J'ai à peu près tout essayé dans ma vie actuelle et mon ancienne vie:
-Clubs de vacances avec insupportables activités de clubs et fêtes le soir;
-Croisières onéreuses (selon moi) avec excursions payantes en plus pour certaines;
-Circuit (avec des départs à 6h-7h du matin pour manger dans des restaurants improvisés aux couverts mal lavés):
-Randonnée, trekking, EuroVelo;
-Séjour à l’hôtel mais j'avais tendance à rester cloitrer plusieurs fois (et honnêtement la bronzette ou la sieste sur la plage c'est d'un ennui insupportable);
-Séjour en famille (Bretagne, Alsace...):
-Séjour "retour aux racines familiales" (cela porte un autre nom sur certains sites de généalogie mais c'est devenu tendance);
-Séjour linguistique.
Les seuls séjours que je n'ai pas fait sont les séjours thématiques (astronomie, équestre... pour maitriser des connaissances de bases comme l'artisanat, du bénévolat, travail dans une ferme).
Mais aucune ne me ressource après des mois d'activités.
Les vacances pour un TSA
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Re: Les vacances pour un TSA
Modifié en dernier par lucius le mardi 21 février 2023 à 9:17, modifié 1 fois.
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: Les vacances pour un TSA
Le truc je pense, c'est de s'écouter et de voir de quoi on a envie et de quoi on a besoin. Et éventuellement voir comment concilier les deux!
Parfois malheureusement c'est compliqué: j'adorerais par exemple participer à une fouille archéologique programmée, mais il faut prévoir une certaine durée et je sais que faire une activité aussi physique, ce ne sera pas vraiment des vacances. Je ne suis pas assez en forme pour ça, et j'ai besoin de temps de repos assez importants si je veux pouvoir retourner travailler après.
Parfois malheureusement c'est compliqué: j'adorerais par exemple participer à une fouille archéologique programmée, mais il faut prévoir une certaine durée et je sais que faire une activité aussi physique, ce ne sera pas vraiment des vacances. Je ne suis pas assez en forme pour ça, et j'ai besoin de temps de repos assez importants si je veux pouvoir retourner travailler après.
Détectée HQI dans l'enfance, diagnostiquée TSA de type syndrome d'Asperger en juillet 2015.
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- Enregistré le : vendredi 17 mars 2017 à 15:06
Re: Les vacances pour un TSA
Maintenant j’aime partir dans les endroits que je connais. Maisons y compris.
Organiser un autre voyage avec nouvelle maison, nouvel endroit où je ne connais pas l’environnement me fatigue plus que les vacances même si parfois je suis quand même contente de découvrir un nouvel endroit.
Il faut de toute façon une maison la plus isolée possible, j’ai besoin d’être dans un environnement le plus calme possible.
Je vis pourtant à la campagne mais l’été c’est comme au camping, à tel point que je ne suis quasi jamais dehors…
Pour visiter des choses je choisis la période la moins peuplée, je ne profite de rien du tout s’il y a du monde.
J’ai été au camping quand j’étais môme, avec mon père mais c’était un camping du ministère dont il dépendait et c’était vraiment calme. Je passais ma journée dans l’eau, la mer était à deux pas.
Je ne suis ensuite partie en vacances qu’adulte, et dans des maisons louées.
J’ai été parfois chez ma sœur il y a très longtemps mais au bout de trois jours j’en peux plus.
Un ami de mon mari nous a aussi invités il y a des années dans leur chalet super isolé en montagne. Le cadre était magique, ils étaient très sympas mais j’en suis rentrée épuisée.
Je n’ai plus voulu y aller depuis, les interactions m’épuisent littéralement au quotidien.
Aujourd’hui mon plaisir en vacances est de lire des journées entières sans m’occuper de rien d’autre que de regarder la mer de temps en temps.
J’aime aussi avoir de grandes plages (horaires) dédiées à la contemplation (de la mer, d’un paysage, du ciel changeant, des oiseaux, d’un lieu qui me plaît particulièrement (j’adore des abbayes ou maisons / châteaux en ruine pour ça, surtout s’ils sont proches de la mer, comme les abbayes du phare St Mathieu ou celle de Landevennec ou encore le Manoir de St Pol Roux, même si son histoire me remplit de tristesse)).
Organiser un autre voyage avec nouvelle maison, nouvel endroit où je ne connais pas l’environnement me fatigue plus que les vacances même si parfois je suis quand même contente de découvrir un nouvel endroit.
Il faut de toute façon une maison la plus isolée possible, j’ai besoin d’être dans un environnement le plus calme possible.
Je vis pourtant à la campagne mais l’été c’est comme au camping, à tel point que je ne suis quasi jamais dehors…
Pour visiter des choses je choisis la période la moins peuplée, je ne profite de rien du tout s’il y a du monde.
J’ai été au camping quand j’étais môme, avec mon père mais c’était un camping du ministère dont il dépendait et c’était vraiment calme. Je passais ma journée dans l’eau, la mer était à deux pas.
Je ne suis ensuite partie en vacances qu’adulte, et dans des maisons louées.
J’ai été parfois chez ma sœur il y a très longtemps mais au bout de trois jours j’en peux plus.
Un ami de mon mari nous a aussi invités il y a des années dans leur chalet super isolé en montagne. Le cadre était magique, ils étaient très sympas mais j’en suis rentrée épuisée.
Je n’ai plus voulu y aller depuis, les interactions m’épuisent littéralement au quotidien.
Aujourd’hui mon plaisir en vacances est de lire des journées entières sans m’occuper de rien d’autre que de regarder la mer de temps en temps.
J’aime aussi avoir de grandes plages (horaires) dédiées à la contemplation (de la mer, d’un paysage, du ciel changeant, des oiseaux, d’un lieu qui me plaît particulièrement (j’adore des abbayes ou maisons / châteaux en ruine pour ça, surtout s’ils sont proches de la mer, comme les abbayes du phare St Mathieu ou celle de Landevennec ou encore le Manoir de St Pol Roux, même si son histoire me remplit de tristesse)).
TSA