Oui je me suis permise de lire ta présentation (qui est très interessante soit-dit en passant) et effectivement l'attitude non-ethique des directeurs de thése est consternante. Je me le mets dans un coin de ma mémoire afin de ne pas être prise au dépourvu lorsque je serais à ce niveau-là et je tenterais de tenir le coup si celà m'arrivait.Kumi_44 a écrit : ↑samedi 2 septembre 2023 à 23:55Cool ! Super projet !MimiJokie31 a écrit : ↑samedi 2 septembre 2023 à 23:07De même, c'est pourquoi j'ai du quitter le marché de l'emploi. Pour le moment, je vis du RSA en attendant de recevoir l'AAH (dejà voir si ma demande est accepté) afin de me permettre de reprendre mes études l'année prochaine en vue d'une carriére d'enseignante chercheuse en neuropsychologie spécialisée dans les troubles du spectre de l'autisme.Kumi_44 a écrit : ↑samedi 2 septembre 2023 à 22:47
Très vrai !
J'avoue au niveau professionnel ne plus avoir réellement d'espoir d'être intégrer quelque part. Mon éthique reprend le dessus à chaque fois !
"Prendre sur soi", je ne peux plus clairement. Et pourtant, je l'ai fait pendant plusieurs mois dans un cadre "handifriendly". Ces remarques de "prendre sur soi" me gave vraiment. Par contre, les autres peuvent se permettre de ne pas prendre sur eux ! *hurle*
Pour ma part ayant arrivée jusqu'à la thèse (chimie theorique), c'est une galère sans nom (détails dans ma présentation).
Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Oui je me suis permise de lire ta présentation (très interessante soit dit en passant) et effectivement l'attitude des directeurs de theses est consternante. Lorsque je serais à ce niveau-là je m'en souviendrais afin de ne pas me laisser au dépourvu.Kumi_44 a écrit : ↑samedi 2 septembre 2023 à 23:55Cool ! Super projet !MimiJokie31 a écrit : ↑samedi 2 septembre 2023 à 23:07De même, c'est pourquoi j'ai du quitter le marché de l'emploi. Pour le moment, je vis du RSA en attendant de recevoir l'AAH (dejà voir si ma demande est accepté) afin de me permettre de reprendre mes études l'année prochaine en vue d'une carriére d'enseignante chercheuse en neuropsychologie spécialisée dans les troubles du spectre de l'autisme.Kumi_44 a écrit : ↑samedi 2 septembre 2023 à 22:47
Très vrai !
J'avoue au niveau professionnel ne plus avoir réellement d'espoir d'être intégrer quelque part. Mon éthique reprend le dessus à chaque fois !
"Prendre sur soi", je ne peux plus clairement. Et pourtant, je l'ai fait pendant plusieurs mois dans un cadre "handifriendly". Ces remarques de "prendre sur soi" me gave vraiment. Par contre, les autres peuvent se permettre de ne pas prendre sur eux ! *hurle*
Pour ma part ayant arrivée jusqu'à la thèse (chimie theorique), c'est une galère sans nom (détails dans ma présentation).
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Merci d'avoir pris ce temps de lecture ! Il faut savoir aussi que je n'étais pas diag à l'époque et que j'ai tout fait pour le cacher. Ça ne sera pas ton cas déjà.MimiJokie31 a écrit : Oui je me suis permise de lire ta présentation (qui est très interessante soit-dit en passant) et effectivement l'attitude non-ethique des directeurs de thése est consternante. Je me le mets dans un coin de ma mémoire afin de ne pas être prise au dépourvu lorsque je serais à ce niveau-là et je tenterais de tenir le coup si celà m'arrivait.
Oui surtout dis toi que c'est un monde de brute et les places sont chères. En psychologie, je ne sais pas comment se passe les financements de thèse mais déjà c'est galère en science dure.
C'est un bon projet et je te souhaite que tu arrives jusque là.
J'ai galèré mais je ne regrette rien. Loin de là !
Pour ma part, j'essaie de reprendre mais dans mon coin. C'est encore fragile mais ça commence à prendre forme aussi.
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Je t'en prie, tu sais maintenant je prends mon temps pour m'interesser aux personnes qui me souhaite la bienvenue avec autant de bienveillance et en lisant ta présentation,il est vrai que je me suis beaucoup retrouvée dans ton parcours.Kumi_44 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 0:16Merci d'avoir pris ce temps de lecture ! Il faut savoir aussi que je n'étais pas diag à l'époque et que j'ai tout fait pour le cacher. Ça ne sera pas ton cas déjà.MimiJokie31 a écrit : Oui je me suis permise de lire ta présentation (qui est très interessante soit-dit en passant) et effectivement l'attitude non-ethique des directeurs de thése est consternante. Je me le mets dans un coin de ma mémoire afin de ne pas être prise au dépourvu lorsque je serais à ce niveau-là et je tenterais de tenir le coup si celà m'arrivait.
Oui surtout dis toi que c'est un monde de brute et les places sont chères. En psychologie, je ne sais pas comment se passe les financements de thèse mais déjà c'est galère en science dure.
C'est un bon projet et je te souhaite que tu arrives jusque là.
J'ai galèré mais je ne regrette rien. Loin de là !
Pour ma part, j'essaie de reprendre mais dans mon coin. C'est encore fragile mais ça commence à prendre forme aussi.
Alors d'après les dires de mes professeurs ou doctorants en professeur vacataire (si je ne me trompe pas) il est galére de trouver un financement et la lutte est complexe pour arriver au bout du projet.
Mais de mon coté, je tiens bon car travailler à aider des personnes autistes à s'épanouir pour elles-mêmes et en parallele informer la société et faire avancer la science (même si ce n'est pas une science dure) dans l'acceptation de la neurodiversité ca me motive afin de me mesurer à des personnes cruels et sans scrupule.
Comme tu l'as bien souligné, je ne partirais pas avec un masque comme ca été ton cas. Loin de là. D'entrée de jeu, j'expliquerais ma condition si je vois que le moment s'y apprête sans compter que j'aurais un soutien psychologique pour m'appuyer.
Je n'en doute pas et un grand bravo à toi !
Lorsque tu dis reprendre dans ton coin, tu reprends en autodidacte ou tu te repenches dans la redaction de ta thése?
Après il faut se laisser le temps et commencer en y allant mollo afin de ne pas se traumatiser par une reprise précipitée.
C'est ce que j'essaie de faire avec la psychologie.
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
C'est une bonne chose ! Alors il est vrai que des personnes aiment comparer les sciences et que les sciences dures sont plus "nobles" que les sciences sociales. Ce n'est pas mon cas, je ne hiérarchise pas les savoirs : elles font avancer l'humanité chacun à sa manière. Cette impression de vouloir aider et faire progresser est ce que je ressens aussi, c'est vraiment cool de lire ça. Je pense que si je m'étais orientée vers la psychologie à l'époque, j'aurais pu travailler sur le sujet du TSA (j'ai une biblio sur les lectures faites à l'époque ).MimiJokie31 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 0:28Je t'en prie, tu sais maintenant je prends mon temps pour m'interesser aux personnes qui me souhaite la bienvenue avec autant de bienveillance et en lisant ta présentation,il est vrai que je me suis beaucoup retrouvée dans ton parcours.Kumi_44 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 0:16Merci d'avoir pris ce temps de lecture ! Il faut savoir aussi que je n'étais pas diag à l'époque et que j'ai tout fait pour le cacher. Ça ne sera pas ton cas déjà.MimiJokie31 a écrit : Oui je me suis permise de lire ta présentation (qui est très interessante soit-dit en passant) et effectivement l'attitude non-ethique des directeurs de thése est consternante. Je me le mets dans un coin de ma mémoire afin de ne pas être prise au dépourvu lorsque je serais à ce niveau-là et je tenterais de tenir le coup si celà m'arrivait.
Oui surtout dis toi que c'est un monde de brute et les places sont chères. En psychologie, je ne sais pas comment se passe les financements de thèse mais déjà c'est galère en science dure.
C'est un bon projet et je te souhaite que tu arrives jusque là.
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Pour ma part, j'essaie de reprendre mais dans mon coin. C'est encore fragile mais ça commence à prendre forme aussi.
Alors d'après les dires de mes professeurs ou doctorants en professeur vacataire (si je ne me trompe pas) il est galére de trouver un financement et la lutte est complexe pour arriver au bout du projet.
Mais de mon coté, je tiens bon car travailler à aider des personnes autistes à s'épanouir pour elles-mêmes et en parallele informer la société et faire avancer la science (même si ce n'est pas une science dure) dans l'acceptation de la neurodiversité ca me motive afin de me mesurer à des personnes cruels et sans scrupule.
Comme tu l'as bien souligné, je ne partirais pas avec un masque comme ca été ton cas. Loin de là. D'entrée de jeu, j'expliquerais ma condition si je vois que le moment s'y apprête sans compter que j'aurais un soutien psychologique pour m'appuyer.
Je n'en doute pas et un grand bravo à toi !
Lorsque tu dis reprendre dans ton coin, tu reprends en autodidacte ou tu te repenches dans la redaction de ta thése?
Après il faut se laisser le temps et commencer en y allant mollo afin de ne pas se traumatiser par une reprise précipitée.
C'est ce que j'essaie de faire avec la psychologie.
Par contre, soit prévenue : les critiques font parti du processus de recherche. Mais elles seront constructives et si tu ne te caches pas, je ne doute pas que l'équipe de recherche qui accepterait de te prendre seront bienveillant. Et puis il y a besoin de neurodiversité dans la recherche en psychologie. Surtout de la recherche participative !
Alors c'est compliqué à expliquer comme ça mais pour faire simple ça sera les deux (je détaille où j'en suis en ce moment dans ma présentation, je ne préfère pas l'écrire ici).
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Et bien je suis contente que tu partages également cette engouement à vouloir aider, c'est très appréciable surtout dans une société de plus en plus individualiste. Ca ne m'étonnes pas du toutKumi_44 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 10:39C'est une bonne chose ! Alors il est vrai que des personnes aiment comparer les sciences et que les sciences dures sont plus "nobles" que les sciences sociales. Ce n'est pas mon cas, je ne hiérarchise pas les savoirs : elles font avancer l'humanité chacun à sa manière. Cette impression de vouloir aider et faire progresser est ce que je ressens aussi, c'est vraiment cool de lire ça. Je pense que si je m'étais orientée vers la psychologie à l'époque, j'aurais pu travailler sur le sujet du TSA (j'ai une biblio sur les lectures faites à l'époque ).MimiJokie31 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 0:28Je t'en prie, tu sais maintenant je prends mon temps pour m'interesser aux personnes qui me souhaite la bienvenue avec autant de bienveillance et en lisant ta présentation,il est vrai que je me suis beaucoup retrouvée dans ton parcours.Kumi_44 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 0:16
Merci d'avoir pris ce temps de lecture ! Il faut savoir aussi que je n'étais pas diag à l'époque et que j'ai tout fait pour le cacher. Ça ne sera pas ton cas déjà.
Oui surtout dis toi que c'est un monde de brute et les places sont chères. En psychologie, je ne sais pas comment se passe les financements de thèse mais déjà c'est galère en science dure.
C'est un bon projet et je te souhaite que tu arrives jusque là.
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Pour ma part, j'essaie de reprendre mais dans mon coin. C'est encore fragile mais ça commence à prendre forme aussi.
Alors d'après les dires de mes professeurs ou doctorants en professeur vacataire (si je ne me trompe pas) il est galére de trouver un financement et la lutte est complexe pour arriver au bout du projet.
Mais de mon coté, je tiens bon car travailler à aider des personnes autistes à s'épanouir pour elles-mêmes et en parallele informer la société et faire avancer la science (même si ce n'est pas une science dure) dans l'acceptation de la neurodiversité ca me motive afin de me mesurer à des personnes cruels et sans scrupule.
Comme tu l'as bien souligné, je ne partirais pas avec un masque comme ca été ton cas. Loin de là. D'entrée de jeu, j'expliquerais ma condition si je vois que le moment s'y apprête sans compter que j'aurais un soutien psychologique pour m'appuyer.
Je n'en doute pas et un grand bravo à toi !
Lorsque tu dis reprendre dans ton coin, tu reprends en autodidacte ou tu te repenches dans la redaction de ta thése?
Après il faut se laisser le temps et commencer en y allant mollo afin de ne pas se traumatiser par une reprise précipitée.
C'est ce que j'essaie de faire avec la psychologie.
Par contre, soit prévenue : les critiques font parti du processus de recherche. Mais elles seront constructives et si tu ne te caches pas, je ne doute pas que l'équipe de recherche qui accepterait de te prendre seront bienveillant. Et puis il y a besoin de neurodiversité dans la recherche en psychologie. Surtout de la recherche participative !
Alors c'est compliqué à expliquer comme ça mais pour faire simple ça sera les deux (je détaille où j'en suis en ce moment dans ma présentation, je ne préfère pas l'écrire ici).
Bon bah ca me rassure en quelque-sorte si c'est le cas. Même si je sais que tout le monde ne sera pas bienveillant.
D'accord, je comprends tout à fait, il n'y a aucun soucis
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Je n'ai pas toujours su ce que signifiait individualisme. Je pense en tout cas que de nombreuses pathologies pourraient être diminuées dans une société d'entraide.MimiJokie31 a écrit : ↑lundi 4 septembre 2023 à 12:50 Et bien je suis contente que tu partages également cette engouement à vouloir aider, c'est très appréciable surtout dans une société de plus en plus individualiste. Ca ne m'étonnes pas du tout
Bon bah ca me rassure en quelque-sorte si c'est le cas. Même si je sais que tout le monde ne sera pas bienveillant.
D'accord, je comprends tout à fait, il n'y a aucun soucis
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Merci beaucoup ça me touche !MimiJokie31 a écrit : ↑lundi 4 septembre 2023 à 12:50Et bien je suis contente que tu partages également cette engouement à vouloir aider, c'est très appréciable surtout dans une société de plus en plus individualiste. Ca ne m'étonnes pas du toutKumi_44 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 10:39C'est une bonne chose ! Alors il est vrai que des personnes aiment comparer les sciences et que les sciences dures sont plus "nobles" que les sciences sociales. Ce n'est pas mon cas, je ne hiérarchise pas les savoirs : elles font avancer l'humanité chacun à sa manière. Cette impression de vouloir aider et faire progresser est ce que je ressens aussi, c'est vraiment cool de lire ça. Je pense que si je m'étais orientée vers la psychologie à l'époque, j'aurais pu travailler sur le sujet du TSA (j'ai une biblio sur les lectures faites à l'époque ).MimiJokie31 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 0:28
Je t'en prie, tu sais maintenant je prends mon temps pour m'interesser aux personnes qui me souhaite la bienvenue avec autant de bienveillance et en lisant ta présentation,il est vrai que je me suis beaucoup retrouvée dans ton parcours.
Alors d'après les dires de mes professeurs ou doctorants en professeur vacataire (si je ne me trompe pas) il est galére de trouver un financement et la lutte est complexe pour arriver au bout du projet.
Mais de mon coté, je tiens bon car travailler à aider des personnes autistes à s'épanouir pour elles-mêmes et en parallele informer la société et faire avancer la science (même si ce n'est pas une science dure) dans l'acceptation de la neurodiversité ca me motive afin de me mesurer à des personnes cruels et sans scrupule.
Comme tu l'as bien souligné, je ne partirais pas avec un masque comme ca été ton cas. Loin de là. D'entrée de jeu, j'expliquerais ma condition si je vois que le moment s'y apprête sans compter que j'aurais un soutien psychologique pour m'appuyer.
Je n'en doute pas et un grand bravo à toi !
Lorsque tu dis reprendre dans ton coin, tu reprends en autodidacte ou tu te repenches dans la redaction de ta thése?
Après il faut se laisser le temps et commencer en y allant mollo afin de ne pas se traumatiser par une reprise précipitée.
C'est ce que j'essaie de faire avec la psychologie.
Par contre, soit prévenue : les critiques font parti du processus de recherche. Mais elles seront constructives et si tu ne te caches pas, je ne doute pas que l'équipe de recherche qui accepterait de te prendre seront bienveillant. Et puis il y a besoin de neurodiversité dans la recherche en psychologie. Surtout de la recherche participative !
Alors c'est compliqué à expliquer comme ça mais pour faire simple ça sera les deux (je détaille où j'en suis en ce moment dans ma présentation, je ne préfère pas l'écrire ici).
Bon bah ca me rassure en quelque-sorte si c'est le cas. Même si je sais que tout le monde ne sera pas bienveillant.
D'accord, je comprends tout à fait, il n'y a aucun soucis
Pour moi, c'est une évidence d'aider et de partager. (D'ailleurs je me suis fait punir beaucoup de fois petite parce que je partageais mon goûter à l'école "pour mon bien", je n'ai jamais compris). Et comme seul, je ne comprends pas l'individualisme. Peut être d'où mon appétence pour la culture japonaise (qui a aussi ses travers dans l'intérêt de la communauté) ?
Je ne me fais pas de soucis là dessus. En général, les chercheurs ne vont pas tourner autour du pot comme en entreprise où il y a un intérêt à prendre une personne en situation de handicap. Ils verront tes compétences et apprendront avec toi.
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Hello
ce sujet me parle
ayant été très critiquée, mal jugée, j'ai disons une sensibilité certaine à la critique, c'est tout un travail en effet d'arriver à faire le tri.
je crois qu'il est difficile de distinguer les "bonnes" et les "mauvaises" critiques, car soyons clairs, la plupart des gens aiment critiquer, ce qui revient surtout à juger à tort et à travers sans connaître vraiment la personne, et d'ailleurs quand on connaît vraiment une personne, qu'on l'aime, qu'on la respecte, a-t-on vraiment envie de la critiquer ? Au mieux, la conseiller peut-être ?
pourquoi critiquer ? (parce qu'on pense savoir mieux qu'elle, parce qu'on pense qu'on est " mieux" ?)
pour moi la critique - jugement qui revient à me catégoriser, m'enfermer , à me dire "tu es comme ça" je la refuse
je ne serais donc pas aussi dure envers moi-même quant à cette soit disant intolérance (qui est bien pratique pour ceux qui balancent des jugements et ensuite nous disent qu'on est " susceptibles")
peut être que c"est un signe, un signal sur la relation qu'on a avec la personne qui se permet de nous critiquer...
après, il y a tout de même la question de l'estime de soi - quand on a une suffisamment bonne estime de soi, on est beaucoup moins sensible à la critique, disons qu'on connaît notre valeur tout en sachant les points sur lesquels travailler.
Il y a de simples constats - par ex : je coupe la parole - quand on me dit que je coupe la parole (et que c'est énervant, hier une personne s'est énervée d'ailleurs, je lui ai dit "ok ok je te laisse parler, excuse moi ") c'est un constat (par contre si on me dit que je suis "autocentrée" parce que je coupe la parole là je refuse, c'est un jugement, alors qu'il y a mille et une raisons de pourquoi on coupe la parole, tout en reconnaissant que je suis un peu autocentrée quand même, ou alors faudrait que ce soit dit avec de l'humour, et non sur le ton du reproche (parce que idem de la critique au reproche il n'y a qu'un pas, et là c'est la porte ouverte au gros déballage de méchancetés gratuites)
Après dernièrement lors d'un stage cette notion même de "ne pas couper la parole" a été remise en question, et ça m'a bien plu, car parfois il peut être bénéfique de savoir couper la parole ( quand l'autre est en boucle par exemple), mais c'est une question de dosage et de conscience (par ex. je ne maîtrise pas le fait de couper la parole)
Tu aurais des exemples de "critiques" qui te font vriller ?
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je crois qu'il est difficile de distinguer les "bonnes" et les "mauvaises" critiques, car soyons clairs, la plupart des gens aiment critiquer, ce qui revient surtout à juger à tort et à travers sans connaître vraiment la personne, et d'ailleurs quand on connaît vraiment une personne, qu'on l'aime, qu'on la respecte, a-t-on vraiment envie de la critiquer ? Au mieux, la conseiller peut-être ?
pourquoi critiquer ? (parce qu'on pense savoir mieux qu'elle, parce qu'on pense qu'on est " mieux" ?)
pour moi la critique - jugement qui revient à me catégoriser, m'enfermer , à me dire "tu es comme ça" je la refuse
je ne serais donc pas aussi dure envers moi-même quant à cette soit disant intolérance (qui est bien pratique pour ceux qui balancent des jugements et ensuite nous disent qu'on est " susceptibles")
peut être que c"est un signe, un signal sur la relation qu'on a avec la personne qui se permet de nous critiquer...
après, il y a tout de même la question de l'estime de soi - quand on a une suffisamment bonne estime de soi, on est beaucoup moins sensible à la critique, disons qu'on connaît notre valeur tout en sachant les points sur lesquels travailler.
Il y a de simples constats - par ex : je coupe la parole - quand on me dit que je coupe la parole (et que c'est énervant, hier une personne s'est énervée d'ailleurs, je lui ai dit "ok ok je te laisse parler, excuse moi ") c'est un constat (par contre si on me dit que je suis "autocentrée" parce que je coupe la parole là je refuse, c'est un jugement, alors qu'il y a mille et une raisons de pourquoi on coupe la parole, tout en reconnaissant que je suis un peu autocentrée quand même, ou alors faudrait que ce soit dit avec de l'humour, et non sur le ton du reproche (parce que idem de la critique au reproche il n'y a qu'un pas, et là c'est la porte ouverte au gros déballage de méchancetés gratuites)
Après dernièrement lors d'un stage cette notion même de "ne pas couper la parole" a été remise en question, et ça m'a bien plu, car parfois il peut être bénéfique de savoir couper la parole ( quand l'autre est en boucle par exemple), mais c'est une question de dosage et de conscience (par ex. je ne maîtrise pas le fait de couper la parole)
Tu aurais des exemples de "critiques" qui te font vriller ?
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Oh ca me rappelle des souvenirs où ma mère me mettait en garde lorsque j'étais gentille , mon père me criait limite dessus et me disait que je me ferais avoir. Pareil pour avoir aider autrui car pour moi c'était d'une logique inébranlable ! Ainsi que des institutrices en primaire qu'ils me le faisait savoir que c'était mal d'aider autant autrui. (Je n'ai jamais compris non plus)Kumi_44 a écrit : ↑lundi 4 septembre 2023 à 19:50Merci beaucoup ça me touche !MimiJokie31 a écrit : ↑lundi 4 septembre 2023 à 12:50Et bien je suis contente que tu partages également cette engouement à vouloir aider, c'est très appréciable surtout dans une société de plus en plus individualiste. Ca ne m'étonnes pas du toutKumi_44 a écrit : ↑dimanche 3 septembre 2023 à 10:39
C'est une bonne chose ! Alors il est vrai que des personnes aiment comparer les sciences et que les sciences dures sont plus "nobles" que les sciences sociales. Ce n'est pas mon cas, je ne hiérarchise pas les savoirs : elles font avancer l'humanité chacun à sa manière. Cette impression de vouloir aider et faire progresser est ce que je ressens aussi, c'est vraiment cool de lire ça. Je pense que si je m'étais orientée vers la psychologie à l'époque, j'aurais pu travailler sur le sujet du TSA (j'ai une biblio sur les lectures faites à l'époque ).
Par contre, soit prévenue : les critiques font parti du processus de recherche. Mais elles seront constructives et si tu ne te caches pas, je ne doute pas que l'équipe de recherche qui accepterait de te prendre seront bienveillant. Et puis il y a besoin de neurodiversité dans la recherche en psychologie. Surtout de la recherche participative !
Alors c'est compliqué à expliquer comme ça mais pour faire simple ça sera les deux (je détaille où j'en suis en ce moment dans ma présentation, je ne préfère pas l'écrire ici).
Bon bah ca me rassure en quelque-sorte si c'est le cas. Même si je sais que tout le monde ne sera pas bienveillant.
D'accord, je comprends tout à fait, il n'y a aucun soucis
Pour moi, c'est une évidence d'aider et de partager. (D'ailleurs je me suis fait punir beaucoup de fois petite parce que je partageais mon goûter à l'école "pour mon bien", je n'ai jamais compris). Et comme seul, je ne comprends pas l'individualisme. Peut être d'où mon appétence pour la culture japonaise (qui a aussi ses travers dans l'intérêt de la communauté) ?
Je ne me fais pas de soucis là dessus. En général, les chercheurs ne vont pas tourner autour du pot comme en entreprise où il y a un intérêt à prendre une personne en situation de handicap. Ils verront tes compétences et apprendront avec toi.
Bah la culture japonaise effectivement se base sur une société collectiviste enfin est une société collectiviste dans l'interet de l'harmonie du groupe.
Après il y a quelques travers dans certaines grandes entreprises cf Stupeurs et Tremblements d'Amélie Nothomb ainsi que le travail acharné qui ne respecte pas le bien-être humain (un peu comme en Chine tu me diras)
Mais effectivement c'est ce qui m'attire aussi dans le japonais de se soucier du bien du groupe et non que de soi-même.
Oui on verra bien. Effectivement, je ne pense pas qu'à l'Université en recherche il y ait un quota à respecter pour prendre des personnes en situation de handicap. (a moins que je sois pas bien renseigner)
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Et bien je pense que toutes les deux on a subit un traumatisme dû à nos anciens bourreaux qui usaient de critique envers nous.Dehlynah a écrit : ↑lundi 4 septembre 2023 à 19:51 Hello
ce sujet me parle
ayant été très critiquée, mal jugée, j'ai disons une sensibilité certaine à la critique, c'est tout un travail en effet d'arriver à faire le tri.
je crois qu'il est difficile de distinguer les "bonnes" et les "mauvaises" critiques, car soyons clairs, la plupart des gens aiment critiquer, ce qui revient surtout à juger à tort et à travers sans connaître vraiment la personne, et d'ailleurs quand on connaît vraiment une personne, qu'on l'aime, qu'on la respecte, a-t-on vraiment envie de la critiquer ? Au mieux, la conseiller peut-être ?
pourquoi critiquer ? (parce qu'on pense savoir mieux qu'elle, parce qu'on pense qu'on est " mieux" ?)
pour moi la critique - jugement qui revient à me catégoriser, m'enfermer , à me dire "tu es comme ça" je la refuse
je ne serais donc pas aussi dure envers moi-même quant à cette soit disant intolérance (qui est bien pratique pour ceux qui balancent des jugements et ensuite nous disent qu'on est " susceptibles")
peut être que c"est un signe, un signal sur la relation qu'on a avec la personne qui se permet de nous critiquer...
après, il y a tout de même la question de l'estime de soi - quand on a une suffisamment bonne estime de soi, on est beaucoup moins sensible à la critique, disons qu'on connaît notre valeur tout en sachant les points sur lesquels travailler.
Il y a de simples constats - par ex : je coupe la parole - quand on me dit que je coupe la parole (et que c'est énervant, hier une personne s'est énervée d'ailleurs, je lui ai dit "ok ok je te laisse parler, excuse moi ") c'est un constat (par contre si on me dit que je suis "autocentrée" parce que je coupe la parole là je refuse, c'est un jugement, alors qu'il y a mille et une raisons de pourquoi on coupe la parole, tout en reconnaissant que je suis un peu autocentrée quand même, ou alors faudrait que ce soit dit avec de l'humour, et non sur le ton du reproche (parce que idem de la critique au reproche il n'y a qu'un pas, et là c'est la porte ouverte au gros déballage de méchancetés gratuites)
Après dernièrement lors d'un stage cette notion même de "ne pas couper la parole" a été remise en question, et ça m'a bien plu, car parfois il peut être bénéfique de savoir couper la parole ( quand l'autre est en boucle par exemple), mais c'est une question de dosage et de conscience (par ex. je ne maîtrise pas le fait de couper la parole)
Tu aurais des exemples de "critiques" qui te font vriller ?
Par exemple dans mon cas j'ai eu ma mère, mon père, la famille du coté de ma mère, mes instituteurs et professeurs par la suite, les camarades de classe , les collegues de travail en entreprise, les employeurs : Enfin un peu tout le monde donc effectivement au bout de 26 ans de critique continuel, j'ai du mal à le prendre positivement et celles qui sont nefastes à m'en foutre.
Et bien avec toutes les personnes dont je t'ai cité ca donnait une perspective négative quant à la nature de la relation car c'était des gens néfastes. Mais en ce qui concerne les personnes bienveillantes qui peuple mon entourage depuis bah j'ai l'impression inconsciemment de leur "faire payer" par mon comportement rigide, énervée le comportement néfaste des autres alors que eux bah c'est généralement des "critiques" afin de mieux m'expliquer le monde neurotypique, des conseils pour ne pas me laisser envahir par mon anxiété ou encore des phrases que je peux dire et dont je ne m'en rends pas compte mais qui peuvent choquer les interlocuteurs Ex: "Me taper la tête contre le mur" est bien c'est une expression que j'utilise souvent dans un sens imagé et ben pour des personnes TSA qui le prennent littéralement , ils croient réellement que tu vas le faire du coup ca leur fait peur. Ce que je peux comprendre. Mais tu vois même pour des trucs bienveillants comme-ca , j'en viens à le prendre très mal en réponse traumatique de ce que les NT et PN que j'ai connu m'ont fait subir en critique me jugeant réellement. Et tu vois je voudrais que ca cesse et que j'arrive à différencier la bienveillance de la malveillance.
Et couper la parole ca oui on me l'a toujours reproché (par les gens toxiques) que je ne fréquente plus en me disant que j'étais mal-elevée sauf que rien à voir, je ne sais justement pas comment et quand prendre la parole. Ce qui doit surement être ton cas aussi.
Alors oui :
-Coupe pas la parole, tu es mal elevée
- Pourquoi tu ne trinques pas ? on dirait une alcoolique qui s'empresse de boire son verre (car je ne connaissais pas le code social de trinquer , je pensais que quand on était servit on pouvait boire)
- Tu parles trop fort , tu cries, c'est chelou
- Tu n'as pas les capacités (dans le sens capacité intellectuelles)
- Tu es rigide , austere
-Tu ne comprends pas l'humour , il va falloir que tu régles ca.
-Tu n'as pas un panel de vocabulaire
Ca été les pires mais encore je dois en oublier (parmi les pires) et toi quelles sont celles qui t'on également faite vriller ?
MimieJokie pré-diagnostiqué autiste de haut niveau et en attente de diagnostic officiel auprès du CRA midi-Pyrenees.
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Je suis tellement d'accord avec toi.seul a écrit : ↑lundi 4 septembre 2023 à 19:10Je n'ai pas toujours su ce que signifiait individualisme. Je pense en tout cas que de nombreuses pathologies pourraient être diminuées dans une société d'entraide.MimiJokie31 a écrit : ↑lundi 4 septembre 2023 à 12:50 Et bien je suis contente que tu partages également cette engouement à vouloir aider, c'est très appréciable surtout dans une société de plus en plus individualiste. Ca ne m'étonnes pas du tout
Bon bah ca me rassure en quelque-sorte si c'est le cas. Même si je sais que tout le monde ne sera pas bienveillant.
D'accord, je comprends tout à fait, il n'y a aucun soucis
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Ouais, j'essaie aussi de différencier les critiques, celles à l'emporte-pièce de personnes qui ne te connaissent pas et celles plus fondées de personnes qui te connaissent bien.
Quant à ces dernières, objectivement, j'en tiens compte, j'en profite pour apprendre de nouvelles choses.
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Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Intolérance face aux critiques (je me permets de le reposter dans une catégorie plus approprié)
Tu distingues les critiques et les critiques constructives !freeshost a écrit : ↑vendredi 8 septembre 2023 à 9:33 Ouais, j'essaie aussi de différencier les critiques, celles à l'emporte-pièce de personnes qui ne te connaissent pas et celles plus fondées de personnes qui te connaissent bien.
Quant à ces dernières, objectivement, j'en tiens compte, j'en profite pour apprendre de nouvelles choses.
En soit, une critique n'est pas forcément connotée négative. C'est plutôt que si cette critique ajoutée à un jugement de valeur/physique ou autre qui n'aurait pas sa place, elle m'énerve au plus haut point. Ou si la critique joue sur les émotions de l'autre ou sur ses faiblesses sans fondement ni une place à un apprentissage...
Mais si elle te permet d'apprendre et d'avancer au mieux que cela soit pour soi, pour son travail... je l'accepte volontiers ! Et aussi, si elle suscite un débat avec bienveillance : aucun problème.
Après il est vrai qu'il est plus facile avec des personnes de confiance plutôt que de parfaits étrangers.
Diagnostiquée TSA en octobre 2021 et épileptique depuis l'âge de 16 ans.
Mari diagnostiqué TSA en 2016.
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