Auto-stimulations socialement acceptables
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Depuis mon mariage je joue en permanence avec mon alliance, la faisant glisser sur mon doigt. Je m'efforce de ne pas aller jusqu'à la retirer lorsque je suis dans un lieu public, j'ai trop peur de la perdre un jour, mais c'est vraiment impossible pour moi de ne pas la triturer.
Sinon j'ai les doigts qui dansent, je sers mes poings en m'enfonçant les ongles dans la peau, je me pince (en particulier entre les doigts), je me gratte le bout des doigts avec l'ongle d'un autre, je fais des comptages (avec une ou deux mains, avec ou sans comptage mental qui l'accompagne), je trace des formes géométriques sur mes ongles avec mes doigts...
J'ai lu quelqu'un qui parlait de se pincer le bout des doigts. J'ai toujours aimé la sensation des pinces à linge sur mes doigts mais déjà ma femme trouve ça étrange alors mes collègues (ce qui ne m'empêche pas de le faire de temps en temps avec un de ces petits outils pour retirer les agrafes...).
Je ne sais pas si ça rentre dans les auto-stimulations mais dans un environnement trop sollicitant je peux siffler (pas en public), tapoter quelque chose en rythme (le plus souvent c'est moi même que je tapote), fredonner en faisant des espèces de bruit de gorge plus ou moins prononcés... En fait je crois que mon objectif est de créer une sorte de contre-bruit, quelque chose qui vient de moi, que je contrôle et qui apporte de la régularité / contrebat les parasites.
Sinon j'ai les doigts qui dansent, je sers mes poings en m'enfonçant les ongles dans la peau, je me pince (en particulier entre les doigts), je me gratte le bout des doigts avec l'ongle d'un autre, je fais des comptages (avec une ou deux mains, avec ou sans comptage mental qui l'accompagne), je trace des formes géométriques sur mes ongles avec mes doigts...
J'ai lu quelqu'un qui parlait de se pincer le bout des doigts. J'ai toujours aimé la sensation des pinces à linge sur mes doigts mais déjà ma femme trouve ça étrange alors mes collègues (ce qui ne m'empêche pas de le faire de temps en temps avec un de ces petits outils pour retirer les agrafes...).
Je ne sais pas si ça rentre dans les auto-stimulations mais dans un environnement trop sollicitant je peux siffler (pas en public), tapoter quelque chose en rythme (le plus souvent c'est moi même que je tapote), fredonner en faisant des espèces de bruit de gorge plus ou moins prononcés... En fait je crois que mon objectif est de créer une sorte de contre-bruit, quelque chose qui vient de moi, que je contrôle et qui apporte de la régularité / contrebat les parasites.
Diagnostiqué TSA.
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Bonjour, concernant l'autostimulation, pour ma part, je me concentre sur des objets extérieur pour ne pas me faire mal déjà. J'utilise une petite souris ou un petit avion a remonter. C'est très marrant,ça fait un bruit de compte a rebours en plus et si tu poses ton objet, évidement, il tourne où il avance. Autrement en cas d'urgence et faute de jouet, j'utilise mon stylo. Ouvrir, fermer....clic clac clic clac....très énervant pour l'entourage. Autrement quand je me déplace, je siffle, je sifflotte ou chuchote un air qui me vient. Étant une personne très dynamique,voire hyperactive, j'aime bien sautiller, ou même courir quand je peux. J'applaudis avec mes paumes de mains et ou me contortionne les chevilles dans tous les sens. Je me fais très rarement mal. Il m'est arrivé de me taper la tête contre les murs mais seulement en cas d'extrême incompréhension ou incapacité à gérer une situation. Voilà un bon résumé de mes activités stimulantes.
Aucun diagnostic établi
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Mctipota, peux-tu mettre à jour ta signature, en précisant ton statut vis-à-vis du diagnostic (voir la charte, chapitre 1.2) ?
D'avance, merci.
Par ailleurs, la section "Espace TSA", est dédiée aux témoignages de personnes ayant reçu un diagnostic d'autisme (voir les détails ici et le résumé là).
D'avance, merci.
Par ailleurs, la section "Espace TSA", est dédiée aux témoignages de personnes ayant reçu un diagnostic d'autisme (voir les détails ici et le résumé là).
Diagnostiqué. CRA, 2016.
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Merci Lepton
HPI (2018)
TSA (février 2020 en libéral, décembre 2021 au CRA)
TDAH (avril 2023)
TSA (février 2020 en libéral, décembre 2021 au CRA)
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Édit Oups erreur mea culpa !
Modifié en dernier par Lilette le mardi 7 juillet 2020 à 23:22, modifié 2 fois.
TSA.
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Auto-stimulations socialement acceptables ?
Que tu sois seul ou non, un bon repère est de savoir si tu te mets en danger ou non.
En tout cas, quand tu es seul (tu n'interagis avec personne ; personne ne t'observe), tu peux mettre de côté les normes sociales.
Quand tu es avec d'autres personnes, à toi de voir au cas par cas chaque norme sociale et chaque auto-stimulation :
Telle auto-stimulation est-elle socialement valorisée, acceptée, tolérée, inacceptable ? Et par rapport à quelle norme sociale (rechercher précisément, discuter avec des personnes qui connaissent bien les normes sociales et leurs étendues respectives [dans les différents espaces sociaux, dans le temps, etc.]) ?
Exemple 1 : écouter de la musique
- je le fais chez moi, pas trop fort, mais je ne suis pas obligé de mettre les écouteurs,
- dans le train, je mets toujours les écouteurs (dans le train, des personnes peuvent vouloir dormir, se concentrer, etc.),
- en salle de concert, ce n'est pas moi qui règle le volume (je suis dans le public), la musique est la première intrigue, le sens de l'événement, le premier plan du contexte,
- mais est moins bien vu dans un contexte où on est censé communiquer (écouter et parler), mettre les écouteurs aux oreilles est un signe "je ne veux pas discuter, je suis indisponible" (que j'utilise dans le train, tout en savourant la musique ),
- je me mets en danger (de surdité, de malentendance, d'acouphènes et autres troubles auditifs) si je mets la musique trop fort, trop longtemps ; et il faut voir si, selon les horaires d'écoute musique, si je ne me favorise pas des troubles du sommeil.
Exemple 2 : palper et manipuler mécaniquement des objets, mâcher et mâchouiller, et autres stéréotypies,
- je ne le pratique pas trop (pour ma part), mais ça ne dérange personne,
- tant que ça ne fait pas trop de bruit.
Exemple 3 : activité physique
- tant que ça ne met personne en danger et que ça ne fait pas trop de bruit, pas de problème,
- bon, la transpiration peut importuner des personnes, donc éventuellement le faire à distance,
- en plus, l'activité physique est socialement valorisé (santé, capacitisme, apparence de corps bien constitué ).
Exemple 4 : porter une peluche
- il me semble que ce n'est pas parce qu'on est ou paraît plus âgé qu'on doive se priver de peluche (capacitisme, âgisme, survalorisation de "l'âge adulte),
- une peluche n'est pas dangereuse à porter, caresser ou câliner ,
- on voit que, parfois, c'est juste le côté inhabituel de certaines actions qui gêne les personnes, et ce n'est pas ça qui doit nous empêcher de les faire.
Pour ma part, comme j'aime la discrétion, ben... quand je marche dans la rue, je me contente de marcher vers ma destination, discrètement (sans danser, sans chanter, au pas habituel).
Que tu sois seul ou non, un bon repère est de savoir si tu te mets en danger ou non.
En tout cas, quand tu es seul (tu n'interagis avec personne ; personne ne t'observe), tu peux mettre de côté les normes sociales.
Quand tu es avec d'autres personnes, à toi de voir au cas par cas chaque norme sociale et chaque auto-stimulation :
Telle auto-stimulation est-elle socialement valorisée, acceptée, tolérée, inacceptable ? Et par rapport à quelle norme sociale (rechercher précisément, discuter avec des personnes qui connaissent bien les normes sociales et leurs étendues respectives [dans les différents espaces sociaux, dans le temps, etc.]) ?
Exemple 1 : écouter de la musique
- je le fais chez moi, pas trop fort, mais je ne suis pas obligé de mettre les écouteurs,
- dans le train, je mets toujours les écouteurs (dans le train, des personnes peuvent vouloir dormir, se concentrer, etc.),
- en salle de concert, ce n'est pas moi qui règle le volume (je suis dans le public), la musique est la première intrigue, le sens de l'événement, le premier plan du contexte,
- mais est moins bien vu dans un contexte où on est censé communiquer (écouter et parler), mettre les écouteurs aux oreilles est un signe "je ne veux pas discuter, je suis indisponible" (que j'utilise dans le train, tout en savourant la musique ),
- je me mets en danger (de surdité, de malentendance, d'acouphènes et autres troubles auditifs) si je mets la musique trop fort, trop longtemps ; et il faut voir si, selon les horaires d'écoute musique, si je ne me favorise pas des troubles du sommeil.
Exemple 2 : palper et manipuler mécaniquement des objets, mâcher et mâchouiller, et autres stéréotypies,
- je ne le pratique pas trop (pour ma part), mais ça ne dérange personne,
- tant que ça ne fait pas trop de bruit.
Exemple 3 : activité physique
- tant que ça ne met personne en danger et que ça ne fait pas trop de bruit, pas de problème,
- bon, la transpiration peut importuner des personnes, donc éventuellement le faire à distance,
- en plus, l'activité physique est socialement valorisé (santé, capacitisme, apparence de corps bien constitué ).
Exemple 4 : porter une peluche
- il me semble que ce n'est pas parce qu'on est ou paraît plus âgé qu'on doive se priver de peluche (capacitisme, âgisme, survalorisation de "l'âge adulte),
- une peluche n'est pas dangereuse à porter, caresser ou câliner ,
- on voit que, parfois, c'est juste le côté inhabituel de certaines actions qui gêne les personnes, et ce n'est pas ça qui doit nous empêcher de les faire.
Pour ma part, comme j'aime la discrétion, ben... quand je marche dans la rue, je me contente de marcher vers ma destination, discrètement (sans danser, sans chanter, au pas habituel).
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Pour les auto stimulations dangereuses, comment réussir à les remplacer par quelque chose de moins dangereux ?
De base, je me ronge souvent les petites peaux autour des ongles (mes parents ont tenté de m'empêcher mais impossible) et je me mordille les lèvres ainsi que les joues. Quand je suis angoissée, en plus, je me pince (entre les doigts souvent ou la pulpe ou la paume, ça reste discret), plus l'angoisse monte plus je pince fort. Ensuite, je m'enfonce les ongles dans les bras ou les cuisses. Et si c'est vraiment trop; j'en viens à m'auto mutiler (pas profondément, juste pour avoir la sensation de coupure).
Je crois que quand j'ai la sensation de souffrir "dans ma tête" j'ai besoin de ressentir cette douleur "dans mon corps" pour me ré ancrer dans le physique (je ne sais pas si c'est la bonne explication, mais, à l'heure actuelle, c'est là où j'en suis dans mon cheminement et ma réflexion).
A un moment, mon mari a vu que je faisais ça et m'a menacée de me quitter si je continuais (il a cru que j'avais fait une tentative de suicide alors que pas du tout) et.. je me frappais la tête contre le mur à la place, ou je prenais le canapé pour un punching ball (à la réflexion, vu ma force de mouche, c'était peut être le moins "dangereux" mais ça ne me satisfaisait que moyennement).
Rien que d'écrire ces lignes, je me sens toute fébrile.. Le pire c'est que je culpabilise beaucoup vis à vis de ça, parce que je sais que ce n'est pas "normal"..
De base, je me ronge souvent les petites peaux autour des ongles (mes parents ont tenté de m'empêcher mais impossible) et je me mordille les lèvres ainsi que les joues. Quand je suis angoissée, en plus, je me pince (entre les doigts souvent ou la pulpe ou la paume, ça reste discret), plus l'angoisse monte plus je pince fort. Ensuite, je m'enfonce les ongles dans les bras ou les cuisses. Et si c'est vraiment trop; j'en viens à m'auto mutiler (pas profondément, juste pour avoir la sensation de coupure).
Je crois que quand j'ai la sensation de souffrir "dans ma tête" j'ai besoin de ressentir cette douleur "dans mon corps" pour me ré ancrer dans le physique (je ne sais pas si c'est la bonne explication, mais, à l'heure actuelle, c'est là où j'en suis dans mon cheminement et ma réflexion).
A un moment, mon mari a vu que je faisais ça et m'a menacée de me quitter si je continuais (il a cru que j'avais fait une tentative de suicide alors que pas du tout) et.. je me frappais la tête contre le mur à la place, ou je prenais le canapé pour un punching ball (à la réflexion, vu ma force de mouche, c'était peut être le moins "dangereux" mais ça ne me satisfaisait que moyennement).
Rien que d'écrire ces lignes, je me sens toute fébrile.. Le pire c'est que je culpabilise beaucoup vis à vis de ça, parce que je sais que ce n'est pas "normal"..
09/21: diagnostiquée TSA - anciennement Asperger, par le CRA de Nancy
(J'ai une maladie pulmonaire depuis toujours)
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Ca je le faisais énormément et j'ai eu pas mal d'infections type panari à cause de ce problème... Petite je machouillais mes cheveux (j'ai recommencé récemment, il faut que je change de coiffure), mes manches pour me calmer (alors là l'odeur infecte de tissu imprégné de salive a fini par me calmer )Mylie a écrit :e base, je me ronge souvent les petites peaux autour des ongles (mes parents ont tenté de m'empêcher mais impossible) et je me mordille les lèvres ainsi que les joues.
Mes parents ont essayé plein de choses : vernis (marchait à peu près, en fait au lieu de gratter les peaux je grattais le vernis... côté esthétique par contre c'était pas top) ; Avoir des bracelets à triturer (maintenant j'ai une bague) ; les bâtonnets de réglisse à mâcher (bof au niveau goût) etc.
Aujourd'hui, il existe plein de fidget : mon truc c'est d'en mettre partout. J'en ai des petits (tangles) dans mes différentes poches de manteaux, vestes... des fidgets cubes dans mon sac, des balles antistress dans les pièces de la maison, un rubikscube dans la chambre...J'ai encore "un doudou" dans mon lit et un spray à la lavande parce que les odeurs sont très apaisantes . Il y a des boules quiès dans tous mes sacs. Un casque antibruit et un à réduction de sons à portée de main. Dès que je sens l'angoisse monter je prend un de ces fidgets, n'importe lequel avant de me mettre à des choses plus "dangereuses". Lorsque j'allais vraiment mal, je prenais un anxiolytique...
J'avoue qu'à ce moment là je ne me demande pas trop si c'est "socialement acceptable", si les gens vont trouver ça bizarre... le but est de me calmer le plus rapidement possible. Une fois que je peux réfléchir, je me demande si c'est gênant, si je peux le remplacer par autre chose, de quoi j'ai vraiment besoin etc.
Si vraiment je suis en rdv avec un parent, ou une réunion je prends un mouchoir en papier et j'en fais des toutes petites boulettes. Ca fonctionne bien mais comme j'en laisse partout après, j'essaie d'éviter.
Je pense que pour "remplacer" tes auto-stimulations, il faudra du temps. Je ne suis pas psy alors je n'ai pas de méthode. Comme ça, avec mon expérience, je dirais que ce qui fonctionne c'est de ne pas attendre qu'il soit trop tard pour utiliser ces nouvelles auto-stimulations; Lorsque tu en arrive à te taper la tête contre un mur, c'est que ça doit faire un moment que ça ne va pas. Il faudrait essayer de repérer des moments de "bascule" et trouver une stratégie de remplacement avant que tu ne sois plus en mesure de réfléchir. Je pense que pour les fidgets il est bien aussi de s'habituer à les utiliser quand tout "va bien", juste pour prendre ses marques avec. ce sera plus facile d'y recourir ensuite quand l'angoisse montera
Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Vous dites que cest si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai pour vivre." Anhouil
TSA depuis octobre 2019 - QI hétérogène
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Pour tes fidgets, tu les as acheté en ligne ? Ça fait un moment que je me dis pourquoi pas, mais j'ai du mal à cerner ce qui pourrait me convenir, et j'aurais bien aimé pouvoir en voir "en vrai" plutôt que sur un site, mais je ne sais pas trop où je peux en trouver (j'avais pensé à Nature et Découverte, mais je n'ai pas souvenir d'en avoir déjà vu là bas); j'ai déjà fait quelques recherches sur le net, mais mon côté "je compare tout pour trouver ce qui est le mieux" a un peu paralysé la démarche.. ^^"
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(J'ai une maladie pulmonaire depuis toujours)
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Je les achète chez HopToys. C'est en effet en ligne mais il y a un service après-vente réactif si besoin. Ils ont une grande quantité de modèles, pour tous les besoins et c'est solide.
Je ne trouve pas ça si cher par rapport à d'autres revendeurs mais je n'ai pas trop creusé... En tant qu'enseignante je connais leurs produits et je sais qu'ils sont bien. En plus j'essaie d'éviter certaines enseignes de vente en ligne...
Nature et découverte a peut être des petites choses type balles et casse-tête.
Pour les bijoux à "mordre", il y a des petits créateurs qui proposent des choses plus jolies (pour des adultes) que chez HopToy. Tape bijoux à mordiller dans google ou sur Etsy.
Je ne trouve pas ça si cher par rapport à d'autres revendeurs mais je n'ai pas trop creusé... En tant qu'enseignante je connais leurs produits et je sais qu'ils sont bien. En plus j'essaie d'éviter certaines enseignes de vente en ligne...
Nature et découverte a peut être des petites choses type balles et casse-tête.
Pour les bijoux à "mordre", il y a des petits créateurs qui proposent des choses plus jolies (pour des adultes) que chez HopToy. Tape bijoux à mordiller dans google ou sur Etsy.
Je veux savoir comment je m'y prendrais, moi aussi, pour être heureuse. Vous dites que cest si beau, la vie. Je veux savoir comment je m'y prendrai pour vivre." Anhouil
TSA depuis octobre 2019 - QI hétérogène
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Re: Auto-stimulations socialement acceptables
Merci ! J'ai regardé et j'ai trouvé des produits qui me tentent bien ! Je les commanderais le mois prochain (je budgette toujours à l'avance mes achats, avec une petite enveloppe "petits plaisirs" que j'ai déjà dépensé donc je m'oblige à attendre - sinon je n'arrive plus à maîtriser mon budget).
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