nicolew a écrit :Il n'a pas formellement avoué être lui même démantelé, il ne dit pas 'je'.
nan, mais il ne le pense pas, il est persuadé qu'il soigne l'enfant, ça ne fait pas l'ombre d'un doute, et c'est pas faux quelque part.
Simplement on peut comprendre que l'enfant dont il parle, et qu'il soigne réellement en réunissant les morceau par emmaillotement, par le "ensemble", c'est pas celui qui est entrain de se faire congeler dans des lignes froid et humides, mais ce qu'il a besoin, une part de lui même qu'il nomme enfant et qu'il ne peut pas intégrer autrement.
Mais lui n'en sait rien, il est convaincue de ce qu'il fait, mais la monde s'arrête à la douceur de ça provoque pour lui, et qu'il décrit parfaitement.
On se demande même s'il perçoit la notion de froid, on a l'impression que tout ça c'est un autre monde, et je crois qu'effectivement c'est hors du monde dont il parle qui lui est loin de tout ça.
C'est la douceurs de se réunir grâce a ce support qui permet comme l'explique très bien zoélo d'avoir accès au visage en interdisant toute perturbation qui viendrais gêner le besoin qu'on a de se réunir tout en étant scindé, grâce a ce support que l'on doit figer pour se réunir.
nicolew a écrit :Pratique l'invention du phénomène de transfert pour accuser l'autre d'être ce que l'on est soi-même.
Oui c'est surtout que tout ce qu'on décrit si ça plais pas peut être taxé de projection. Ce que j'écris serrait a coup sur interprété par lui s'il lisait comme un problème a moi que je transfère sur lui. Ca le rend intouchable dans le sens ou peut importe ce qui lui ai mis sous le nez, il n'a jamais a se remettre en question puisqu'il suffit de réattribuer aux autres ce qu'ils vous disent a vous.
Sauf que dans son discours, moi je le trouve criant de sa vérité : il se soigne, il a besoin de ça comme les orge des enfants dans les contes, effectivement.