"Un corps détendu, tel qu’il est dans son essence, tel qu’il peut le redevenir après introspection sincère, après la méditation profonde n’a aucun besoin, y compris sexuel"Philippe_m a écrit :Un corps détendu, tel qu’il est dans son essence, tel qu’il peut le redevenir après introspection sincère, après la méditation profonde n’a aucun besoin, y compris sexuel.
Malheureusement, ce n’est pas l’intérêt de notre société occidentale, laïque, athée et commerciale d’avoir des êtres libres et détendus. Ce qui génère des besoins, des envies et tout le tralala et en particulier l’idée d’une sexualité.
Ensuite selon son histoire, son passé, sa famille, ce qu’on a lu, vu ou entendu enfant et plein d’autres choses… on va devenir et s’identifier hétéro, homo, trans, …
Tout est bien
Le reste n’est que blabla
Quelle genre de méditation?
Introspection: est ce penser à son passé, réflechir sur les liens entre ce qu'on ressent et son vécu?
Méditation profonde? Est ce relaxer profondément, parfois en s'aidant de musique spécifique (binaurales)
"attention vigilante"? ( consiste à être vigilant, aux agêts de ce qui est perçu, dans le présent et d'admettre la réalité de ce qu'on perçoit, la réalité de ses besoins, et ce, avec la conscience dont l'on dispose alors pour appréhender la réalité du moment, en se détournant des distractions non pas en les refusant (ça devient du refoulement), mais en mettant plus d'intérêt encore sur ce que l'on ressent. Si on est pas conscient de sa respiration où au contraire qu'on contrôle sa respiration, c'est qu'on s'est perdu dans la distraction... la respiration doit se faire selon les seuls besoins du corps, on est conscient de cela comme du reste quand on n'est pas distrait.)
j'ai été tenté de décrire ce qui découle de ces stratégies, qu'on peut associer ou alterner d'ailleurs, mais c'est finalement à vous de trouver la méditation qui va là où vous aspirez à évoluer...
Attention: vous risquez de tomber sur un os: la connerie humaine, et c'est véritablement à chialer. Manquer une telle révélation c'est peut être aussi passer à coté de quelque chose si ÉNORME qu'on peut ni y penser ni en parler.
Reste à faire: Une étude statistique de l'ampleur de la connerie, une fois traduite en quantité de liquide lacrymal déversée lors de sa prise de conscience, ça serait un bon moyen de l'évaluer!