Nervosité/déprime estivale.
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Nervosité/déprime estivale.
Bonsoir ,
Est ce que vous avez tendance à être plus nerveux en période estivale que le reste de l'année ?
Moi oui lorsqu'il y a rien qui rend heureux c'est très dur. La période la plus dure est toujours entre Mai et Août avec un pic fin Juin debut Juillet ... et ensuite dans l'autre sens c'est en Décembre/Janvier pendant les fêtes de Noël...
Bon bref vivement la période automnale (Période quinze Août à la Toussaint !) car il fera plus frais et les gens seront rentrés de vacances et donc moins agités !
Et vous ?
Est ce que vous avez tendance à être plus nerveux en période estivale que le reste de l'année ?
Moi oui lorsqu'il y a rien qui rend heureux c'est très dur. La période la plus dure est toujours entre Mai et Août avec un pic fin Juin debut Juillet ... et ensuite dans l'autre sens c'est en Décembre/Janvier pendant les fêtes de Noël...
Bon bref vivement la période automnale (Période quinze Août à la Toussaint !) car il fera plus frais et les gens seront rentrés de vacances et donc moins agités !
Et vous ?
Aspi.
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Alors il y a la nervosité supplémentaire liée à la chaleur, aux nuits chaudes - la récupération est moins bonne. Au fil des ans, mon chez moi s'est un peu amélioré et il y fait un peu moins chaud l'été. Avant c'était un four l'été. J'ai isolé le plafond, un peu ailleurs (pas partout) (encore) - à cela s'ajoutent les moustiques (moins nombreux cette année), au sujet desquels là aussi j'ai fait quelques améliorations (des rideaux moustiquaires). Aussi j'ouvre beaucoup plus (pour courant d'air) ce qui fait que j'ai un peu plus de bruit. Aussi, comme c'est ouvert (je laisse entre autre un passage pour le chien par une porte qui fait courant d'air à laquelle j'ai fait un bricolage moustiquaire : faire en sorte que le chien puisse sortir et les moustiques pas trop rentrer) j'ai eu des souris qui sont rentrées; et elles me font des dégâts et aussi de me stresser. L'année dernière c'étaient des rats (des champs); par ici il y en a pas mal.
Hier, premier jour de rafraichissement avec moins de 30 ° j'ai fait une sieste de 3h (bonne réccup) et là réveillé à 3h par le chien qui demanda de sortir de la chambre. En général c'est si un moustique a tourné. Il a horreur des insectes et les détecte avant moi; du coup ça me réveille et après je ne me rendors pas forcément (en général non).
Là, je ne regrette de m'être acheté un ventilo (mon 2nd) pour le salon.
Aussi, quelqu'un dans un jardin m'a refilé une (un peu vieille) clim mobile; qui dans la série de nuits chaudes a été pas mal : je la fais tourner une bonne demi-heure avant coucher et laisse après la fenetre ouverte (avec moustiquaire) pour la nuit. Et douche froide avant.
Là, il va faire moins chaud, dès ce jour et ça durera un peu.
J'ai lu (ou entendu) que dès 23° la nuit la récupération n'est pas bonne.
Chez moi, dans ces jours et semaine dernière, les soirs étaient autour des 25 - 26° et les matins (le plus bas) 23 - 24°
et le difficile ce n'est pas une fois mais quand c'est une semaine d'affilé sans interruption
(plus travail jardin où parfois j'ai eu chaud aussi, et fait 2 aprem, en général je me les évite l'été et ne fais que des matinées à grosses matinées)
--
Aussi, mais c'était surtout avant quand je regardais plus les gens, étais seul et les regardais.
Etant dans une station balnéaire, allant à la plage ou sortie
dans une station balnéaire on ne rencontre surtout qu'une partie de la population qui part en vacances au bord de la mer; ce n'est pas très représentatif;
ainsi ceux qui partent en vacances sont pour beaucoup des couples, des familles, des gens qui rient, sont là pour la fête.
Avant je crois que ça pouvait me peser un peu (parce que très seul et que les autres étaient entourés),
maintenant je ne les vois plus trop (ne sors presque plus en milieu peuplé), ni-même espère vraiment quelque changement de mon côté
Hier, premier jour de rafraichissement avec moins de 30 ° j'ai fait une sieste de 3h (bonne réccup) et là réveillé à 3h par le chien qui demanda de sortir de la chambre. En général c'est si un moustique a tourné. Il a horreur des insectes et les détecte avant moi; du coup ça me réveille et après je ne me rendors pas forcément (en général non).
Là, je ne regrette de m'être acheté un ventilo (mon 2nd) pour le salon.
Aussi, quelqu'un dans un jardin m'a refilé une (un peu vieille) clim mobile; qui dans la série de nuits chaudes a été pas mal : je la fais tourner une bonne demi-heure avant coucher et laisse après la fenetre ouverte (avec moustiquaire) pour la nuit. Et douche froide avant.
Là, il va faire moins chaud, dès ce jour et ça durera un peu.
J'ai lu (ou entendu) que dès 23° la nuit la récupération n'est pas bonne.
Chez moi, dans ces jours et semaine dernière, les soirs étaient autour des 25 - 26° et les matins (le plus bas) 23 - 24°
et le difficile ce n'est pas une fois mais quand c'est une semaine d'affilé sans interruption
(plus travail jardin où parfois j'ai eu chaud aussi, et fait 2 aprem, en général je me les évite l'été et ne fais que des matinées à grosses matinées)
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Aussi, mais c'était surtout avant quand je regardais plus les gens, étais seul et les regardais.
Etant dans une station balnéaire, allant à la plage ou sortie
dans une station balnéaire on ne rencontre surtout qu'une partie de la population qui part en vacances au bord de la mer; ce n'est pas très représentatif;
ainsi ceux qui partent en vacances sont pour beaucoup des couples, des familles, des gens qui rient, sont là pour la fête.
Avant je crois que ça pouvait me peser un peu (parce que très seul et que les autres étaient entourés),
maintenant je ne les vois plus trop (ne sors presque plus en milieu peuplé), ni-même espère vraiment quelque changement de mon côté
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Ce n'est pas le climat ou la saison qui doit me plomber le moral d'acier.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Ce qui me déprime, c'est que mon entourage voudrait qu'on se réjouisse simplement qu'il fait plus beau
Mais savoir les gens heureux de leuts "grandes vacances" me réjouit plus que le beau temps.
Si on pouvait cesser de me dire ce qu'il faut faire pour être heureux (sortir, voir des gens, partager une activité, etc) , ça me rendrait d'autant plus heureux.
Mais savoir les gens heureux de leuts "grandes vacances" me réjouit plus que le beau temps.
Si on pouvait cesser de me dire ce qu'il faut faire pour être heureux (sortir, voir des gens, partager une activité, etc) , ça me rendrait d'autant plus heureux.
Vieux geek non diagnostiqué
CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Je partage un peu ton ressenti, Dardevil.
Déjà, j'ai horreur de la chaleur.
Sinon, j'ai en effet remarqué que les gens sont/semblent plus heureux en été, et donc sont plus extravertis, parlent davantage, et l'écart avec eux se fait davantage ressentir qu'en hiver, durant lesquels les gens sont plus "renfermés"/rabougris.
C'est également la période des amours, donc les réflexions, interrogations, sont davantage présentes.
Déjà, j'ai horreur de la chaleur.
Sinon, j'ai en effet remarqué que les gens sont/semblent plus heureux en été, et donc sont plus extravertis, parlent davantage, et l'écart avec eux se fait davantage ressentir qu'en hiver, durant lesquels les gens sont plus "renfermés"/rabougris.
C'est également la période des amours, donc les réflexions, interrogations, sont davantage présentes.
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Ca dépend de qui ...evolution650HBn°2 a écrit :Je partage un peu ton ressenti, Dardevil.
Déjà, j'ai horreur de la chaleur.
Sinon, j'ai en effet remarqué que les gens sont/semblent plus heureux en été, et donc sont plus extravertis, parlent davantage, et l'écart avec eux se fait davantage ressentir qu'en hiver, durant lesquels les gens sont plus "renfermés"/rabougris.
C'est également la période des amours, donc les réflexions, interrogations, sont davantage présentes.
Aspi.
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Ah oui ! C'est bien vrai ça.Daredevil a écrit :Si on pouvait cesser de me dire ce qu'il faut faire pour être heureux (sortir, voir des gens, partager une activité, etc) , ça me rendrait d'autant plus heureux.
C'est un peu galère quand on n'est pas satisfait pas les choses doivent nous rendre heureux.
Non diagnostiqué, en attente de premier rendez-vous au CRA
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Re: Nervosité/déprime estivale.
En ce qui me concerne, oui, je suis plus nerveux en période estivale que le reste de l'année, parce que je dors moins...
Diagnostiqué SA (septembre 2016).
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Re: Nervosité/déprime estivale.
De toute façon , l'été est (quasiment) terminé ! Y'a juste qu'il fait toujours une chaleur de dingue ! Et mon logement toujours bien surchauffé (27°C dedans comme en fin Juillet ...)Carapa a écrit :En ce qui me concerne, oui, je suis plus nerveux en période estivale que le reste de l'année, parce que je dors moins...
Vivement que le soleil nous réchauffe plutôt que de nous rôtir ! Et qu'on se sente bien sous notre couette !
Aspi.
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Re: Nervosité/déprime estivale.
J'ai remarqué cela aussi. Dès juin c'est la déprime. Tout le monde se réjouit de l'arrivé de l'été. Moi, pas.
Je perds mes repères, mes habitudes. Tout semble s'éteindre, s'arrêter, au ralenti.
Et puis les jours se raccourcissent aussi.
La chaleur, le climat, je m'en fous un peu.
Et oui il faut se réjouir des mêmes choses que les autres. Dans les médias c'est sans arrêt des reportages sur les vacances, la mer, la foule sur la plage, les glaces ...
Ca me gonfle car je n'ai pas accès à ce bonheur. Pas de la jalousie, mais presque de l'envie d'être comme eux.
Puis septembre, la rentrée. La vie reprend, j'ai enfin des moments pour être seul. Mais parfois trop seul ! surtout cette année.
Vient ensuite Noël, et rebelote : la fête, la joie des autres et je ne comprends pas cette folie mercantile. S'ajoute l'angoisse des cadeaux à faire, à recevoir. Et la déception. Pourtant j'y avais accès petit, à cette joie.
Je perds mes repères, mes habitudes. Tout semble s'éteindre, s'arrêter, au ralenti.
Et puis les jours se raccourcissent aussi.
La chaleur, le climat, je m'en fous un peu.
Et oui il faut se réjouir des mêmes choses que les autres. Dans les médias c'est sans arrêt des reportages sur les vacances, la mer, la foule sur la plage, les glaces ...
Ca me gonfle car je n'ai pas accès à ce bonheur. Pas de la jalousie, mais presque de l'envie d'être comme eux.
Puis septembre, la rentrée. La vie reprend, j'ai enfin des moments pour être seul. Mais parfois trop seul ! surtout cette année.
Vient ensuite Noël, et rebelote : la fête, la joie des autres et je ne comprends pas cette folie mercantile. S'ajoute l'angoisse des cadeaux à faire, à recevoir. Et la déception. Pourtant j'y avais accès petit, à cette joie.
Diagnostiqué asperger avec anxiété sociale marquée par le CRA.
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Non, ils raccourcissent. Après le jour le plus long, ils ne peuvent que diminuer.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Solstice
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dur%C3%A9e_du_jour
https://fr.wikipedia.org/wiki/Solstice
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Diagnostiquée Autiste Asperger et TDA.
Mère de 3 enfants : fils Aîné TDAH et TSA atypique, cadet TSA de type Asperger, benjamin en cours d'évaluation neuropsy.
Mère de 3 enfants : fils Aîné TDAH et TSA atypique, cadet TSA de type Asperger, benjamin en cours d'évaluation neuropsy.
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Ah oui mince j'ai inversé jour le plus long & le plus court.
Enfin il ne fait pas nuit à 17h dès le 22 juin non plus.
Enfin il ne fait pas nuit à 17h dès le 22 juin non plus.
TSA.
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Non, pas nuit tôt mais symboliquement c'est important. Une forme de déclin pour moi. Je préfère toujours les phases d'ascension ! Ainsi j'aime bien le printemps.
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Re: Nervosité/déprime estivale.
Je suis comme toi ... Bienvenue au club ! ^^philigram a écrit :J'ai remarqué cela aussi. Dès juin c'est la déprime. Tout le monde se réjouit de l'arrivé de l'été. Moi, pas.
Je perds mes repères, mes habitudes. Tout semble s'éteindre, s'arrêter, au ralenti.
Et puis les jours se raccourcissent aussi.
La chaleur, le climat, je m'en fous un peu.
Et oui il faut se réjouir des mêmes choses que les autres. Dans les médias c'est sans arrêt des reportages sur les vacances, la mer, la foule sur la plage, les glaces ...
Ca me gonfle car je n'ai pas accès à ce bonheur. Pas de la jalousie, mais presque de l'envie d'être comme eux.
Puis septembre, la rentrée. La vie reprend, j'ai enfin des moments pour être seul. Mais parfois trop seul ! surtout cette année.
Vient ensuite Noël, et rebelote : la fête, la joie des autres et je ne comprends pas cette folie mercantile. S'ajoute l'angoisse des cadeaux à faire, à recevoir. Et la déception. Pourtant j'y avais accès petit, à cette joie.
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