Manichéenne aurait de quoi flamber avec son flambé
pour le papillon, certaine possibilité pour un Tabac d'Espagne mâle
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tabac_d%27Espagne
notamment les bandes transversales noires
pour l'insectoide "alien" ??
vue l'absence de couleur je supposerai une larve (ou adulte à peine sorti)
et si je devais mettre une pièce (de 1 centime pas plus..) et comme nous en avons vus
je dirai une larve de cicadicées (les cigales) - vue la morphologie générale notamment
après, comment une larve serait arrivée là..
(tombé du bec d'un oiseau ?^?)
mon centime d'euro
(sinon était-ce gros ??)
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Aby a écrit :L'accouplement des libellules me laisse un peu perplexe... il va falloir que j'étudie l'anatomie de ces demoiselles et de ces messieurs pour comprendre comment "ça marche".
Allan a écrit :En général, l'être humain pense "papa dans maman", mais en réalité, il faut se détacher de cette vision anthropocentrée. Il y a je crois chez les libellules de type demoiselle, des mœurs tout aussi sauvage que la pénétration, du genre : "je te saisis le cou avec ma pince pour que je fasse ma petite affaire", mais je ne sais plus bien sans doute que Nouvo va tout nous révéler.
Pour l'anatomie, le mâle sur photo est à gauche
son appareil reproducteur se trouve en haut de l'abdomen
La femelle, à droite, emmène ses pièces génitales à cet endroit.
Ici: plus de détails
http://www.meslibellules.fr/thematique/ ... ction.html
J'utilise, ai utilisé et utiliserai les termes de "coeur d'accouplement" à la place de "coeur copulatoire" qui est et semble être le mot employé. Il s'agira dune licence personnelle
(mais j'en ai tant l'habitude, ici, pour une fois je justifierai
)
Là où l'accouplement m'est apparu "musclé" ou "viril" selon mes mots, c'est que ce Calopteryx mâle y allait un peu fort : il agrippe la femelle au cou (mode classique) et la trainait un peu
aussi, il faut voir que la femelle fait son poids : demande de l'effort pour l'emmener à l'endroit choisit
en version peut-être moins anthropocentrée, il s'avère que c'est le mâle qui gère et dirige : il est devant - a la femelle "tenue"; c'est lui qui trouve (ou a à trouver) l'endroit favorable que les 2 s'adhèrent.
mais la femelle vient "tranquillement" apposer son extrémité.
aussi, ils ne sont pas là pour "s'amuser" - sachant (supposant) que dans ces situations les insectes sont plus vulnérables et plus exposés (déjà ils perdent un peu de vigilance et sont plus stables, moins distraits ; ce pourquoi ils sont plus faciles à photographier quand on en voit ainsi)
L'accouplement fut assez rapide: qq dizaines de secondes
et bien plus long chez les petits agrions (j'ai vu une petite minute)
c'était d'un tout autre ordre pour une photo avec Orthetrum, j'y étais resté (me semble-t-il) plusieurs minutes. ils étaient dans un autre endroit (dans des herbes à l'écart) cela peut jouer aussi, car au niveau de l'eau et de la rivière il y a potentiellement plus de monde (et de risque / dangers aussi)
aussi, sur cette structure particulière d'accouplement, l'on peut parfois s'apercevoir qu'elle est un équilibre des masses
il me restera un autre coeur à montrer (pris ce matin) avec autre espèce
je crois que l'on perçoit bien cet équilibre des masses; et l'équilibre est important quand l'on se situe sur des feuilles, des brindilles en condition parfois venteuse.. pour l'efficacité;
aussi "normal" que tout soit tenu d'un bloc et que la tenue du mâle soit solide et donc "musclé" aussi