Inside the mind of a master procrastinator | Tim Urban
On verra demain : excursion en procrasti-nation
Mais outre ces braves gens et leurs réflexions, je suis confronté avec cette affreuse chose. Est-ce un singe ? Est-ce un songe ? Un mot pour cacher la fainéantise ?
- En ce qui me concerne, c'est un défaut qui me redirige toujours vers le familiers de ce qui n'est pas pressant, plutôt que vers le pressant qui est inconnu.
- Je comprend que la procrastination ait un rapport avec la récompense immédiate ou non, mais il se trouve que j'aime ce que j'ai fait et ce pourquoi je procrastine. J'y prend beaucoup de plaisir, que ce soit écrire des règles, préparer une séance de jeu de rôle, dépouiller mes archives, faire le ménage, ranger mes notes. Cependant, pour la plupart des choses, ce n'est pas vraiment de la fainéantise ou le fait de rompre la routine du pas grand chose qui m'empêche de lire ou d'écrire.
- Je me demande sérieusement s'il n'y a pas une part de peur là dedans, dans le sens où je vais vraiment dans l'inconnu. C'est du travail de créatif, la recherche d'informations, d'idées, la conceptualisation de règles, ou même la formulations de récits pour mon mémoire.
- Il y a toujours un seuil à franchir. Pour la plupart des activités, c'est assez simple. Un peu de volonté et le ménage est fait, même si l'habitude à disparue avec le grand rush du mémoire d'été. Mais pour mes papiers ? Il me faut du chocolat, la peur d'être en retard pour triompher de la peur de mal faire, la peur d'échouer contre la peur d'échouer : le tout nappé d'anxiolytiques pour éviter de palpiter et pouvoir rester en place.
Qu'est-ce que la procrastination ? Des expériences ? Des idées ? Des sources ?