Ailurine a écrit :J'ai beaucoup de mal à écrire des nouvelles, surtout quand il s'agit de thèmes imposés. ça finit inévitablement par rejoindre mon cycle en cours, que je construis depuis 14 ans. Je n'arrive pas du tout à m'en détacher pour écrire autre chose. J'ai beaucoup aimé découvrir cet univers, que je continue à découvrir un peu, en revanche l'écriture est pour le moins... pénible ( ce qui cause beaucoup de perplexité chez les écrivants, d'ailleurs, qui ne comprennent pas pourquoi je persiste, du coup^^ Je ne le comprends pas moi-même, en fait, mais dès que j'essaie d'abandonner cet univers, mon cerveau ne peux plus du tout fonctionner. Ce n'est pas tout à fait un plaisir, mais voilà, c'est juste pas possible pour moi de ne pas aller le visiter tous les jours^^ )
Tu en retires très certainement pas mal de bénéfices même si ce ne serait pas tout à fait un plaisir entier actuellement. Il y a le faire, le partager, les découvertes.
Dans la poésie cela a duré environ 4 ans : le faire, le partager, les découvertes et j'y étais bien à ma place : je pouvais être moi, dire (et exprimer) mais de préférence écrire ! ce que je voulais (et pas que des choses douces aux oreilles ^),
et j'ai fini par arrêter d'écrire pour diverses raisons : les difficultés à me mettre en public, les difficultés (à l'impossibilité) de faire « vivre » mon texte ^ , un changement de salle mal insonorisée , et un mode d'expression devenu éprouvant et sollicitant, surtout niveau émotionnel car il peut me falloir des heures à jour pour retomber d'une montée d'émotion, la gestion du partage loin d'être évidente notamment sur le net ^ mais aussi irl et vers la fin, en souhaitant à l'époque essayer d'évoluer vers pourquoi pas chanson/guitare, certaines difficultés renouvelées à jouer, apprendre la guitare (une médiocre mémoire court-terme et une coordination fine pas au top entre la tête et les doigts ont eu raison de mes qq velléités d'époque) – après, avec un prof, cela aurait pu être plus positif comme évolution sans doute/peut-être.