Ça s'est dégradé petit à petit? Depuis le confinement, l'épidémie de covid?
Est ce qu'il se rend compte qu'il régresse ?
Qu'en disent les professionnels qui le suivent?
A partir d'un certain âge en effet, celle peut plus ou moins leur peser alors qu'avant ça ne pesait pas trop.Pour le lycée il veut être comme les autres, il souhaite avoir des amis, des copains, une petite copine mais il ne sait pas comme faire.
A t-il des suivis?
En groupe d habileté sociale, il pourrait apprendre mais c'est de longue haleine, ce qu'il "faut faire" ou ce qu'il "ne faut pas faire" selon les codes sociaux des ados.
Mais cela peut aussi se développer en activité comme un sport, un club de jeu en ludothèque ou du théâtre par exemple... En s'appuyant sur ses intérêts.
En petit groupe avec des ados sympas et ouverts à la différence s'il en trouve autour de lui...
C'est surtout qu'il y perd de l'énergie: il s'y épuise s'il n'est pas épaulé; tous ces codes sociaux très particuliers à l'adolescence, lui sont étrangers ou partiellement connus. Il doit les "déceler" puis les décrypter et enfin se les approprier ce qui est loin d'être naturel.J'ai l'impression que plus il essaye moins il y arrive plus le moral s'en ressent.
Il est pourtant sous médicaments (je ne sais pas si on peut citer les noms des médicaments sur se site) suivi en hôpital de jour mais...
Les médicaments c'est pour angoisse et/ou dépression?
Attention au suivi en hôpital de jour... Ont ils une tendance comportementaliste ou psychanalyste ?
Sont ils bien au fait des TSA?