[Index Santé] Ici, nous parlons de médecine !
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Des personnes tocophobes parmi vous ?
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Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Cannabis thérapeutique :
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Le Pharmachien :
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Fibromyalgie, arthrose, mal de dos… et cannabis médical :
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
La résistance aux antibiotiques :
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Un épisode spécial de Risque Alpha :
Note : il donne quelques pistes de métiers pour les gens "solitaires, timides (limite pathologique), qui voudraient bosser dans un bureau, derrière un ordinateur et un peu tout seul" ...
Spoiler : Variance expliquée & FAQ des 10 000 abonnés :
Note : il donne quelques pistes de métiers pour les gens "solitaires, timides (limite pathologique), qui voudraient bosser dans un bureau, derrière un ordinateur et un peu tout seul" ...
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Sur The Conversation :
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Message pour les soignants : est-ce que vous avez encore la flamme ? Je veux dire cette envie de sauver la vie des gens parce que ces gens ont une famille, on un vécu et c'est très important de bien traiter l'humain ou malheureusement ça vous dégoûte du métier quand vous pensez que plus un patient reste dans un service et moins c'est rentable...d'ailleurs ça pousse à faire sortir des patients de l'hôpital alors qu'ils ne sont pas forcement soignaient voir à peine stable. Ou le fait que même si tu bosses bien ce n'est pas ça qui va te faire grimper mais plutôt tes bonnes relations... Bref ce soir je ne trouve plus de sens au paramédical et dans le médical.
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
J'ai un cœur, tu confonds la vision des administratifs qui gèrent les hôpitaux avec celle des soignants. Les soignants ne réfléchissent pas de cette manière, et les situations que tu décris découlent uniquement de la logique managériale basée sur la rentabilité, c'est à dire des administratifs qui mettent la pression aux chefs de service pour que leur service soit rentable.
La réalité de la vie à l'hôpital quand tu es soignant est tout autre. Je vais même te confier un scoop : il nous arrive de pleurer quand on découvre une pathologie grave chez un patient, qu'on perd un patient alors qu'on a fait notre maximum pour le sauver, ou encore quand on décide d'un arrêt de soin pour un patient parce qu'il n'est pas possible de s'acharner pour essayer de le sauver alors qu'il souffre et qu'il vivrait dans des conditions déplorables si on parvenait à le sauver.
Mais ça, les patients ne le voient généralement pas, parce qu'on nous apprend dès les bancs de la faculté que ce n'est pas une bonne chose pour nos patients de le leur laisser percevoir.
La réalité de la vie à l'hôpital quand tu es soignant est tout autre. Je vais même te confier un scoop : il nous arrive de pleurer quand on découvre une pathologie grave chez un patient, qu'on perd un patient alors qu'on a fait notre maximum pour le sauver, ou encore quand on décide d'un arrêt de soin pour un patient parce qu'il n'est pas possible de s'acharner pour essayer de le sauver alors qu'il souffre et qu'il vivrait dans des conditions déplorables si on parvenait à le sauver.
Mais ça, les patients ne le voient généralement pas, parce qu'on nous apprend dès les bancs de la faculté que ce n'est pas une bonne chose pour nos patients de le leur laisser percevoir.
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Je ne sais pas comment exprimer ce que je ressens précisément mais je ne vois plus le sens de tout ça. Je vais prendre un exemple " maison retraite". On m'avait dit que pour " laver " un patient je dois juste laver la tête ,la parti intime et les fesses. Je nai pas voulu faire ça , je me rappelle que j'avais dit que moi mon dos je le lave donc je ne vois pas pourquoi lui aurait pas droit. J'ai étais viré. Après les soignants qui restent dans ce genre de services m'ont dit : "on a des crédits et des factures ". J'ai peur de me rapprocher de cette philosophie que c'est un métier comme un autre , genre comptable ou bosser avec de l'humain c'est la même chose...on nous dit de faire ça on le fait sans réfléchir et voilà à la fin du mois on gagne notre salaire .Aeryn a écrit : ↑jeudi 31 janvier 2019 à 8:16 J'ai un cœur, tu confonds la vision des administratifs qui gèrent les hôpitaux avec celle des soignants. Les soignants ne réfléchissent pas de cette manière, et les situations que tu décris découlent uniquement de la logique managériale basée sur la rentabilité, c'est à dire des administratifs qui mettent la pression aux chefs de service pour que leur service soit rentable.
La réalité de la vie à l'hôpital quand tu es soignant est tout autre. Je vais même te confier un scoop : il nous arrive de pleurer quand on découvre une pathologie grave chez un patient, qu'on perd un patient alors qu'on a fait notre maximum pour le sauver, ou encore quand on décide d'un arrêt de soin pour un patient parce qu'il n'est pas possible de s'acharner pour essayer de le sauver alors qu'il souffre et qu'il vivrait dans des conditions déplorables si on parvenait à le sauver.
Mais ça, les patients ne le voient généralement pas, parce qu'on nous apprend dès les bancs de la faculté que ce n'est pas une bonne chose pour nos patients de le leur laisser percevoir.
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Tu te bases sur la situation probablement la pire de ce qui existe en France dans le médical.
J'ai travaillé quelques semaines dans un EHPAD il y a quelques années. Comme toi, je ne comprenais pas ce types de directives. De mon côté, il fallait commencer à coucher les premiers patients à 15h, car il y avait une quarantaine de patients à charge pour une personne et qu'il fallait avoir couché tous les patients avant de partir à 21h. Je n'ai jamais renouvelé l'expérience.
J'ai travaillé quelques semaines dans un EHPAD il y a quelques années. Comme toi, je ne comprenais pas ce types de directives. De mon côté, il fallait commencer à coucher les premiers patients à 15h, car il y avait une quarantaine de patients à charge pour une personne et qu'il fallait avoir couché tous les patients avant de partir à 21h. Je n'ai jamais renouvelé l'expérience.
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Je suis tenu par le secret professionnel mais comme tu le sais déjà je pense , c'est de plus en plus tourner vers le profit et pas qu'en EHPAD, même dans le public...Aeryn a écrit : ↑jeudi 31 janvier 2019 à 18:00 Tu te bases sur la situation probablement la pire de ce qui existe en France dans le médical.
J'ai travaillé quelques semaines dans un EHPAD il y a quelques années. Comme toi, je ne comprenais pas ce types de directives. De mon côté, il fallait commencer à coucher les premiers patients à 15h, car il y avait une quarantaine de patients à charge pour une personne et qu'il fallait avoir couché tous les patients avant de partir à 21h. Je n'ai jamais renouvelé l'expérience.
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Re: Ici, nous parlons de médecine !
Histoire de la médecine, Asclépios nous parle d'Antoine d'Egypte :
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