[Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

Traitements psychiatriques chez l'enfant :
Extrait :
Un rapport récent s'inquiète du Conseil de l'enfance et de l'Adolescence s'inquiète de la dégradation des soins aux enfants en souffrance psychique et de la forte croissance des prescriptions de médicaments à visée psychiatriques chez les enfants. À juste titre.

[...]

Comme le montre le rapport du Conseil de l'Enfance et de l'Adolescence daté de mars 2023, les soins disponibles pour les enfants sont en forte diminution.
  • Le nombre des pédiatres a diminué. 70% des consultations d'enfants sont réalisées par des généralistes, et les pédiatres se concentrent sur la petite enfance (0 à 2 ans).
  • Dans le même temps, comme chacun sait, le nombre de médecins généralistes a diminué et ils ont de moins en moins de temps à consacrer aux consultations complexes.
  • D'autres recours destinés aux enfants en détresse psychique sont la Protection maternelle et infantile (PMI) et la médecine scolaire. Ces deux institutions ont de moins en moins de moyens et de personnels, et ne parviennent plus bien à assurer leurs missions.
  • Les services psychiatriques (Centres médico-psycho-pédagogiques ou CMPP et Centres d'action médico-sociale précoce ou CAMPS) sont débordés et de moins en moins accessibles.
  • Au total, l'offre de soins psychiatriques pour les enfants et adolescents est insuffisante et saturée. Et la situation va en s'aggravant.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

Vers une cartographie :
Extrait :
On avait depuis longtemps identifié des gènes pouvant expliquer qu’une personne soit à plus haut risque de maladies comme la schizophrénie. La recherche a, depuis, effectué quelques pas de plus avec une « carte génétique » identifiant des interactions-clefs entre plusieurs gènes.

L’idée d’une « cartographie génétique » pouvant être associée aux troubles mentaux remonte au début des années 2010 —c’est-à-dire une carte des gènes impliqués et surtout, de leurs façons de travailler en commun. Mais ce qu’une équipe d’une quinzaine d’institutions a récemment déposé sur le serveur de pré-publication MedRxiv, c’est la carte génétique la plus détaillée du cerveau de l’embryon. Assez détaillée pour, disent-ils, révéler des « réseaux » génétiques qui peuvent expliquer un risque accru de développer cinq troubles, dont la schizophrénie, la bipolarité et le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH).
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Fluxus
Intarissable
Messages : 8041
Enregistré le : vendredi 22 janvier 2021 à 14:02
Localisation : Pays des Schtroumpfs

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Fluxus »

Petit podcast que j'ai trouvé assez intéressant sur France Inter...

Comment les nouvelles thérapies soignent notre santé mentale ?
La santé mentale des Français décline depuis la crise sanitaire. Le climat sociopolitique, les incertitudes économiques, la flambée de l’inflation, la guerre en Ukraine nous font baigner dans un climat anxiogène et propice à la déprime.

Évidemment le terrain personnel, professionnel, familial, héréditaire contribuent à altérer notre santé mentale. Anxiété, dépression, phobies, addiction, stress post-traumatiques…

Quelles sont les nouvelles thérapies qui permettent d’alléger ces souffrances ou bien de guérir ? Que valent la neurostimulation, l’EMDR ou la thérapie d’acceptation et d’engagement face aux traditionnelles thérapies psychanalytiques ou aux TCC ?
Alors pour le moment, ça parle pas du tout de psykk mais je trouve ça nul que dans le résumé, on confronte des thérapies dites "nouvelles" à de la TCC par exemple, qui reste super efficace.

Et il y a pleins de thérapies "nouvelles" qui restent basées sur des éléments de TCC. A mon sens, ça doit pouvoir se compléter et non se confronter.

On ne parlera pas de psykk ici, bien-entendu.

Et dans le podcast en lui-même, il n'est pas question de confronter plusieurs thérapies style "les unes contre les autres".
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)

Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

Dépression :
Extrait :
L'activité physique est 1,5 fois plus efficace que la psychothérapie ou les antidépresseurs contre la dépression, l'anxiété et la détresse psychologique, selon une analyse publiée en février 2023 dans le British Journal of Sports Medicine.

Les chercheurs de l'Université d'Australie du Sud ont analysé 97 revues des études sur le sujet incluant 1 039 essais cliniques et 128 119 participants.

Les interventions d'exercice physique d'une durée de 12 semaines ou moins étaient les plus efficaces pour réduire les symptômes de santé mentale, ce qui démontre la rapidité avec laquelle l'activité physique peut apporter un changement.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

DGCCRF, UFC-Que Choisir :
Extrait :
L’accompagnement personnalisé, ou « coaching », dans le domaine du bien-être et du développement personnel, est en plein essor depuis quelques années, selon la Direction générale française de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes DGCCRF.

L'appellation de coach est non réglementée. « "Contrairement au titre de psychothérapeute par exemple, qui nécessite un enregistrement sous conditions de diplômes, auprès des agences de santé, celui de coach est d’un usage très libre. Une simple formation de quelques heures, au contenu obscur, permet de s’afficher comme tel" », résume l'UFC-Que Choisir.

[...]

Les services de la DGCCRF ont enquêté en 2021 et 2022 sur les pratiques des professionnels du secteur, des centres de formation, et sur internet. Ils ont particulièrement ciblé les coachs dont les spécialités étaient en lien avec l’équilibre physiologique ou l’équilibre mental (gestion du stress, perte de poids, lutte contre certaines addictions…), les « coachs de vie » et « coachs en développement personnel », incluant les professionnels qui n’utilisent pas explicitement le terme « coach ». Une attention particulière a été portée aux offres orientées vers les seniors.

Les pratiques de près de 80 % des professionnels contrôlés présentaient une anomalie.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

« Ça fait quoi de croire en soi », par PsykoCouac :
Spoiler : ▮▶ : 

Voir aussi ici...


Modifications :
  • 30/05/2023 : Ajout d'un lien.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

Pourquoi s'inquiéter ? Extrait :
Le « modèle d'évitement des contrastes émotionnels » propose un mécanisme potentiel qui sous-tend les pensées anxieuses, particulièrement chez les personnes souffrant d'anxiété généralisée (ou trouble anxieux généralisé).

Il postule que l'inquiétude crée et entretient un affect négatif qui permet d'éviter, lorsque se produisent des événements défavorables, une forte augmentation de l'émotivité négative ou une forte diminution de l'émotivité positive (c'est-à-dire un contraste émotionnel négatif).

Selon ce modèle, les personnes souffrant d'anxiété généralisée seraient plus motivées à s'inquiéter de manière chronique en raison d'une sensibilité à ces contrastes. Elles préféreraient utiliser l'inquiétude pour maintenir un affect négatif plutôt que de faire l'expérience de ces contrastes.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

Sports extrêmes, épuisement… :
Extrait :
Pourtant, la manière dont notre cerveau construit en permanence une représentation mentale de ce qui nous entoure reflète autant les informations transmises par nos organes sensoriels que nos connaissances : notre perception du monde est donc, par définition, tout ce qu’il y a de plus personnel et subjectif ! Cette intégration subtile d’informations diverses a conduit des scientifiques à considérer nos perceptions comme des « hallucinations contrôlées » du monde.

Le phénomène hallucinatoire peut ainsi être défini comme un stimulus perçu, mais ne s’appuyant sur rien de concret dans notre environnement – on voit vraiment quelque chose qui n’est pas là. Un élargissement de perspective qui change beaucoup de choses. Présent le long d’un continuum allant du normal au pathologique, il s’avère ainsi beaucoup plus répandu qu’on ne le croit… et moins connoté.

[...]

Une hypothèse a plusieurs fois été avancée : la sensibilité différente au manque d’énergie et d’oxygène de certaines zones cérébrales qui auraient un métabolisme plus élevé.

[...]

C’est notamment le cas de l’hippocampe (dans le lobe temporal) ou de la jonction temporo-pariétale (JTP, entre les lobes temporal et pariétal). Véritables carrefours de l’information, ces deux régions sont impliquées dans de multiples fonctions cognitives et sensorielles telles que l’accès aux souvenirs autobiographiques et à leur contexte d’encodage (pour l’hippocampe) ou la distinction entre le soi et le non-soi (pour la JTP).
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
freeshost
Intarissable
Messages : 37322
Enregistré le : lundi 15 juillet 2013 à 15:09
Localisation : CH

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par freeshost »

Croivance, quand la croyance n'est pas ce que l'on croit
Fake news, complotisme, rejet de l'expertise scientifique, crispations identitaires : notre époque semble être victime d'une véritable épidémie de croyances irrationnelles. Peut-on réellement croire que la Terre est plate, ou que le vaccin contre le Covid-19 est un outil de contrôle ?

Avec Sébastian Dieguez, chercheur en neurosciences à l'Université de Fribourg en Suisse et auteur de Croiver - Les croyances ne sont pas ce que l'on croit paru en novembre aux éditions Eliott.

Pour l’invité du jour, la désinformation n'est pas un obstacle, un truc un peu pénible qui vient s'opposer à l'information. Elle relève maintenant plus de l'idéologie que de la crédulité : « On a souvent cette idée que les gens qui tombent dans la désinformation se font avoir. C'est un cas de figure qui peut se produire. On peut tous partager impulsivement quelque chose qui n'est pas vrai, mais je ne pense pas que ça explique la majeure partie du phénomène. C'est plutôt le fait d’aller chercher des informations qui sont hors champ, subversives, marginales qui les amène sur ce chemin-là. »

Croiver n'est pas croire

Sebastian Dieguez différencie croire de croiver sur la base de certains critères : « Croire, c'est tenir quelque chose pour vrai. Croiver, c'est se figurer que l'on croit quelque chose, croire que l'on croit à quelque chose. Par exemple, au tribunal, l'avocat quand son client est coupable, il sait qu'il ne croit pas vraiment que son client est innocent, mais il adopte ce point de vue pour mieux accomplir sa tâche. » Les croyances ont survécu à l'esprit des Lumières et à l'heure des réseaux sociaux et des fake news, la rationalité doit affronter un nouvel ennemi encore plus redoutable, les croivants, ces pseudo-croyances à travers lesquelles certains essayent de se forger une identité.

Mais pourquoi simule-t-on ces croyances ? Quel est l'intérêt pour la personne ? Pour le chercheur en neurosciences : « Ça peut paraître curieux mais l’une des fonctions de faire comme si on croyait à quelque chose, c'est d'appartenir à un groupe, de se valoriser soi-même. Son but n'est pas de traquer la vérité, mais plutôt de forger des identités, de se reconnaître. La croyance est rarement isolée ou unique. Ce sont souvent des pseudo-croyances qui sont disponibles déjà sur le marché qu'on va choisir, qu'on va sélectionner pour ce qu'elles disent, ce qui leur donne déjà un air un peu suspect. »

Le cas des platistes

Le chercheur en neurosciences a également étudié le cas de ceux qui croient que la Terre est plate, les fameux platistes : « Je m'y suis intéressé à un moment où c'était à la mode, entre 2016 et 2018, il y avait cet engouement pour le platisme avec même des conférences internationales. Il faut savoir qu’au sein des platistes, il y a plusieurs théories de la Terre plate. Ils ne sont pas d'accord entre eux. Il y a des débats de plus de trois heures pour savoir s'il y a un mur de glace ou non, si la terre tourne ou pas. Mais les platistes sont un bon exemple de croivance. Je ne pense pas qu'ils croivent véritablement que la terre est plate ou de quelle autre forme que ce soit. C'est pour eux une manière de ne pas penser comme tout le monde, de ne pas aller dans le sens des grands médias. Revendiquer cette idée de la Terre plate leur permet de présenter ostensiblement leur propre marginalité. C'est plutôt l'attitude que ça permet d'avoir qui les intéresse. »

La crise sanitaire, accélératrice des croivances ?

La crise sanitaire a renforcé ces croivances. Est-ce que le fait de ne plus fonctionner qu’en vase clos a rendu nos idées plus fermement ancrées en nous ? « C'est difficile à mesurer dans une période d'incertitude, d'anxiété, de crainte justifiée. Les gens tombent malades, perdent leur emploi, se retrouvent enfermés pendant des jours et des semaines sans savoir exactement quand ça va se terminer, ils se raccrochent à des explications, à des déterminismes vengeurs. Ils cherchent des réponses plus rapides que la science ne peut leur en donner. Mais clairement les préoccupations sur un nouveau vaccin, sur la problématique des masques, des confinements, ont largement favorisé l'émergence de beaucoup d'idées curieuses. »

La surinformation, autre terreau des croivances ?

Avec l’accès à énormément de sources d’information, il est plus facile de tomber dans l’échappatoire du complotisme, sans compter les algorithmes qui créent de véritables ghettos de pensée unique. Pour Sebastian Dieguez : « C’est difficile de savoir à qui accorder notre confiance dans le monde moderne. Et il y a des instances parfois qui ne méritent pas vraiment notre confiance ou qui ne font pas en sorte de la mériter. Dans ce contexte-là, il y a une offre de théories qui facilite l'orientation. Mais il faut savoir qu’il y a beaucoup de fausses informations dont personne n'entend jamais parler parce qu'elles ne prennent pas. Une sorte de "cimetière de théories du complot" qui n'ont intéressé personne. Elles créent un marché informationnel où les gens vont se replier sur ces théories du complot pour afficher une certaine posture, une certaine position sur l'échiquier social. C'est un phénomène très complexe qui ne peut pas non plus se résumer qu’au rôle des algorithmes. »

Sébastian Dieguez - "Croiver - Les croyances ne sont pas ce que l'on croit" aux éditions Eliott.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

Diagnostiqué autiste en l'été 2014 :)
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

« Estime de soi faible », par PsykoCouac :
Spoiler : ▮▶ : 

Voir aussi ici...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

Viols, assassinats, attentats :


Extrait :
Les experts qui œuvrent à traduire les criminels en justice en examinant les éléments de preuves des crimes commis sont régulièrement exposés à l’expérience traumatisante que constitue la consultation de témoignages écrits, de séquences vidéo ou d’enregistrements audio. Et il apparaît de plus en plus clairement que les systèmes en place ne parviennent pas à protéger leur santé mentale face au déferlement d’atrocités auxquelles ils doivent faire face.

[...]

La situation est aggravée par le fait que parler de ses problèmes de santé mentale demeure largement stigmatisé, les agents craignant d’être considérés comme des « faibles » ou d’être privés d’une promotion.

[...]

Nous avons découvert que les analystes initialement persuadés que de bonnes choses arrivent aux bonnes personnes et de mauvaises choses arrivent aux mauvaises personnes (une approche résumée par la formule « croire en un monde juste ») sont plus exposés que les autres à la dépression et au stress post-traumatique, probablement parce qu’ils ont constaté que des mauvaises choses arrivent souvent à des bonnes personnes et que des mauvaises actions restent souvent impunies.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
hazufel
Intarissable
Messages : 6007
Enregistré le : vendredi 17 mars 2017 à 15:06

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par hazufel »

J’ai hésité avec le fil éducation mais je trouve qu’il a davantage sa place ici lorsqu’on l’a lu parce qu’il est question de la gestion des émotions dans des cadres divers :

enfant : corrélation significative entre les compétences émotionnelles et la réussite scolaire

L’auteur se place du côté de la science et rappelle les notions reconstruites grâce aux neurosciences et s’appuient sur des études réalisées.
Contenu interessant pour nous qui avons une gestion des émotions particulière et des difficultés dans la compréhension du langage non verbal.
La bonne nouvelle c’est que ça peut se travailler !
(Mes fils le font beaucoup avec leurs psychomot)
TSA
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

Deux types :
Extrait :
Deux grands types de narcissisme (qui se distinguent du trouble de la personnalité narcissique) sont généralement reconnus dans la recherche en psychologie : le narcissisme grandiose et le narcissisme vulnérable, rapporte l'auteure.

Le narcissisme grandiose est associé à une idée grandiose de soi, à l'agressivité et à la domination. Le narcissisme vulnérable se caractérise par une sensibilité émotionnelle élevée et une grandiosité défensive et insécure qui masque des sentiments d'inadéquation.

Des modèles récents, explique-t-elle, ont identifié trois composantes du narcissisme qui aident à décrire les similitudes et les différences entre le narcissisme grandiose et le narcissisme vulnérable.
  • L'antagonisme est commun au narcissisme grandiose et au narcissisme vulnérable. Il est lié à des traits tels que l'arrogance, le sentiment que les choses sont dues, l'exploitation des autres et le manque d'empathie.
  • L'extraversion agentique est propre au narcissisme grandiose. Elle est associée à des traits tels que l'autoritarisme, la grandiosité et l'exhibitionnisme.
  • Le neuroticisme narcissique est propre au narcissisme vulnérable. Il est associé à une estime de soi fragile et à une tendance à éprouver des émotions négatives et de la honte.
Une personne répondra probablement aux critères diagnostiques du trouble de la personnalité narcissique si ces trois composantes sont présentes de façon marquée.
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Avatar du membre
Tugdual
Modérateur
Messages : 41260
Enregistré le : jeudi 15 novembre 2012 à 0:13
Localisation : Nord-44

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Tugdual »

TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
Pouet
Occasionnel
Messages : 21
Enregistré le : lundi 22 mai 2023 à 17:59

Re: [Index Psy] Jasons psychologie, psychiatrie...

Message par Pouet »

hazufel a écrit : samedi 17 juin 2023 à 16:54 J’ai hésité avec le fil éducation mais je trouve qu’il a davantage sa place ici lorsqu’on l’a lu parce qu’il est question de la gestion des émotions dans des cadres divers :

enfant : corrélation significative entre les compétences émotionnelles et la réussite scolaire

L’auteur se place du côté de la science et rappelle les notions reconstruites grâce aux neurosciences et s’appuient sur des études réalisées.
Contenu interessant pour nous qui avons une gestion des émotions particulière et des difficultés dans la compréhension du langage non verbal.
La bonne nouvelle c’est que ça peut se travailler !
(Mes fils le font beaucoup avec leurs psychomot)
Je n'ai lu que le titre de ton lien et la relation avec ce que je vais dire est peut être relative...


En master mon mémoire portait sur la relation entre autorégulation comportementale, compétences sociales et acceptation/rejet par les pairs (ou quelque chose du genre, parce qu'on pouvait aussi distinguer des "statut sociaux" qui ne se résument pas qu'à l'acceptation/rejet, comme les fonctions exécutives ne se résument pas qu'à l'autorégulation comportementale... Mais je m'égare).

J'ai trouvé ça intéressant de le relire (plusieurs fois en quelques années), et il y a quelques mois c'était le première fois que j'ai comparé mon parcours aux résultats. J'ai trouvé ça intéressant comme façon de comprendre les résultats, ah ah.

Plus largement ma référente de mémoire et le prof superviseur du bordel travaillaient sur les liens entre fonctions exécutives, compétences académiques (en maths, lecture), compétences sociales, et d'autres paramètres que j'ai oubliés.
Depuis tout ce temps je me demande tout juste ce qu'ils en ont sorti...
Potentielle suspicion d'éventuels traits autistiques possible.