Un sommeil court et sans rien vaudra toujours mieux qu'un sommeil long mais soporifié (http://dictionnairedesverbesquimanquent ... oporifier/Est-ce que vous prenez quelque chose pour vous endormir ?

Un sommeil court et sans rien vaudra toujours mieux qu'un sommeil long mais soporifié (http://dictionnairedesverbesquimanquent ... oporifier/Est-ce que vous prenez quelque chose pour vous endormir ?
TDAH-adulte.org a écrit :Un grand nombre sont "dans le gaz" tous les matins, depuis leur enfance, et ne commencent à fonctionner que l'après-midi ou le soir, puis passent une partie de la nuit sur l'ordinateur pour jouer ou travailler pour rattraper le temps perdu, ce qui accentue le problème. Certains ne sont pas contre ce flou mental ou cette rêvasserie qui peut être agréable (day-dreaming en anglais). Mais souvent cela les empêche d'avancer dans la vie et cela peut finalement amener à des impasses déprimantes à partir d'un certain âge.
Le paragraphe mentionné n’est qu’une éventuelle mini partie de ce que peut être le TDAH. Il peut correspondre à bien d’autres pathologies voire aucune, surtout à l’ère du numérique.Zebra3 a écrit : ↑mardi 5 novembre 2019 à 3:41 Je le fais aussi. Genre là il est 3h30, j'ai rien à faire de spécial (ah si, relancer une offre d'emploi), je traine sur le net, mon rythme est décalé, je me lève à 11h...
Ca fait partie (entre autre) des symptômes TDA/H.
Pour certains ça pourrait être un moyen de réfléchir plus posément. Le cerveau trop actif le jour atteindrait la nuit un niveau d'activité acceptable permettant de se concentrer.
Tu devrais vraiment lire www.tdah-adulte.org DaphnéeLe psychiatre ou neuropsy fera son diag mais le site peut grandement te parler. On peut aussi être aspie ET TDA/H.
Comme tu dis que tu es impulsive ben c'est peut-être lié. Donc ce que tu dis dans l'autre sujet, quand tu t'énerves, ou à propos des relations, ça peut être lié.
TDAH-adulte.org a écrit :Un grand nombre sont "dans le gaz" tous les matins, depuis leur enfance, et ne commencent à fonctionner que l'après-midi ou le soir, puis passent une partie de la nuit sur l'ordinateur pour jouer ou travailler pour rattraper le temps perdu, ce qui accentue le problème. Certains ne sont pas contre ce flou mental ou cette rêvasserie qui peut être agréable (day-dreaming en anglais). Mais souvent cela les empêche d'avancer dans la vie et cela peut finalement amener à des impasses déprimantes à partir d'un certain âge.
Merci,
Un sommeil court et sans rien vaudra toujours mieux qu'un sommeil long mais soporifié (http://dictionnairedesverbesquimanquent ... oporifier/). Facile à dire... je sais
Zebra3 a suivi plusieurs discussions dans lesquelles j'ai participé et elle me donne seulement son ressenti, puisqu'elle sait qu'il y a la possibilité d'avoir de l'autisme ET un TDA/H et que je suis en plein diagnostic d'autisme.hazufel a écrit : ↑mardi 5 novembre 2019 à 7:15Le paragraphe mentionné n’est qu’une éventuelle mini partie de ce que peut être le TDAH. Il peut correspondre à bien d’autres pathologies voire aucune, surtout à l’ère du numérique.Zebra3 a écrit : ↑mardi 5 novembre 2019 à 3:41 Je le fais aussi. Genre là il est 3h30, j'ai rien à faire de spécial (ah si, relancer une offre d'emploi), je traine sur le net, mon rythme est décalé, je me lève à 11h...
Ca fait partie (entre autre) des symptômes TDA/H.
Pour certains ça pourrait être un moyen de réfléchir plus posément. Le cerveau trop actif le jour atteindrait la nuit un niveau d'activité acceptable permettant de se concentrer.
Tu devrais vraiment lire www.tdah-adulte.org DaphnéeLe psychiatre ou neuropsy fera son diag mais le site peut grandement te parler. On peut aussi être aspie ET TDA/H.
Comme tu dis que tu es impulsive ben c'est peut-être lié. Donc ce que tu dis dans l'autre sujet, quand tu t'énerves, ou à propos des relations, ça peut être lié.
TDAH-adulte.org a écrit :Un grand nombre sont "dans le gaz" tous les matins, depuis leur enfance, et ne commencent à fonctionner que l'après-midi ou le soir, puis passent une partie de la nuit sur l'ordinateur pour jouer ou travailler pour rattraper le temps perdu, ce qui accentue le problème. Certains ne sont pas contre ce flou mental ou cette rêvasserie qui peut être agréable (day-dreaming en anglais). Mais souvent cela les empêche d'avancer dans la vie et cela peut finalement amener à des impasses déprimantes à partir d'un certain âge.
Il ne faut pas faire des conjectures diagnostiques à tout va avec des bribes de particularités qui peuvent s’appliquer à nombre de personnes.
Le TDAH est un trouble neurodeveloppemental entraînant un handicap prégnant et nul ici n’est à même de le diagnostiquer ni pour soi ni pour quelqu’un d’autre.
Ce ne sont que des tests fiables passés et un spécialiste qui les analyse, peut le faire.
Comme l’autisme.
De la même façon, même s’il ne s’agit pas d’un diagnostic, personne ne peut se catégoriser haut potentiel intellectuel.
Seul le passage d’un test standardisé analysé par un spécialiste peut l’attester.
C’est assez fatiguant de lire ces élucubrations incessantes sur tels ou telles symptômes ou particularités.
Enfin, les troubles du sommeil pour les personnes autistes sont dus à un empilement / une intrication de particularités.
Les soucis sensoriels qui vont détecter un bruit à la cave / au grenier / le tic tac d’une horloge inhabituel / le bruit résiduel d’un appareil électrique, ne pas s’accommoder d’un pli du drap, de la texture d’une couverture, de l’odeur des draps, du tissu d’un vêtement de nuit.
Ne vont pas s’accommoder non plus avec aisance de la présence physique de quelqu’un dans le même lit, de la lumière de la lune qui passe dans les volets, du bruit de la route, etc.
L’anxiété prégnante chez la plupart des autistes, comme l’hypervigilance et leur propension à ruminer ce qui les bloque, n’aident en rien non plus.
Le défaut de sécrétion de mélatonine est possible et fréquent, la propension aux cauchemars et hallucinations viennent rajouter une petite couche à tout ça.
Daphnée, mon message ne s'adressait pas à toi, tu t'es lancée dans une démarche diagnostique, tu as passé les tests, tu as fait ce qu'il fallait
Tu dis ailleurs avoir passé le WAIS avec la neuropsychologue. J’imagine que si l’analyse de tes résultats avaient soulevé un problème pathologique d’attention, ce serait indiqué.
La mélatonine est une aide à l'endormissement de par la régulation du rythme circadien, elle doit être envisagée dans une logique globale et ne sert absolument à rien sans protocole strict veille/sommeil adapté. Ce n'est pas une solution en soi concernant la plupart des insomnies (en particulier celles liées aux dépressions), et tout ça n'a rien à voir avec une quelconque question de dosage.Dehlynah a écrit :Mais j'ai hâte de pouvoir essayer la mélatonine à gros dosage.