Et lol y'en a un de Lucius qui vient d'arriver, arghhh d'un côté mon cerveau est fou de joie d'un autre il est désemparé parce que je dois mettre un stop.
On est nombreuses, décidément !Ambre a écrit : ↑vendredi 22 septembre 2023 à 19:25Moi ça ne m'a jamais intéressée, ça ne m'était même jamais venu à l'esprit que je puisse en avoir jusqu'à ce qu'on me pose la question (qui m'avait fait un choc xD). Maintenant je suis habituée à ce qu'on me demande si j'ai des enfants, mais ça m'étonne toujours ^^
De toute manière, je serais incapable de m'occuper d'un enfant, je n'arrive déjà pas à m'occuper de moi-même. Puis il y a toutes les horreurs liées à la grossesse (changement hormonal, modifications physiques, douleurs de l'accouchement, contact tactile avec l'enfant, berk).
Et il y a un gros risque de transmettre l'autisme, je ne trouve pas que ce soit un cadeau, plus les troubles qui l'accompagnent.
Et j'ai une image négative de la vie, je vois pas l'intérêt de transmettre cette torture, après pas obligé que l'enfant pense comme nous, mais sait-on jamais...
Il faut vraiment que ça vienne de soi, en fait. Toi seule auras le dernier mot sur ce que tu souhaites pour ta vie.
(Par contre j'avais entendu d'une pro' que certaines personnes autistes, de par leurs spécificités sensorielles, pouvaient être à la fois hypersensibles à des effleurements, et à la fois accoucher sans péridurale sans souffrir plus que ça. Dans les faits, je pense que c'est pas si fréquent que ça, et que ça doit dépendre grandement de la personne... Un peu extrême à mon sens, j'émets une réserve. )
Je vois ce que tu veux dire.lucius a écrit : ↑vendredi 22 septembre 2023 à 19:04Je comprends le HS, mais je vois des gens qui ne veulent pas d'enfants pour leur carrière, envie de voyager, planète et la surpopulation... mais à 50 ans ils finissent seuls car les amis ont une famille... ils se prennent des animaux de compagnie. Un cousin ne voulait pas d'enfant pour sa liberté de voyager. Il est seul avec 3 chiens( 1,5-1,8 kg de croquettes par jour) pour supporter la solitude et n'arrive même plus à voyager car il n'arrive pas à confier ses gros chiens.
Je pense au "vrai" écolo à cause d'un ado très critique sur le mode de vie de son père qui l'a embêté pour avoir un smartphone et une console de jeu avec abonnement. C'est un peu du sarcasme. Mais je vois beaucoup de gens me parler d'écologie et me montrer des photos de leurs chats (une qui habille son chat en plus).
C'est bien en rapport avec le concept de la surpopulation et la pollution évoquées avant.
Si certains veulent la fin des voitures en ville, il faudrait envisager aussi de limiter la possession de certains animaux.
De mon côté, le principe de "profiter de sa vie, favoriser sa carrière" ne m'est jamais vraiment venu, donc je comprends de quoi tu parles mais ne suis pas sûre de bien saisir la démarche personnelle derrière.
Peut-être que ces personnes, certaines du moins, confondent le fait de prioriser des aspects de leur vie avec l'absence véritable de désir d'enfant (au fond de soi, mon cas et celui de bien d'autres).
Moi par exemple : je n'ai jamais eu à prioriser quelqu'aspect de ma vie que ce soit par rapport à l'éventualité de fonder une famille. Car la question ne s'est jamais posée. Je n'ai en fait même pas eu à me poser la question : "est-ce que j'en veux ?" pour savoir que non, au départ. Je fonctionnais déjà ainsi naturellement. Je me suis posé la question par après, pour explorer le sujet et justement mieux comprendre où je me situais par rapport à ça ; même conclusion.
Par conséquent, je n'ai jamais eu à organiser ma vie autour/en anticipation de ça. Pas du tout concernée, en fait.
J'imagine que l'idée de profiter de sa jeunesse, ou de se construire la carrière à laquelle on aspire, est fondamentale pour l'épanouissement de certaines personnes — et que cela permet d'assurer un socle solide à sa descendance.
Maintenant, dans tous les cas, il y aura toujours un risque de regrets, de changement d'avis.
C'est comme ça. Il faut bien trancher à un moment : on fonde une famille ou on n'en fonde pas, avec la possibilité de kiffer ou de regretter. Il y a toujours une part d'aléatoire. Quoi que... je mets ma main à couper que je ne regretterai jamais
En tout cas, cette part d'aléatoire est propre à chaque personne ; une personne qui regrette, c'est une personne qui regrette.
Cela ne veut rien dire d'une autre étant dans une situation analogue.
Spoiler : Pour le reste plus HS :