Juste pour gueuler !

[Deoxys]

tu dois être super fatiguée c'est insupportable ces tapages dans nos nuits...
Repose toi si tu le peux.

Oui...
Merci à toi ! Au moins mes chats idiots étaient — sont — là, toujours avec moi.

[ikh]

[*] ma voisine qui tambourinait aux murs/au plafond en se plaignant (je cite) "des alcoolos qui font chier"*, dans celui du dessous (sauf que ce qu'elle entendait venait de l'appartement au-dessus du mien... ).[/list]

Tiens, les mêmes que chez moi. Avec la vielle sale folle du dessous qui me conchie et les sans-gêne du dessus qui montent leurs meubles en kit à la visseuse électrique à partir de 23h30, option coups de maillet.
Comme citerait Bubu: « j'ai bien une solution mais c'est 15 ans de taule ».
Les gens, c'est fait pour vivre heureux ... mais pas ensemble.

[Fift]

Cela me rappelle une soirée dans les chambres de bonne quelques étages au-dessus de notre appartement.
C'était l'été, donc les fenêtres (sur cour) ouvertes, et forcément on en "profitait" un peu. Pas suffisamment cependant pour nous empêcher de dormir ... jusqu'à ce qu'un gus gueule dans la cour "vous allez arrêter ce boucan !". Il a dû réveiller à peu près tous ceux qui s'étaient endormis malgré le (léger) bruit ...

[Lapintéressé]

Ah oui, dans le même genre. Contexte : nuit, refuge de haute montagne, ronflements. Et un type qui braille au milieu de la nuit : "non mais c'est pas permis de ronfler et d'empêcher les gens de dormir !". Alors 1) en gueulant tu me réveilles alors que je dormais et 2) tu devrais savoir qu'il faut toujours emporter des bouchons d'oreille dans ce genre d'endroit.

[Ostara]

Je suis vide, épuisée ce soir.

Vous savez ces moments où articuler deux mots vous donnent l'impression de gravir une montagne,comme si vous n'aviez plus d'élan pour parler oralement.

[seul]

Je suis vide, épuisée ce soir.

Vous savez ces moments où articuler deux mots vous donnent l'impression de gravir une montagne,comme si vous n'aviez plus d'élan pour parler oralement.

Oui j'ai eu ça aussi. Tellement fatigué qu'on évite les longues phrases.

[Deoxys]

Bon courage @Ostara et @seul...
Dans ces cas-là faut sortir les solutions de réconfort : sommeil, plat agréable, activité (si possible) tranquille mais passionnante en rapport avec nos intérêts... câlins chat/chien le cas échéant... Et s'autoriser à rester dans sa caverne pour récupérer, si le besoin se fait sentir.

En ce qui concerne les messages sur le bruit dans les habitations : j'ai été à la fois un peu amusée et assez exaspérée à la lecture. Et je compatis, pour toustes celleux qui subissent des nuisances sonores... C'est déjà pas facile à la base, alors quand on est autiste et/ou sensible au bruit...

Edit - Quoique j'ai parlé un peu vite, je peux comprendre que les gens "profitent" comme Fift le dit dans son message. Ce n'est pas pour autant de l'irrespect pour le voisinage. Tout dépend de la fréquence, de l'intensité... Désolée !

[seul]

C'est plutôt parce que je lis tout le temps que je n'aime pas trop de bruits. Il faut sûrement un contrôle des émotions dans ce genre de problèmes enfin je n'y suis jamais parvenu.

[Ostara]

Bon courage @Ostara et @seul...
Dans ces cas-là faut sortir les solutions de réconfort : sommeil, plat agréable, activité (si possible) tranquille mais passionnante en rapport avec nos intérêts... câlins chat/chien le cas échéant... Et s'autoriser à rester dans sa caverne pour récupérer, si le besoin se fait sentir.

En ce qui concerne les messages sur le bruit dans les habitations : j'ai été à la fois un peu amusée et assez exaspérée à la lecture. Et je compatis, pour toustes celleux qui subissent des nuisances sonores... C'est déjà pas facile à la base, alors quand on est autiste et/ou sensible au bruit...

Edit - Quoique j'ai parlé un peu vite, je peux comprendre que les gens "profitent" comme Fift le dit dans son message. Ce n'est pas pour autant de l'irrespect pour le voisinage. Tout dépend de la fréquence, de l'intensité... Désolée !

Oui c'est ce que je fais,je le vois même au boulot difficile de supporter les échanges sociaux ça me fatigue,

Pourtant je suis assez zen en ce moment j'ai du lorazepam et du brintellix,les deux ensemble m'appaisent un peu,je vais moins être angoissée,sur le moment,mais la fatigue et l'envie de partir s'isoler elle est toujours là,j'ai des gros moments d'absences quand on me parle,j'arrive plus à faire parvenir les paroles des autres dans mon cerveau,

C'est là que tu te rend bien compte de ton diagnostic,que tu réalise que l'anxiété ne fait pas tout non plus qu'il y a d'autres difficultées...

Comme si mon cerveau me disait "tu peut pas t'absenter de cet endroit,allez ok mais moi je me met en veille alors" c'est exactement ça.

[aspi_rateur]

Atmosphère pesante au travail : je dois me battre pour trouver des choses à faire, et on m'exclut des réunions équipes sans explication.

[Lilas]

Aïe, ce n'est pas bon signe.
Tu as l'impression qu'ils te laissent délibérément de côté ?

[ikh]

Atmosphère pesante au travail : je dois me battre pour trouver des choses à faire, et on m'exclut des réunions équipes sans explication.

J'ai été comme ça quand j'étais plus jeune. Puis avec le temps, quand on ne me donne pas de boulot, je n'en cherche pas, je m'occupe.

[aspi_rateur]

Oui, je dérange je crois... Même si en face ils disent être contents de mon travail, dès que j'ai le dos tourné c'est une autre histoire.

[aspi_rateur]

Atmosphère pesante au travail : je dois me battre pour trouver des choses à faire, et on m'exclut des réunions équipes sans explication.

J'ai été comme ça quand j'étais plus jeune. Puis avec le temps, quand on ne me donne pas de boulot, je n'en cherche pas, je m'occupe.

Pas mal cette illustration
Oui c'est une façon de voir les choses. Mais je pense que si ça continue comme ça je vais devoir (essayer) de changer d'emploi.

[Lilas]

Oui, je dérange je crois... Même si en face ils disent être contents de mon travail, dès que j'ai le dos tourné c'est une autre histoire.

Tu es en CDI ? ça fait longtemps ?
Il y a le travail en lui-même, et il y a le côté "intégration au reste de l'équipe".
C'est souvent ce dernier point qui cloche dans l'appréciation que l'employeur a de nous.