Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
J'ai entendu parlé de ce type de rêve éveillé avec paralysie dans la narcolepsie.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Narcolepsie
Hallucinations
Les hallucinations surviennent lors de l'éveil (« hypnopompiques ») ou lors de l'endormissement (« hypnagogiques »). Ces hallucinations peuvent être très effrayantes et les malades développent une véritable peur de se coucher. Elles peuvent être visuelles, auditives ou kinesthésiques (sensations de toucher ou de déplacement).
Les hallucinations du patient atteint de narcolepsie ne se produisent généralement pas en dehors de ces phases d'endormissement ou de réveil et se distinguent clairement des hallucinations dont la cause est psychiatrique. Les hallucinations des patients atteints de narcolepsie ont une fréquence très variable, leur survenue étant généralement assez espacée, à raison de rarement plus d'une par quinzaine ou par mois. Et leur durée se chiffre en général en secondes.
Paralysies du sommeil
Elles surviennent lors de l'endormissement ou du réveil du malade : la personne est consciente mentalement mais est dans l'impossibilité d'agir physiquement pendant plusieurs secondes à plusieurs minutes. La situation est identique à une cataplexie mais ici elle commence ou termine un sommeil. Les paralysies du sommeil sont de fréquence très variable (parfois absentes) dans la vie du malade, comme les cataplexies. Des paralysies du sommeil peuvent se produire simultanément à des hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques, produisant alors un état d'angoisse profond et extrêmement traumatisant, avec des attaques de panique d'autant plus sévères que tout mouvement est impossible.
C'est souvent à la suite de telles « crises » que des malades pensent avoir été en contact avec des esprits, notamment à cause de l'incapacité à bouger, et parce qu'ils avaient la sensation d'une présence (hallucination). La durée d'une paralysie du sommeil se chiffre généralement en secondes et dépasse rarement deux ou trois minutes.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Narcolepsie
Hallucinations
Les hallucinations surviennent lors de l'éveil (« hypnopompiques ») ou lors de l'endormissement (« hypnagogiques »). Ces hallucinations peuvent être très effrayantes et les malades développent une véritable peur de se coucher. Elles peuvent être visuelles, auditives ou kinesthésiques (sensations de toucher ou de déplacement).
Les hallucinations du patient atteint de narcolepsie ne se produisent généralement pas en dehors de ces phases d'endormissement ou de réveil et se distinguent clairement des hallucinations dont la cause est psychiatrique. Les hallucinations des patients atteints de narcolepsie ont une fréquence très variable, leur survenue étant généralement assez espacée, à raison de rarement plus d'une par quinzaine ou par mois. Et leur durée se chiffre en général en secondes.
Paralysies du sommeil
Elles surviennent lors de l'endormissement ou du réveil du malade : la personne est consciente mentalement mais est dans l'impossibilité d'agir physiquement pendant plusieurs secondes à plusieurs minutes. La situation est identique à une cataplexie mais ici elle commence ou termine un sommeil. Les paralysies du sommeil sont de fréquence très variable (parfois absentes) dans la vie du malade, comme les cataplexies. Des paralysies du sommeil peuvent se produire simultanément à des hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques, produisant alors un état d'angoisse profond et extrêmement traumatisant, avec des attaques de panique d'autant plus sévères que tout mouvement est impossible.
C'est souvent à la suite de telles « crises » que des malades pensent avoir été en contact avec des esprits, notamment à cause de l'incapacité à bouger, et parce qu'ils avaient la sensation d'une présence (hallucination). La durée d'une paralysie du sommeil se chiffre généralement en secondes et dépasse rarement deux ou trois minutes.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Tu as une chance énorme: cette entrée consciente dans le monde des rêves doit être assumée.
Pour cela il est intéressant de pratiquer la méditation "shiné" (calme mental), pour accéder à la possibilité de pratiquer Vipassana (l'attention vigilante). Il suffit ensuite de continuer cette méditation lors de l'endormissement. Tu verras que ce qui t'agresse dans le rêve est "une distraction" (une forme de mental) et ta conception "de la vie", et que la moindre trace d'orgeuil se retourne contre toi en auto-punition et dévalorisation, ou "foirage total" car le rêve te retourne ce que tu a tenté de dénier par cet orgueuil. Le rêve conscient apprend à être neutre, et humble, car le mental, dans ce monde devient une réalité qui se retourne contre la conscience si on perd la vigilance.
surtout: pas de médocs... pas de somnifères.
Probable: manque de sérotonine, suite à une dépression marquée.
Hygiène de vie, pratique physique, baisse des enjeux personnels si possible améliorerons l'aspect désagréable.
Remarque: la paralysie du sommeil est souvent une douleur. Si on réussi à ne pas en avoir peur, cela devient une jouissance.
Pour cela il est intéressant de pratiquer la méditation "shiné" (calme mental), pour accéder à la possibilité de pratiquer Vipassana (l'attention vigilante). Il suffit ensuite de continuer cette méditation lors de l'endormissement. Tu verras que ce qui t'agresse dans le rêve est "une distraction" (une forme de mental) et ta conception "de la vie", et que la moindre trace d'orgeuil se retourne contre toi en auto-punition et dévalorisation, ou "foirage total" car le rêve te retourne ce que tu a tenté de dénier par cet orgueuil. Le rêve conscient apprend à être neutre, et humble, car le mental, dans ce monde devient une réalité qui se retourne contre la conscience si on perd la vigilance.
surtout: pas de médocs... pas de somnifères.
Probable: manque de sérotonine, suite à une dépression marquée.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
( ce mot n'existe pas)Jubjoter : emerger d’un rêve sans savoir la fin et tenter d’y retourner pour connaître la suite.
jubjoter
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Devinez le nombre de cauchemards que je me suis coltiné la nuit dernière ?
Et j'ai l'habitude...Spoiler : La réponse :
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
j'en ai aussi, c'est hyper chiant. Au début c'est même flippant, t'as l'impression que ton coeur va carrément s'arrêter ! Pourtant, il n'y a rien, j'ai fait un test cardiaque et mon coeur est en pleine forme... Elles se calment dès que je reprends le sport mais là, avec mon dos, c'est délicat... Je fais avec, les plus intenses sont au moment où je m'allonge et pendant 20 mn environ.ce doit être des extrasystoles
Mon fils cadet m'a réveillé cette nuit car il y avait un monstre dans sa chambre !
Spoiler :
Mon fils : Je n'arrive pas à dormir, j'ai peur, je ne sais pas ce qu'il me veut.... Ah bah déjà bravo de t'être levé, moi à ton âge, je serais resté au fond de mon lit à hurler de venir m'aider !!! Bon on va aller le voir alors ! Et bien sûr pas, après maintes recherches : pas de monstre à l'horizon... sauf qu'à un moment, en effet, j'entends un bruit... que j'identifie tout de suite évidemment : Le monstre, c'était une grosse mouche qui agonisait !! J'abrège ces souffrances et mon fils retourne tranquillement se coucher... en lui précisant bien que les monstres, les esprits, les fantômes, les schtroumpfs... ça n'existe pas et qu'il faut toujours chercher une raison rationnelle aux bruits qu'on entend.
Ce qui lui a fait vraiment peur, c'est que lorsqu'il a entendu le bruit, il a allumé sa lumière et là plus rien. Il a donc éteint et là ça a repris de plus belle. C'est ça qui l'a fait flipper.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
C’est super qu’il soit venu te voir, mon petit qui dort mal et voit pas mal de monstres un peu partout et capable de rester des heures caché sous sa couverture sans dormir, s’il a peur.
Il appelle un peu plus maintenant mais la peur reste irrationnelle, on n’y peut pas grand chose.
Sur le sujet du fil, je fais des paralysies du sommeil avec des hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques, c’est très déstabilisant et laisse dans un état de stress intense dans la journée voire les jours qui suivent.
Courage Mikkel, on est pote d’extrasystoles
Il appelle un peu plus maintenant mais la peur reste irrationnelle, on n’y peut pas grand chose.
Sur le sujet du fil, je fais des paralysies du sommeil avec des hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques, c’est très déstabilisant et laisse dans un état de stress intense dans la journée voire les jours qui suivent.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Super fier de lui, je lui ai encore dit ce matin !
Modifié en dernier par EnHans le dimanche 1 septembre 2019 à 7:35, modifié 1 fois.
Un enfant diag en 2012
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Oh tiens ça m'est arrivé une fois, la paralysie du sommeil, l'impression de me noyer et donc d'étouffer mais impossible d'appeler ou de bouger.
C'est super flippant !
Bon courage à ceux qui en font souvent.
C'est super flippant !
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TSA.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Idem (paralysies du sommeil + hallucinations hypnagogiques et hypnopompiques, ainsi qu'extrasystoles ainsi que d'autres troubles du rythme.hazufel a écrit : ↑mardi 2 juillet 2019 à 8:20
Sur le sujet du fil, je fais des paralysies du sommeil avec des hallucinations hypnagogiques ou hypnopompiques, c’est très déstabilisant et laisse dans un état de stress intense dans la journée voire les jours qui suivent.
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As-tu déjà réalisé un EEG (voire un EEG réalisé durant ton sommeil) ?
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Profitez en pour essayer le truc "le dormeur doit se réveiller" (Dune), regardez la paume de votre main si vous rêvez, avec un peu de chance vous vous réveillerez dans le rêve.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Alors, je me suis déjà réveillé du rêve dans lequel je m’étais réveillé en me réveillant du rêve précédant, mais ce n’était pas en fixant la paume de ma main.piedsboueux a écrit : ↑dimanche 9 avril 2023 à 18:50 Profitez en pour essayer le truc "le dormeur doit se réveiller" (Dune), regardez la paume de votre main si vous rêvez, avec un peu de chance vous vous réveillerez dans le rêve.
Par contre, j’ai une astuce infaillible afin de me réveiller d’un cauchemar ou d’un rêve ennuyeux, je me jette à chaque fois d’une falaise. 100% de réussite.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Et tu as toujours comme ça une falaise qui t'attend? t'a pas essayé de voler histoire de mieux finir le rêve? (ou d'attraper du poison si tu deviens un fou de bassan)je me jette à chaque fois d’une falaise. 100% de réussite.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
En effet, c'est bizarre mais il semble possible de maitriser ses rêves lucides pour certains... ce n'est pas mon cas.
Il y a d'autres types de rêves : Rêves d'actualité, un type de rêve sur la réalité, rien de surnaturel ou qui dépasse l'imagination basique. Rêves concomitants. Rêves récurrents. Rêve prémonitoire.
Perso, les miens ressemblent à la réalité désormais mais j'ai l'impression de ne plus beaucoup rêver (ni cauchemarder non plus ) mais j'en ai eu des fantastiques et j'arrivais à y retourner parfois... le cerveau est si étrange...
Il y a d'autres types de rêves : Rêves d'actualité, un type de rêve sur la réalité, rien de surnaturel ou qui dépasse l'imagination basique. Rêves concomitants. Rêves récurrents. Rêve prémonitoire.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
À partir du moment où le cauchemar devient infernal, je me rends compte que je suis dans un « rêve », et mon seul but est alors de m’en extraire en me réveillant. J’ai appris au fil du temps à me « projeter » alors dans un autre plan, un paysage invariable d’une forêt de séquoias géants dont l’une des frontières naturelles est une falaise. Je prends mon élan, je cours et je saute, puis je m’éveille dans mon lit.piedsboueux a écrit : ↑dimanche 23 avril 2023 à 21:33Et tu as toujours comme ça une falaise qui t'attend? t'a pas essayé de voler histoire de mieux finir le rêve? (ou d'attraper du poison si tu deviens un fou de bassan)je me jette à chaque fois d’une falaise. 100% de réussite.
Ça doit être chouette de parvenir à se métamorphoser en oiseau, mais je n’ai trouvé que la solution de la falaise lorsque le rêve est « sans issu ».
Par ailleurs, le corps « vit » ces cauchemars puisque l’enregistrement du cardiofréquencemètre montre des pointes a plus de 200 pulsations/min.
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Re: Cauchemard, paralysie et hallucinations du sommeil
Le cerveau est empli d’étrangetés, n’est-il pas…EnHans a écrit : ↑dimanche 23 avril 2023 à 22:14 En effet, c'est bizarre mais il semble possible de maitriser ses rêves lucides pour certains... ce n'est pas mon cas.
Il y a d'autres types de rêves : Rêves d'actualité, un type de rêve sur la réalité, rien de surnaturel ou qui dépasse l'imagination basique. Rêves concomitants. Rêves récurrents. Rêve prémonitoire.
Perso, les miens ressemblent à la réalité désormais mais j'ai l'impression de ne plus beaucoup rêver (ni cauchemarder non plus ) mais j'en ai eu des fantastiques et j'arrivais à y retourner parfois... le cerveau est si étrange...
C’est un très bon point que tu ne fasses plus (ou ne te souviennes plus?) de cauchemar !
Il existe quelques ouvrages, afin de s’entraîner aux rêves lucides, dont celui-ci, que je n’ai pas lu, mais qui semblerait être une référence en la matière : « Exploring the World of Lucid Dreaming », de Stephen LaBerge et Howard Rheingold.
Certains les utilisent aux fins de résolution de problèmes complexes, des sportifs afin de mémoriser plus rapidement un enchaînement difficile (danse, patinage artistique, gymnastique rythmique…), etc.
J’ai cru avoir des rêves extraordinaires , durant lesquels je pouvais voyager au sein de l’Univers, de galaxie et galaxie, de planète en planète, explorant chaque corps célestes…
Cela arrivait toujours au même moment du cycle de sommeil, à l’endormissement. Il s’agissait en fait de crises comitiales dues à une épilepsie nocturne.
Il aura fallu attendre 40 années humaines avant que celles-ci ne soient découvertes fortuitement lors d’un séjour à l’hôpital.
Quelques signes peuvent attirer l’attention, mais ils restent assez communs il me semble : morsure à la langue, énurésie nocturne,
blessures inexpliquées au réveil, courbatures au réveil , maux de tête au réveil, apercevoir des « flashs » colorés les yeux fermés, voir une lumière forte alors que la pièce où l’on se trouve est dans la pénombre, peuvent être des indices d’une crise épileptique nocturne.
Cela peut sembler hors-sujet, mais c’est très important de bien distinguer les deux, car une épilepsie non stabilisée a une influence non négligeable sur le coeur et peut provoquer à la longue des troubles du rythme graves, nécessitant l’implantation d’un stimulateur cardiaque.
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