Oui, peut être ont ils fait des progrès sur cette intervention depuis 10 ans (je l'ai faite en 2013). On était seulement 2800 français à l'avoir fait cette année là.Ça doit être rare, quand même, de passer une heure pour ce genre d'intervention.
C'est tellement évident et pourtant....Leelou a écrit : ↑mercredi 22 juin 2022 à 12:47 Qui l'eu cru ? Sur un sujet de contraception seule une femme intervient (bubu). Dans le monde réel les gens n'ont de cesse de dire que c'est un sujet féminin... Ce qui explique certainement le faible taux d'hommes qui se font opérer, bien qu'il soit en constante augmentation.
J'ai dû prendre la pilule il y a plusieurs années, mon médecin pensait que cela réduirait mon acné. J'ai fait une grosse réaction allergique.
Il est intéressant de voir ces couples qui veulent partager la contraception, car s'ils pratiquent les actes sexuel, il est normal et même nécessaire de ne pas faire peser le poids d'une grossesse non désiré sur la femme seule. Beaucoup disent dans le cas d'une grossesse non désiré que la femme a "fait un enfant dans le dos", comme s'ils étaient ingnorants ou victimes... Ce seraient ils fait violer?
Je pense que la contraception est affaire de tous ceux qui pratique l'acte sexuel sans désire d'avoir un enfant. La pilule pour homme me semble aussi juste que celle qui est prescrite aux femmes.
Aussi, il est vrai que certains médecins refusent aux femmes la ligature des trompes alors même que certaines ont plusieurs enfants ou le non désir d'en avoir.
Le plus fou, c'est qu'ils augmentent le délai légal d'avortement... Je ne saurais dire si l'avortement est un acte criminel ou non, mais si certains hommes prenaient plus leurs responsabilités en matière de contraception, que les médecins opéraient ces femmes à leur demande, elles n'auraient pas à se faire avorter pour un oubli de pilule.
Pour certains non apparemment faut pas être deux,quand je vois des proches à moi en séparation où l'homme n'assume pas les enfants,ne s'en occupe pas les prend quand il y pense,je me dis ils doivent croire que leurs conjointes ont fais des enfants avec le saint Esprit sans doute^^j'ai commencé comme toi avec la pilule plus jeune mais je l'oublier sans arrêt,après l'anneau sur trois semaines,et un peu avant de rencontrer mon mari je suis passée au stérilet.d'ailleurs moi qui avait des règles très abondantes au point de devoir mettre un réveil la nuit et toi,bah le stérilet ça m'as changer la vie.Pour la contraception masculine,même si ça ne dérangerais pas mon mari je ne suis pas partante car il a eue des soucis hormonaux plus jeune qui ont nécessité traitements et opérations,du coup ça me rassure que ce soit moi qui n'est aucun problème de ce côté là ^^Kumi_44 a écrit : ↑mercredi 22 juin 2022 à 16:51 Ah la contraception ! Cela fait du bien de lire des commentaires parlant aussi de la contraception masculine car autant les femmes que les hommes sont concernés. Si je m'abuse, il faut être deux pour faire un enfant non ?
En tant que femme, j'ai eu l'obligation de prendre la pilule de peur d'avoir des enfants (je ne désire pas d'enfants) à l'époque où j'étais avec mon ex car pour lui, c'était "normal" que je fasse attention à ne pas l'oublier et tout... conséquences : gros effets secondaires sur le poids, l'humeur et des années plus tard des règles à n'en plus finir (plusieurs semaines sans interruption tous les 2 mois !).
Aujourd'hui, j'ai la chance d'être en couple avec une personne qui est très à cheval sur l'égalité (pure TSA aussi c'est plus facile !) en tant que personne et non pas en fonction du genre.
Pour l'instant, je mets un stérilet cuivre (sans hormones) et étonnement ca marche très bien pour l'instant (ma gynécologue n'était pas très convaincu que ça passe...). Bien sûr 1 semaine avec des contractions au possible mais c'est passé !
Si le stérilet ne passait pas, peut être que la question de la vasectomie se serait posé car ayant fait des recherches sur la ligature des trompes, c'est une opération très invasive (les organes internes gênent l'accès aux trompes) et les conséquences peuvent être désastreuse même avec un bon chirurgien.
Je ne sais pas s'il existe des pilules contraceptives pour homme mais je pense comme les femmes les effets secondaires peuvent être terrible...
Aïe !un stérilet un aux hormones qui se change tous les trois ans
oui j'en ai déjà entendu parler du mirena.heureusement qu'elle ne l'as plus je compatis les migraines c'est affreux 
On en parle de plus en plus, le développement de la contraception masculine (CM) sera l’un des grands progrès de ce 21ème siècle, elle permettra le partage de la charge contraceptive et une tendance plus slow en santé sexuelle et reproductive.
Toutefois, alors que ce développement est encouragé depuis les années 1960 par des féministes qui dénoncent les conséquences de la contraception hormonale sur leur santé et comme charge mentale[1] ; d’autres féministes et alliés l’épinglent, partant du principe que ces méthodes ne règlent que les problèmes des hommes. Cet article prendra le parti de cette seconde voie/voix, en proposant une analyse des arguments[2] des entrepreneurs[3]de ce mouvement, presque exclusivement composé d’hommes militants et qui vise au développement de la contraception masculine, en particulier de la contraception thermique[4] :[...]
- La contraception masculine et/ou thermique favorise le partage de la charge contraceptive ;
- Certaines méthodes, dont la vasectomie et la thermique, sont non-hormonales ;
- La contraception masculine permet aux hommes de prendre le contrôle de leur fertilité et d’éviter une paternité non-désirée ;
- Elle est sans effet secondaire et peu onéreuse ;
- Et permet aux hommes de participer à l’intérêt social.
Conclusion : pour un développement plus humble du mouvement en faveur du développement de la contraception masculine
Premièrement, cette entreprise gagnerait en sérieux et en scientificité, si elle se montrait plus transparente sur les limites de ses méthodes. Aussi, elle devrait admettre : qu’il existe des femmes qui n’ont pas assez confiance (à raison pour beaucoup, certainement) pour déléguer la contraception du couple à leur partenaire ; que les femmes pourront commencer à se poser la question de la contraception masculines, quand la culture du viol aura véritablement été enrayée ; et que les risques sont inconnus pour la santé des hommes. Elle devrait aussi rappeler le principe de précaution sur l’avortement ; et qu’en dehors d’une relation stable/exclusive, les usager.es devraient aussi se protéger des IST et du SIDA en utilisant des préservatifs.
Deuxièmement, si l’on fait passer la contraception masculine comme une solution à l’égalité entre les hommes et les femmes – alors que comme nous l’avons vu, elle permet essentiellement aux hommes de (re)prendre le contrôle sur leur fertilité –, son développement se fera au détriment des budgets et du temps disponibles pour les droits et la santé sexuelle et reproductive des femmes. En effet, alors qu’aujourd’hui les gouvernements commencent à mettre des moyens en œuvre, notamment par des approches de gender mainstreaming[25], des hommes frappent à leurs portes pour revendiquer ces financements[26]. Toc, toc, toc, qui est là ?
Troisièmement, ça n’est pas l’égalité des moyens contraceptifs qu’il faut viser mais l’équité. En ce sens, et sachant que la contraception la plus efficace est celle qu’une femme choisit sur la base d’une information complète, le développement de nouvelles méthodes non-hormonales pour les femmes et l’amélioration des méthodes hormonales déjà disponibles, devraient être des priorités (féministes) absolues. Je terminerai en paraphrasant Martin Winckler – heureusement qu’aujourd’hui il y a plus de méthodes féminines que masculines de disponibles ; veillons à ce que cela ne s’inverse pas[27].
La contraception "des jours suivants" est généralement appelée "pilule du lendemain" dans les journaux. Je n'aime pas cette appellation, tout simplement parce qu'elle est fausse. Elle fait croire qu'il faut impérativement avaler le contraceptif le lendemain d'un rapport sexuel faisant courir le risque d'une grossesse non désirée. En effet le comprimé est en réalité efficace jusqu'au 5e jour après le rapport sexuel.