Recherches sur l'autisme
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Re: Recherches sur l'autisme
misflo, ca peut se vérifier facilement, lance toi pour le cinquième sans prendre de vitamines pour voir
Papa (Aspi) de 2 enfants ; Raphaël (6 ans, Aspie) et Hadriel (4 ans et demi NT).
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Re: Recherches sur l'autisme
la science fera l'expérience sans moi, trop de risques pour un autre enfant, j'ai l'interdiction formelle de faire d'autres essais !misflo, ca peut se vérifier facilement, lance toi pour le cinquième sans prendre de vitamines pour voir
... sans compter qu'élever ces enfants atypiques est assez sportif, des fois j'aimerai bien essayer de m'ennuyer pour voir ce que ça fait
Maman de 4 enfants atypiques, dont 2 ont un diagnostique de Syndrome d'Asperger.
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Re: Recherches sur l'autisme
C'est nul l'ennui ! tu rates rien.
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Re: Recherches sur l'autisme
L'autisme change la structure moléculaire du cerveau: Des éléments découverts sur une cause commune d'une maladie à multiples facettes.
Traduction sur le site Autisme Information Science
ScienceDaily (27 mai 2011) - Pendant des décennies, les chercheurs ont été confrontés à l'autisme une énigme déconcertante: comment déchiffrer un désordre qui ne laisse aucune trace physique connue comme elle se développe dans le cerveau.
Maintenant, une étude UCLA est la première à révéler la façon dont le trouble laisse des traces au niveau moléculaire, avec pour résultat un cerveau autiste qui diffère considérablement de la structure d'une personne en bonne santé.
A lire la suite sur http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... re-of.html
Traduction sur le site Autisme Information Science
ScienceDaily (27 mai 2011) - Pendant des décennies, les chercheurs ont été confrontés à l'autisme une énigme déconcertante: comment déchiffrer un désordre qui ne laisse aucune trace physique connue comme elle se développe dans le cerveau.
Maintenant, une étude UCLA est la première à révéler la façon dont le trouble laisse des traces au niveau moléculaire, avec pour résultat un cerveau autiste qui diffère considérablement de la structure d'une personne en bonne santé.
A lire la suite sur http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... re-of.html
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Re: Recherches sur l'autisme
Hmmm...
Et en lisant l'article je relis le mot maladie!!
Par contre les prelevements sont fait post mortem? Pourquoi pas, je me demande comment ils ont trouvé 17 autistes decedés et volontaire...
Mais trés interessant quand meme.
Mais les autistes sont en bonne santé aussi!!avec pour résultat un cerveau autiste qui diffère considérablement de la structure d'une personne en bonne santé.
Et en lisant l'article je relis le mot maladie!!
Par contre les prelevements sont fait post mortem? Pourquoi pas, je me demande comment ils ont trouvé 17 autistes decedés et volontaire...
Mais trés interessant quand meme.
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Re: Recherches sur l'autisme
Je me suis posé la même question. J'ai même compris que les prélèvements pour les volontaires "sains" étaient faits ante-mortem. Ils ne devaient plus être si "sains" après le prélèvement. Mais, c'est troublant que pour les "sains d'esprit", il est question de « volontaires », alors que pour les autistes, ce sont des « patients ».maho a écrit :Par contre les prelevements sont fait post mortem? Pourquoi pas, je me demande comment ils ont trouvé 17 autistes decedés et volontaire...
Ils ont comparé les échantillons de tissus cérébraux prélevés post mortem sur 19 patients avec autisme et 17 volontaires sains.
NB : il faudrait vérifier l'article en anglais, et la recherche originale aussi.
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Re: Recherches sur l'autisme
Autre remarque, on arrive pas a savoir si c'est une base commune ou une cause fréquente.
dans ces cas là quant il annoncent l'article en écrivent
Ils ont découvert et identifié une mécanise commun (qui a soit dit en passant plusieurs origines envisageables), et qui s'inscrit comme cause récurrente mais pas inique d'un trouble.
En fait il semble que sur la même référence on pourrait tout aussi bien écrire qu'ils ont démontré que l'autisme ne peut pas être assimilé a une maladie puisque qu'il n'y a pas une et une seule origine physiologique commune, mais au contraire pas plus de la moitié est cas touché par ce mécanisme identifié...
Sous entendu c'est la cause de la maladie autistique (j'aime pas non plus mais c'est clairement l'orientation du papier), mais on peut lire aussi :nous fournissons la preuve que les changements moléculaires communs dans la fonction neuronale et dans la communication sont une cause, pas un effet du trouble.
Donc une partie seulement?Du point de vue moléculaire, la moitié de ces cerveaux partagé une signature génétique commune
dans ces cas là quant il annoncent l'article en écrivent
c'est carrément trompeur!une cause commune d'une maladie à multiples facettes.
Ils ont découvert et identifié une mécanise commun (qui a soit dit en passant plusieurs origines envisageables), et qui s'inscrit comme cause récurrente mais pas inique d'un trouble.
En fait il semble que sur la même référence on pourrait tout aussi bien écrire qu'ils ont démontré que l'autisme ne peut pas être assimilé a une maladie puisque qu'il n'y a pas une et une seule origine physiologique commune, mais au contraire pas plus de la moitié est cas touché par ce mécanisme identifié...
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Re: Recherches sur l'autisme
On peut aujourd'hui être certain qu'il n'y aura pas un seul gène identifié (comme pour la trisomie 21) ou un responsable (par exemple les vaccins).
Et qu'il y a une série de causes différentes qui donnent les mêmes résultats ... mais très variés.
Si on trouve un élément présent chez la moitié des TSA/TED, c'est déjà pas mal. Le déficit de mélatonine, par exemple, ne concerne que 30% à peu près d'entre eux, et peut avoir plusieurs origines.
PS : si la responsabilité est celle des mères, et vu qu'il y a peu près autant de mères (moins quand même) que d'autistes enfants de telles mères, on ne sera pas plus avancé.
Et qu'il y a une série de causes différentes qui donnent les mêmes résultats ... mais très variés.
Si on trouve un élément présent chez la moitié des TSA/TED, c'est déjà pas mal. Le déficit de mélatonine, par exemple, ne concerne que 30% à peu près d'entre eux, et peut avoir plusieurs origines.
PS : si la responsabilité est celle des mères, et vu qu'il y a peu près autant de mères (moins quand même) que d'autistes enfants de telles mères, on ne sera pas plus avancé.
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Re: Recherches sur l'autisme
J'avais lu une unité de résultat pour la moitié seulement, ce qui faisait tout aussi bien la démonstration qu'il n'y avait pas d'unité, d'où ma réponse.
Il semble a la relecture que c'est bien une unité dans la non différenciation de la structure moléculaire dans les lobes, donc une vrais piste d'unité physiologique a explorer, et une partie seulement avec la même "signature génétique au niveau moléculaire", donc une cause récurrente mais pas la seule a ce qui ferrait l'unité.
(Ca reste a vérifier avec le texte d'origine quant même, par ce que c'est vraiment pas limpide.)
PS: j'ai pas compris la réponse sur l’hypothèse de la responsabilité des mères mais c'est complètement hors sujet. J'espère qu'on en est pas encore a tout rapporter a ce conflit d'un autre âge.
Il semble a la relecture que c'est bien une unité dans la non différenciation de la structure moléculaire dans les lobes, donc une vrais piste d'unité physiologique a explorer, et une partie seulement avec la même "signature génétique au niveau moléculaire", donc une cause récurrente mais pas la seule a ce qui ferrait l'unité.
(Ca reste a vérifier avec le texte d'origine quant même, par ce que c'est vraiment pas limpide.)
PS: j'ai pas compris la réponse sur l’hypothèse de la responsabilité des mères mais c'est complètement hors sujet. J'espère qu'on en est pas encore a tout rapporter a ce conflit d'un autre âge.
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Re: Recherches sur l'autisme
C'est une blague - mauvaise si je suis le seul à la comprendre. Y a-t-il autant de mères d'autistes que d'autistes ? Non, bien sûr, parce qu'il y a beaucoup de jumeaux, sans compter le reste de la fratrie. Cela fait beaucoup de causes génétiques possibles, puisque chaque autiste est différent.manu a écrit :PS: j'ai pas compris la réponse sur l’hypothèse de la responsabilité des mères mais c'est complètement hors sujet. J'espère qu'on en est pas encore a tout rapporter a ce conflit d'un autre âge.
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Re: Recherches sur l'autisme
Responsabilité génétique, c'est ça la blague?
Jusqu’à 12-13 ans je me faisais quasi systématiquement expliquer les blagues, et une fois qu'on m'avais bien décortiqué le truc, je disais "ben c'est pas drôle", et on me répondais, "effectivement, étalé comme ça c'est plus drôle du tout ... "
Avec le recul je trouve souvent super drôle le coup du gag qui prend pas quant on le démonte, mais j'ai pas fait exprès, promis.
Jusqu’à 12-13 ans je me faisais quasi systématiquement expliquer les blagues, et une fois qu'on m'avais bien décortiqué le truc, je disais "ben c'est pas drôle", et on me répondais, "effectivement, étalé comme ça c'est plus drôle du tout ... "
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Re: Recherches sur l'autisme
Effectivement, je jouais sur le non-dit. Je ne parlais pas de "responsabilité génétique", ni de carence affective ou froideur de la mère : mais on pouvait l'entendre comme on le voulait, et normalement je devais me faire lyncher.manu a écrit :Responsabilité génétique, c'est ça la blague?
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Re: Recherches sur l'autisme
Il y a des blagues qui n'en sont plus et des baffes qui se perdent
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.
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Re: Recherches sur l'autisme
+1 Manumanu a écrit :je me faisais quasi systématiquement expliquer les blagues, et une fois qu'on m'avais bien décortiqué le truc, je disais "ben c'est pas drôle", et on me répondais, "effectivement, étalé comme ça c'est plus drôle du tout ... "
Avec le recul je trouve souvent super drôle le coup du gag qui prend pas quant on le démonte
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Re: Recherches sur l'autisme
la prochaine fois alors, promis.Jean a écrit :et normalement je devais me faire lyncher.
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