Je pense que ça dépend des circonstances. Une copine victime d'inceste quand elle était enfant, qui avait perdu son emploi à cause de sa fibromyalgie et qui se retrouvait sans domicile parce que son copain avait trouvé une autre fille, a décidé de mettre fin à ses jours en se piquant avec l'insuline de son ex.camille-madeleine a écrit : ↑lundi 4 novembre 2019 à 11:31Cela me semble une telle évidence que j'ai eu beaucoup de mal à admettre que mon entourage ne partageait pas cette idée. Désormais mon entourage étant des plus réduit, ma mort ne fera pas souffrir grand monde alors que la maladie ou la dépendance pourraient entraver une ou deux personnes.
Je ne suis toujours pas remise de sa mort car, pour moi, c'est un énorme gâchis. Pour moi, le suicide ne sert à rien, c'est contre-productif.
Je ne dis pas que je préférais la voir souffrir, mais j'aurais préférais qu'on continue de se battre ensemble parce que tout n'était pas irréparable.
On m'a dit pour me réconforter que c'était son choix. Certes, ça l'était mais peut-être sur le moment, peut-être que la dépression lui embrouillait les idées et qu'il fallait juste qu'elle guérisse de ça. Bref, je suis encore très perturbée par sa mort qui date pourtant du 17 avril.