[Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

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Tugdual
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Re: La Sagesse de la Pieuvre (Pippa Ehrlich, James Reed, 2020)

Message par Tugdual »

Sauf erreur, ça n'a pas de lien avec l'autisme ?

Ceci histoire de voir comment le classer...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Winona
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Re: La Sagesse de la Pieuvre (Pippa Ehrlich, James Reed, 2020)

Message par Winona »

Tugdual a écrit : samedi 20 août 2022 à 12:27 Sauf erreur, ça n'a pas de lien avec l'autisme ?

Ceci histoire de voir comment le classer...
Pas de lien avec l'autisme Tugdual, :)
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Ostara
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Re: La Sagesse de la Pieuvre (Pippa Ehrlich, James Reed, 2020)

Message par Ostara »

Winona a écrit : vendredi 19 août 2022 à 18:16 Sources :

https://www.radiofrance.fr/franceinter/ ... re-4877622

Affiche :
la-sagesse-de-la-pieuvre-cover-1500x2000.jpg

Bande annonce :
Spoiler : 
Pitch :
C’est l’histoire folle d’une amitié entre un homme et une pieuvre.
Ce documentaire sud-africain a remporté l'Oscar 2021 du meilleur documentaire (à voir sur Netflix). Il penche parfois trop vers le mélo mais il est captivant, très émouvant, et d'une beauté renversante.

Nous sommes tout au sud de l’Afrique du Sud, au large du Cap. Craig Foster a une cinquantaine d’années, c’est un réalisateur en plein burn-out, qui n’a plus goût à la vie.
Et il tombe nez à nez, au cours d’une plongée en mer, avec une pieuvre. Il a immédiatement l’intuition que cette créature singulière a des choses à lui apprendre. Le titre original du film, d’ailleurs, c’est « my octopus teacher », « ma prof pieuvre ».

Alors il décide de retourner chaque jour au même endroit. Tous les jours, sans exception, pendant un an, il plonge dans l’eau glacée (sans bouteille ni combinaison, pour ne pas mettre de barrière entre lui et la nature), et il fait connaissance avec ce céphalopode.

Au début, la pieuvre se méfie, évidemment. Alors Craig laisse sa caméra au fond de l’eau pour la filmer sans la déranger. La pieuvre attrape l’appareil avec ses ventouses, les images sont savoureuses. Et peu à peu, l’homme et l’animal s’apprivoisent.
La pieuvre allonge une tentacule et touche la main de Craig avec ses ventouses. La scène est magique. C’est le premier contact entre eux, et loin d’être le dernier.

Cet animal élabore des stratégies de chasse incroyablement variées. La pieuvre est aussi une virtuose du camouflage. La scène la plus spectaculaire du documentaire, à mon avis, est celle où elle échappe à un requin pyjama (ainsi nommé en rayon de ses rayures). Par un ahurissant tour de passe-passe, elle s’accroche au dos du prédateur : elle se ventouse sur le dos du requin, qui ne peut donc plus la manger. Il se dandine pour tenter de s’en débarrasser, mais rien à faire. Elle se ballade sur le dos de son pire ennemi, elle le nargue presque !
Spoiler : 
Merci de bien vouloir harmoniser la présentation Tugdual, j'ai fait au mieux, mais ce n'est pas encore ça.
Oh quelle belle histoire :love: ,j'espère qu'il n'arrive rien a la pieuvre sinon je vais pleurer si je le regarde :cry:
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Ostara
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Re: La Sagesse de la Pieuvre (Pippa Ehrlich, James Reed, 2020)

Message par Ostara »

Dans le même genre il y a quelques années j'avais vu un film sur la rencontre et une amitiée entre une petite fille et un renard c'est très touchant.
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
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Re: La Sagesse de la Pieuvre (Pippa Ehrlich, James Reed, 2020)

Message par Tugdual »

Winona a écrit : samedi 20 août 2022 à 14:46 Pas de lien avec l'autisme Tugdual, :)
Comme ce n'est pas un site ou une chaîne dédiée au cinéma, et qu'on n'a pas de discussion dédiée au documentaires, je pense fusionner avec la discussion sur le cinéma...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: La Sagesse de la Pieuvre (Pippa Ehrlich, James Reed, 2020)

Message par Winona »

Tugdual a écrit : lundi 22 août 2022 à 9:54 Comme ce n'est pas un site ou une chaîne dédiée au cinéma, et qu'on n'a pas de discussion dédiée au documentaires, je pense fusionner avec la discussion sur le cinéma...
Ok, fais au mieux...


Modération (Tugdual) : Fusion de sujets (fin).
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par Tugdual »

En replay sur France TV :
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par Tugdual »

Jean-Luc Godard, réalisateur emblématique de la Nouvelle Vague :
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par Tugdual »

« Ces faquins m'ont fait abandonner le stoïcisme », par Antoine Goya :

Spoiler : ▮▶ : 
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par lucius »

Godard est pour moi (ainsi que la nouvelle vague) totalement surestimé. En plus je n'aimais pas son attitude méprisante et hautaine envers certains réalisateurs.
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par Tugdual »

« Il est de la règle de vouloir la mort de l'exception », toujours par Antoine Goya :

Spoiler : ▮▶ : 
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par Tugdual »

J'ai entamé depuis quelques jours le visionnage de cette série de Bertrand Tavernier (huit épisodes, il m'en reste deux à regarder).

C'est un régal, qui donne envie de découvrir (ou de revoir pour certains) pleins de vieux films...

:)

Spoiler : Films évoqués (dans chaque épisode) : 

1. Mes cinéastes de chevet (1) :

L'exilé (Max Ophuls, 1948)
La ronde (Max Ophuls, 1950)
Le plaisir (Max Ophuls, 1952)
Les désemparés (Max Ophuls, 19??)
Lettre d'une inconnue (Max Ophuls, 19??)
Lola Montès (Max Ophuls, 1955)
Madame De... (Max Ophuls, 1953)

André Masson et les quatre éléments (Jean Grémillon, 1959)
Dainah la mérisse (Jean Grémillon, 1931)
L'amour d'une femme (Jean Grémillon, 1954)
Le ciel est à vous (Jean Grémillon, 1944)
Lumières d'été (Jean Grémillon, 1943)
Pattes blanches (Jean Grémillon, 1949)

Remorques (Jean Grémillon, 1941)
Au grand balcon (Henri Decoin, 1949)
Battement de cœur (Henri Decoin, 1940)
Bonnes à tuer (Henri Decoin, 1954) - mauvais film
La vérité dur Bébé Donge (Henri Decoin, 1952)
Le Café du Cadran (Henri Decoin, 1947)
Les amoureux sont seuls au monde (Henri Decoin, 1948)
Razzia sur la chnouf (Henri Decoin, 1955)
Retour à l'aube (Henri Decoin, 1938)


2. Mes cinéastes de chevet (2) :

Bonne chance (Sacha Guitry/Fernand Rivers, 1935)
Ceux de chez nous (Sacha Guitry/Frédéric Rossif, 1915/1952)
Désiré (Sacha Guitry, 1937)
Donne-moi tes yeux (Sacha Guitry, 1943)
Faisons un rêve (Sacha Guitry, 1936)
La poison (Sacha Guitry, 1951)
Le nouveau testament (Sacha Guitry, 1936)
Le roman d'un tricheur (Sacha Guitry, 1936)
Mon père avait raison (Sacha Guitry, 1936)

Angèle (Marcel Pagnol,1934)
Jofroi (Marcel Pagnol,1934)
Manon des sources (Marcel Pagnol,1953)
Merlusse (Marcel Pagnol,1935)
Regain (Marcel Pagnol,1937)
Ugolin (Marcel Pagnol,1953)

Au hasard, Balthazar (Robert Bresson, 1966)
Journal d'un curé de campagne (Robert Bresson, 1951)
Les Anges du péché (Robert Bresson, 1943)
Les Dames du Bois de Boulogne (Robert Bresson, 1945)
Mouchette (Robert Bresson, 1967)
Pickpoket (Robert Bresson, 1959)
Un condamne à mort s'est échappé (Robert Bresson, 1956)

Jour de fête (Jacques Tati, 1949)
Les vacances de Monsieurs Hulot (Jacques Tati, 1953)
Playtime (Jacques Tati, 1967)

Antoine et Antoinette (Jacques Becker, 1947)


3. Les chansons - Julien Duvivier :

Avec le sourire (Maurice Tourneur, 1936)
Circonstances atténuantes (Jean Boyer, 1939)
Cléo de 5 à 7 (Agnès Varda, 1962)
Cœur de Lilas (Anatole Litvak, 1932)
Du rififi chez les hommes (Jules Dassin, 1955)
French Cancan (Jean Renoir, 1955)
Gervaise (René Clement, 1956)
La ferme du pendu (Jean Dréville, 1945)
La grande illusion (Jean Renoir, 1937)
La Maison Bonnadieu (Carlo Rim, 1951)
Le roman d'un tricheur (Sacha Guitry, 1936)
Les belles de nuit (René Clair, 1952)
Les demoiselles de Rochefort (Jacques Demy, 1967)
Lola (Jacques Demy, 1961)
Paradis perdu (Abel Gance, 1940)
Premier rendez-vous (Henri Decoin, 1941)
Quai des Orfèvres (Henri-Georges Clouzot, 1947)
Quatorze juillet (René Clair, 1932)
Romance de Paris (Jean Boyer, 1941)
Un roi sans divertissement (François Leterrier, 1963)
Une aussi longue absence (Henri Colpi, 1961)
Viva Maria (Louis Malle, 1965)

David Golder (Julien Duvivier, 1931)
Golgotha (Julien Duvivier, 1935)
L'homme du jour (Julien Duvivier, 1937)
La Bandera (Julien Duvivier, 1935)
La belle équipe (Julien Duvivier, 1936)
La fête à Henriette (Julien Duvivier, 1952)
La fin du jour (Julien Duvivier, 1939)
La tête d'un homme (Julien Duvivier, 1933)
Le Diable et les Dix Commandements (Julien Duvivier, 1962)
Le Paquebot Tenacity (Julien Duvivier, 1934)
Les Cinq Gentlemen maudits (Julien Duvivier, 1931)
Panique (Julien Duvivier, 1947)
Pépé le Moko (Julien Duvivier, 1937)
Poil de carotte (Julien Duvivier, 1932)
Sous le ciel de Paris (Julien Duvivier, 1951)
Un carnet de bal (Julien Duvivier, 1937)
Voici le temps des assassins (Julien Duvivier, 1956)


4. Les cinéastes étrangers dans la France d'avant-guerre :

Vertige d'un soir - La Peur (Victor Tourjansky, 1936)
Le Mensonge de NinaPetrovna (Victor Tourjansky, 1937)
Mollenard (Robert Siodmak, 1938)
Pièges (Robert Siodmak, 1939)

Goupi-Mains Rouges (Jacques Becker, 1943)
L'Assassin habite au 21 (Henri-Georges Clouzot, 1942)
Les Dames du Bois de Boulogne (Robert Bresson, 1945)
Le Mariage de Chiffon (Claude Autant-Lara, 1942)
Les caves du Majestic (de Pottier et Spaak, 1944)
Les inconnus dans la maison (Henri Decoin, 1942)
Pension Jonas (Pierre Caron, ?)
Le Corbeau (Henri-Georges Clouzot, 1943)
La vie de Plaisir (Albert Valentin, 1944)
La Main du diable (Maurice Tourneur, 1943)
Donne-moi tes yeux (Sacha Guitry, 1943)
Lettres d'amour (Claude Autant-Lara, 1942)
Douce (Claude Autant-Lara, 1943)
Lumière d'été (Jean Grémillon, 1943)

Jericho (Henri Calef, 1946)
Retour à la vie - Le Retour de René (Jean Dréville, 1949)
Retour à la vie - Le Retour de Tante Emma (André Cayatte, 1949)
Retour à la vie - Le Retour de Jean (Henri-Georges Clozot, 1949)
Les Maudits (René Clément, 1947)
Le Silence de la mer (Jean-Pierre Melville, 1949)
Manon (Henri-Georges Clozot, 1949)
L'École buissonnière (Jean-Paul Le Chanois, 1949)
Sans laisser d'adresse (Jean-Paul Le Chanois, 1951)

Laissez-passer (Bertrand Tavernier, 2002)


5. La nouvelle vague de l'Occupation :

Tu ne tueras point (Claude Autant-Lara, 1961)
Journal d'une femme en blanc (Claude Autant-Lara, 1965)
Une femme en blanc se révolte (Claude Autant-Lara, 1966)
Le Mariage de Chiffon (Claude Autant-Lara, 1942)
Douce (Claude Autant-Lara, 1943)
L'Auberge rouge (Claude Autant-Lara, 1951)
Lettres d'amour (Claude Autant-Lara, 1942)
Le Rouge et le Noir (Claude Autant-Lara, 1954)
Construire un feu (Claude Autant-Lara, 1925 ?)
La traversée de Paris (Claude Autant-Lara, 1956)
Occupe-toi d'Amélie (Claude Autant-Lara, 1949)
Les Sept Péchés capitaux - L'Orgueil (Claude Autant-Lara, 1952)

Les maudits (René Clément, 1947)
Jeux interdits (René Clément, 1952)
La Bataille du rail (René Clément, 1946)
Au-delà des grilles (René Clément, 1949)
Gervaise (René Clément, 1956)
Monsieur Ripois (René Clément, 1954)
Plein soleil (René Clément, 1960)

Quai des Orfèvres (Henri-Georges Clouzot, 1947)
Le Corbeau (Henri-Georges Clouzot, 1943)
Le Salaire de la peur (Henri-Georges Clouzot, 1953)
Retour à la vie - Le Retour de Jean (Henri-Georges Clozot, 1949)
Manon (Henri-Georges Clozot, 1949)
Les Espions (Henri-Georges Clozot, 1957)


6. Les oubliés :

Ma cousine de Varsovie (Carmine Gallone, 1931)

Avec le sourire (Maurice Tourneur, 1936)
Juste de Marseille (Maurice Tourneur, 1935)
Au nom de la loi (Maurice Tourneur, 1932)
Las Gaités de l'escadron (Maurice Tourneur, 1932)

Ville conquise (Anatole Litvak, 1940)
Raccrochez, c'est une erreur (Anatole Litvak, 1948)
Le traitre (Anatole Litvak, 1951)
The long night (Anatole Litvak, 1947)
Pourquoi nous combattons (Anatole Litvak, Frank Capra, 1943)
Cœur de Lilas (Anatole Litvak, 1932)
Cette vieille canaille (Anatole Litvak, 1933)
L'Équipage (Anatole Litvak, 1935)
La dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil (Anatole Litvak, 1970)

Les Croix de bois (Raymond Bernard, 1932)
Les Misérables (Raymond Bernard, 1932)
Faubourg Montmartre (Raymond Bernard, 1931)
Les Otages (Raymond Bernard, 1939)

Quatorze juillet (René Clair, 1932)
Le silence est d'or (René Clair, 1947)
À nous la liberté (René Clair, 1931)
La Beauté du diable (René Clair, 1950)
Sous les toits de Paris (René Clair, 1930)
Le Million (René Clair, 1931)
Les Belles de nuit (René Clair, 1952)

Casque d'or (Jacques Becker, 1952)
Madame de... (Max Ophuls, 1953)
French Cancan (Jean Renoir, 1955)

Circonstances atténuantes (Jean Boyer, 1939)
Nous irons à Paris (Jean Boyer, 1950)
Prends la route ! (Jean Boyer, 1936)
Un mauvais garçon (Jean Boyer, 1936)


7. Les méconnus :

La Terre qui meurt (Jean Vallée, 1936)

Crime et châtiment (Pierre Chenal, 1935)
La Maison du Maltais (Pierre Chenal, 1938)
L'Alibi (Pierre Chenal, 1937)
L'Homme de nulle part (Pierre Chenal, 1937)
Native Son (Pierre Chenal, 1951)
Clochemerle (Pierre Chenal, 1948)
La Foire aux chimères (Pierre Chenal, 1946)
Rafles sur la ville (Pierre Chenal, 1958)

Jéricho (Henri Calef, 1946)
La Maison sous la mer (Henri Calef, 1947)
Bagarres (Henri Calef, 1948)
L'Heure de la vérité (Henri Calef, 1964)

Alice Guy
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alice_Guy

Germaine Dulac
https://fr.wikipedia.org/wiki/Germaine_Dulac

Minne, l'ingénue libertine (Jacqueline Audry, 1950)
Olivia (Jacqueline Audry, 1951)
Les Malheurs de Sophie (Jacqueline Audry, 1946)
La Caraque blonde (Jacqueline Audry, 1954)

Cléo de 5 à 7 (Agnès Varda, 1962)

La Fiancée du pirate (Nelly Kaplan, 1969)

Gas-oil (Gille Grangier, 1955)
Histoire de chanter (Gille Grangier, 1947)
La Vierge du Rhin (Gille Grangier, 1953)
Le Cave se rebiffe (Gille Grangier, 1961)
Le Sang à la tête (Gille Grangier, 1956)
Reproduction interdite (Gille Grangier, 1957)
Le Désordre et la Nuit (Gille Grangier, 1958)

Le crime de Monsieur Lange (Jean Renoir, 1935)


8. Mes années 60 :

Le boucher (Claude Chabrol, 1970)
Que la bête meure (Claude Chabrol, 1969)
La Boulangère de Monceau (Éric Rohmer, 1962)
Le Genou de Claire (Éric Rohmer, 1970)
Rififi à Tokyo (Jacque Deray, 1963)
La Piscine (Jacque Deray, 1969)
La Loi du survivant (José Giovanni, 1967)
Dernier domicile connu (José Giovanni, 1970)
Un condé (Yves Boisset, 1970)
R.A.S. (Yves Boisset, 1973)
Le Juge Fayard dit Le Shériff (Yves Boisset, 1977)
Allons z'enfants (Yves Boisset, 1981)
Le Temps de vivre (Bernard Paul, 1969)
Dernière sortie avant Roissy (Bernard Paul, 1977)
Pierre et Paul (René Allio, 1969)
O Salto (Christian de Chalonge, 1968)
Coup pour coup (Marin Karmitz, 1972)
La Bande à Bonnot (Philippe Fourastié, 1968)
Remparts d'argile (Jean-Louis Bertucelli, 1970)
L'Horizon (Jacques Rouffio, 1967)
Ce soir ou jamais (Michel Deville, 1961)
Adorable Menteuse (Michel Deville, 1962)
La Chasse au lion à l'arc (Jean Rouch, 1967)
Le Chat (Pierre Granier-Deferre, 1971)
La Veuve Couderc (Pierre Granier-Deferre, 1971)
L'amour c'est gai, l'amour c'est triste (Jean-Daniel Pollet, 1971)
Nuit et brouillard (Alain Resnais, 1956)
Toute la mémoire du monde (Alain Resnais, 1956)
Hiroshima, mon amour (Alain Resnais, 1959)
Mélo (Alain Resnais, 1986)
Smoking / No Smoking (Alain Resnais, 1993)
Cœurs (Alain Resnais, 2006)
Je t'aime, je t'aime (Alain Resnais, 1968)

Le bal des pompiers (André Berthomieu, 1949)
Campement 13 (Jacques Constant, 1940)
Le monte-charge (Marcel BluWal, 1962)
Police judiciaire (Maurice de Canonge, 1958)
Un revenant (Christian-Jacque, 1946)
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par Tugdual »

Bruce Willis a vendu son visage :
Extrait :
La carrière de l'acteur était reluisante (jusqu'à un certain point). Traversée par de grands films comme Le Sixième Sens, Pulp Fiction, Incassable, L'Armée des 12 singes ou encore Piège de cristal, Bruce Willis a mis fin à sa carrière d'acteur en laissant derrière lui une triste fin de carrière avec des DTV bien moisis.

Mais le plus triste en réalité, c'est la raison qui a motivé cette décision. La star souffrait d'aphasie et il devenait de plus en plus compliqué de performer lors des tournages. Mais voilà que contre toute attente, nous reverrons certainement le visage de l'acteur à l'écran. En effet, d'après The Telegraph, il a donné son accord pour qu'un double numérique soit utilisé dans des longs-métrages.
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par DarkLeon »

lucius a écrit : samedi 24 septembre 2022 à 15:00 Godard est pour moi (ainsi que la nouvelle vague) totalement surestimé. En plus je n'aimais pas son attitude méprisante et hautaine envers certains réalisateurs.
Je plussoie. Ce piédestal sur lequel on l'a placé me laisse assez perplexe.
Pourtant je peux apprécier des films dit "difficiles d'accès" mais je n'arrive pas à accrocher au cinéma de Godard. Excepté l'aspect technique, l'aspect émotionnel y est pour moi inexistant.
Considérant le cinéma comme un art qui a pour but de provoquer une émotion chez le spectateur (en racontant une histoire personnelle mais devenant universelle à l'écran grâce au travail scénaristique), je ne m'y retrouve pas dans le travail de ce réalisateur.

Même si il n'a été que peu considéré en son temps par les critiques "pointus" en tant que réalisateur, je préfère mille fois le travail de Claude Berri dans les années 80 / 90.
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Re: [Index Cinéma] Pour parler de cinéma...

Message par Tugdual »

De ce que j'ai lu, il faut voir Godard comme un éternel expérimentateur de l'art cinématographique, qui interroge et joue de ses limites...


Pour creuser, sur Arte :
Ou encore, « Comment Godard est devenu mon réalisateur préféré... », par Antoine Goya :
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