Je me demande aussi:
A partir de quand est-on près pour développer une vie alternative?
Au fur et à mesure de petite recherches et discussion, j'ai supposés d'autre petite contrainte extérieur au projet lui même:
-Un minimum social:
*C'est bête mais pour développer une vie alternative, une partie de l'achat, de l'échange ou de l'entraide se fait de particulier à particulier. L'achat d'un terrain (est-il honnête? Pas honnête?), de l'abri en question (idem du précédent si c'est acheter; matériaux de récup' sinon, ce qui signifie demandé)... mais également de l'aménagement. Il ne me semble pas que l'on trouve de la sciure de bois à tout les coins de rues.
Enfin, je suppose qu'il est différend d'être seul au millieux de la multitude et seul au millieux de nul part. La plupart des exemples sur internet proviennent de familles, de petits groupes (amis, rencontres fortuite), et/ou de gens avec un certains tact pour discuté rapidement avec autrui lors de rencontres (y a aussi les ermites purs).
- ... le changement
(oui je sais, c'est très bête) : un habitat alternative se trouve à la campagne ou dans un bois (sauf pour le nomade bien sûr). S'habituer à avoir des services à plusieurs dizaines de kilomètre signifie beaucoup de prévoyance et d'organisation (avec ou sans vélo). L'absence de fosse sceptique (prévoir des toilettes sèches, évité les "eaux grises" et par voie de conséquence le shampoing, savon dentifrice, détergeant... etc industriel) et d'électricité (installer des panneaux solaires avec batterie lente ou se passée de fée électricité), de raccordement au gaz (achat de bouteille et ou chauffage au bois), voir de raccordement d'eau (préparer citerne, bouillir son eau...).
L'autosuffisance alimentaire signifie de s'experimenté dans le jardinage, activité dont les résultats sont lent et la récolte au départ aléatoire et qui malgré tout demande du temps. Je pense aussi que cela signifie changer ses habitudes alimentaire car au delà de manger fruits et légumes de saison (savoir faire des conserves et confitures pour l'hiver au moins s'avérerait essentiel), c'est aussi d'en manger une variété dont nous n'avons pas forcément l'habitude et qu'il faudra cuisiné tout les jours.
-Du temps, de l'organisation: Dans une société de l'instantanée, s'habituer à ce que chaque chose se fasse lentement avec une multitudes d'étape peut s'avérer je pense difficile à appréhendé.
-La mise en pratique: au delà du doute tout à fait naturel, l'élaboration d'un projet aussi minitieux soit-il demande après prévoyance et visualisation de le faire et cela jusqu'au bout. Hors d'expérience, j'ai envie de dire que c'est l'étape la plus pénible et la plus difficile. Pire, ne pas supporter se qui doit être accomplis nous met en fasse de nos propre contradiction (je ne sais pas si c'est simplement la peur de l'échec.
Est-ce que j'ai oublié quelque chose?
Diagnostiqué le 03/10/2016...