Bref, je n'ai jamais dit que la valeur d'un cadeau était son coût.
Vous êtes parties toutes seules dans ce délire...

Moi aussi, enfant, j'attendais Noël. C'était la seule période où j'avais des cadeaux. Il y avait le coté magique, irréel.Autiste ou surdoué ? a écrit :Il y a eu quatre types de Noël dans ma vie :
1- enfant. C'était magique, j'étais content d'avoir des nouveaux jeux.
2- adulte seul et indépendant. Je me faisais des trucs tout seul et c'était magique. Je marchais toute la journée dans la nature et le soir j'écrivais. J'étais bien.
Le meilleur je l'ai passé sous la neige, au bord d'une côte bretonne, au bord la mer, dans ma voiture. J'ai passé la nuit dans la lande bretonne enneigée, avec juste les bruits de la nature atténués par la neige, et les vagues au loin. J'imaginais les autres gens qui faisaient "la fête" et je me sentais le plus heureux et le plus libre du monde.
3- avec des enfants. Là j'ai retrouvé le côté magique et cette fois c'est moi qui le générais. Très chouette aussi d'autant qu'il n'y a jamais eu de problèmes pour moi pour trouver des cadeaux qui leur fasse plaisir.
4 - il n'y a plus que ma femme et moi à la maison, mes enfants sont loin et célibataires. Noël devient un cauchemar car je n'ai besoin de rien et ne sait pas quoi offrir à ma femme. Elle, elle veut la fête, la famille, le repas traditionnel.
Jusqu'à ma mort je suis condamné et ne retrouverai plus jamais mes Noëls solitaires (numéro 2).
Je suis triste et plein d'anxiété pour aborder Noël qui sera de toutes façons raté car elle sera triste.
Je voudrais ne pas exister dans les moments de Noël.
Ahahaha tient!Rem 82 a écrit :Le point positif c'est que je peux me goinfrer de pères Noël en chocolat !