C'est vachement précis.
Question bête, ça se répare ? Qu'est-ce que ça implique ? Veut dire ?
C'est vachement précis.
Sans parler des QI établis ou supposés on s'en fout du score que chacun peut avoir. Ce qui compte dans la vie, c'est d'être heureux.Comte_Pseudonyme a écrit : ↑mercredi 25 mai 2022 à 19:52 Ah oui, j'avais pas fait le lien avec l'article posté juste au dessus. Alors que je l'avais bien vu.
Wow. 139 de QI mesdames messieurs et les autres ! x)
Plus sérieusement, tu as un problème a tes mains ? Sèche, que sais-je ? ou c'est juste une supposition comme ça ?
Des problèmes de peau sont aussi fréquemment corrélés avec les troubles anxieux. Sans en être forcément la cause ou une des causes, ils peuvent être un facteur aggravant.Fluxus a écrit : ↑mercredi 25 mai 2022 à 19:38 Je sais que la pellicule qui se forme sur les mains et sert à protéger naturellement se détruit lors des lavages de mains répétitifs par exemple mais qu'elle peut se régénérer, sûrement en hydratant à bloc et en prenant soin de sa peau.
J'ai dit que j'avais probablement détruit mon microbiote cutané depuis la crise sanitaire parce que je remarque que depuis que je fais des excès sur l'hygiène, j'ai des problématiques que je n'avais pas avant, notamment au niveau cutané. Ce n'est qu'une supposition à l'arrache mais je pense que ça peut jouer.
La médecine entre arts et science, des commencements à la médecine factuelle ») nous paraît bien refléter l’esprit général de l’ouvrage. L’auteur apporte une réponse fertile dans ce débat en s’appuyant sur un rappel historique, non pas des grandes découvertes de la médecine mais de ses étapes conceptuelles. Ainsi est brossé un parcours solidement documenté de son cheminement épistémologique, depuis ses débuts dans l’Antiquité avec le fameux « sens clinique » – se pencher sur le lit du malade couché –, puis au siècle des Lumières soucieux de disposer de traitements efficaces qui seuls valident le savoir médical – avec le premier recours aux statistiques pour des contrôles d’efficacité –, ensuite au 19e siècle avec l’essor de la méthode anatomopathologique et surtout de la physiologie expérimentale de C. Bernard. Et enfin jusqu’à l’apparition dans les années 1990 de l’EBM (evidence-based medicine, ou la médecine fondée sur les preuves), s’appuyant sur des protocoles rigoureux, les « essais cliniques randomisés », et produisant des recommandations (guidelines) relayées par les sociétés savantes ou par la Haute autorité de santé. Enfin, l’avalanche des données de santé collectées aujourd’hui (Health Data Hub et Gafa – avec leur emprise sur le big data) est en train de révolutionner, grâce à l’intelligence artificielle qui les exploite, les démarches diagnostique et thérapeutique au cœur de l’acte médical.
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Laissons conclure A. Comte-Sponville qui, dans sa préface, met en garde contre une opposition entre ces deux approches, en fait complémentaires : « La médecine science ou art ? Elle est les deux, indissociablement, et pourtant de plus en plus scientifique – et c’est tant mieux – sans être pour autant de moins en moins un art (l’art de soigner) au sens proposé d’un humanisme en acte ; ne comptez pas, amis médecins, sur la compétence scientifique pour y suffire, ni sur l’humanisme pour tenir lieu de compétence ! »
Que faut-il manger pour éviter les carences en fer ? Il n’y a pas d’aliment miracle…
Mangez si possible de temps à autre des produits carnés, sources efficaces d’apport en fer, accompagné d’un fruit frais ou d’un légume frais riche en vitamine C. Mais évitez, dans un même repas, de mêler des produits laitiers avec vos légumineuses, votre houmous, vos viandes. Éviter également vin, thé, café pour favoriser vos apports.
Faites tremper vos légumineuses (pois chiche, haricots rouges, noirs ou blancs, fèves, flageolets, lentilles, soja en graine) 48 h et changez l’eau fréquemment. Pour les pois chiches, choisissez une cuisson en cocotte-minute avec un ajout d’une pincée de bicarbonate dans l’eau. À la purée de pois chiche et de sésame, ajoutez un jus de citron frais pour favoriser l’assimilation du fer.
Si votre régime alimentaire exclut les viandes, attention aux compléments nutraceutiques pour corriger vos apports déficients en fer : ceux-ci provoquent des irritations coloniques et d’autres inconforts. Seul le bis-glycinate de fer semble apporter une solution sécurisée et efficace.
Que se passe-t-il ? Tous le défauts de notre système de santé s’expriment à leur plus haut degré dans la crise des urgences. Ces défauts sont principalement l’hospitalocentrisme et la structure dyarchique de notre systèmes de soins.
On déplore pourtant la fermeture de nombreux lits d’hôpitaux. Il faut savoir que avec 6 lits pour 1000 habitants la France reste à un niveau très élevé par rapport à d’autres pays—cela va du double au triple— comme la Suède ( 2,2 ), le Royaume-Uni (2,5), le Canada (2,5) le Danemark (2,6), Espagne (3), Pays-Bas (3,3).
L’hospitalocentrisme, je l’ai constamment dénoncé dans mes billets. Je rappelle que ce sont les ordonnances Debré de 58 qui ont résolument placé l’hôpital au centre de notre système de santé. Il fait de l’hôpital la structure suzeraine de notre système de santé vers laquelle tout doit converger. Cet hospitalocentrisme s’est renforcé au fil des réformes. Alors que dans le même temps rien a été fait pour mettre en place une véritable organisation des soins primaires.
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Dans de nombreux pays les soins primaires sont en première ligne pour la prise en charge des urgences.
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L’autre vice de construction de notre système de santé est sa structure diarchique. Il repose en effet sur deux piliers distincts, d’une part le secteur hospitalier sous la tutelle de l’État, d’autre part la médecine de ville régulée par la Sécurité sociale. Il en résulte un cloisonnement de l’offre de soins. Entre hôpital et médecine de ville, on communique mal et surtout on ne coopère pas.
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Je rappelle enfin l’analyse que j’avait faite dans mon précédent billet sur les urgences. La saturation des services d’urgence n’est pas le fait des urgences vitales qui sont relativement constantes, sauf peut-être à l’occasion des vagues du Covid-19 . Seuls 1 % des patients sont amenés par le SMUR (service mobile d’urgence et de réanimation). Ce sont des pathologies plus courantes qui ne mettent pas la vie en danger mais la perturbent suffisamment pour exiger une prise en charge rapide. Ces pathologies, autrefois prises en charge par la médecine de ville, ne le sont plus du fait d’un exercice programmé des consultations. L’agenda des médecins de ville ne peut plus accueillir ces patients car ils sont saturés par des consultations de suivi. Essentiellement de suivi des maladies chroniques. De même, pour les pédiatres, les 20 examens médicaux prévus au cours des 16 premières années de la vie suffisent largement à remplir leurs agendas!
Ceci conforte l’idée que la solution de la crise des urgences ne passe pas par un renforcement des capacités d’accueil de l’hôpital, mais bien par un effort d’organisation des soins primaires.
Je vais lire ça !