
Le pardon
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Re: Le pardon
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Le pardon
C'est soit je continue à chercher les preuves et je n'oublie pas, soit j'arrête. Mais les preuves existent, elles sont cachées dans l'ordinateur de celui qui a tout déclenché, ainsi que les photos prises au téléobjectif et par web cam, mais quand toute sa famille le prend pour un saint ainsi que ses collègues personne ne va aller fouiner là où il faudrait.freeshost a écrit :Si la rancune se mue en vengeance, la violence se propage. Voulons-nous contribuer à cette maladie socialement transmissible ?
Si la vengeance emplit ton esprit, comment réfléchir rationnellement ?
Non ,je ne veux pas me venger, je veux les rayer de mon existence psychique et arriver à les voir devant l'école comme des voisins lambdas tout en ayant à l'esprit qu'ils sont malsains et dangereux. Aujourd'hui la colère fait que je les vois comme l'équivalent de petits pois que j'écrase avec ma fourchette, et surtout j'aimerais arrêter de rêver à eux ( je commence à donner raison à Freud sur sa théorie du rêve)
Pardonner (à soi comme à autrui) n'est pas synonyme d'accepter ce qui s'est passé comme si de rien n'était. C'est une étape (pas la première ni la dernière) importante du processus de résilience. Pardonner n'est pas synonyme de se laisser faire.
Voilà mon souci, comment ne pas accepter ce qui s'est passé et continuer ma vie sans eux. En sachant qu'ils se gargarisent de leur bêtise en se faisant passer pour des parents modèles et des gens biens... et que mes jeunes voisins parents de deux charmants petits bambins continuent de me calomnier et autres idioties dans le genre.
Pardonner n'est pas abandonner le combat, par exemple face à des personnes qui te harcèlent. N'hésite pas à t'armer : d'arts martiaux, de personnes à tes côtés, d'outils juridiques (collecteurs de preuves, avocats, etc.). Il est vrai que, si le harcèlement n'est pas encore terminé, ce n'est pas encore le moment de penser au pardon.
Il vaut mieux que je passe pour une mythomane, érotomane et j'en passe c'est mieux. C'est là tout l'art du narcissique.
Quand je vois que je suis allée il y a trois ans chez son collègue pour avoir un moyen de contraception et qu'il avait limite peur de moi... J'ai vite compris d'où venait le problème sachant que j'avais eu droit à la question vous êtes la patiente du docteur bip ?
Sa perversion, je lui laisse, je veux juste revivre normalement sous oublier le mal, mais je tourne en rond surtout quand j'ai sa famille qui vit à côté de moi et qui me rappelle quotidiennement le harcèlement.
Alors pourquoi pardonner ?
pas lui pardonner , me pardonner d'avoir été sur ce forum, d'avoir été naive, de lui avoir fait part de mes soupcons quand j'ai percu la manipulation, aujourd'hui je me dis que si j'avais rien dit je n'en serai pas là. Me pardonner d'avoir voulu être honnête avec quelqu'un qui ne l 'était pas. Et surtout la question du pardon car une collègue m'a dit que pour elle, pardonner l'avait aidé à aller mieux. Et comme je cherche à clore cette question et retrouver ma sérénité, je me disais que peut être le pardon m'aiderait moi aussi, mais seulement pour moi pas pour eux. J'assume mon égocentrisme, pour eux, si par miracle j'avais des preuves j'irais au tribunal et même si pour cela je devais prendre dans mes économies et accepter que des photos volées intimes soient dévoilées. voilà.
edit : correction orthographique
Pas de Tsa
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Re: Le pardon
Vos réflexions m'ont fait prendre conscience que pour pouvoir tourner la page je devais agir.
Porter plainte n'est pas suffisant. Tant pis.
Je vais agir, même face à un pervers narcissique je vais peut être me planter mais tant pis.
Je n'accepte pas ce qui m'a été fait. Et si ma sérénité doit passer par l'acceptation de ce qui m'a été fait alors ils doivent eux aussi être reconnus pour ce qu'ils sont. La balance doit être équilibrée.
Les violences doivent être révélées
Je ne sais pas encore ce que je vais faire mais ce sera légal.
Je vais prendre le temps, non pas de me venger mais de faire valoir mon droit au respect qu'ils ont tous bafoué.
Après je pourrai tirer un trait avant ce n'est pas possible.
Il restent dans le flou je vais les débusquer, ignorer le mal qu'il m'ont fait c'est leur reconnaître leur droit de recommencer et cela c'est non.
Pour le moment j'ignore comment, mais je fais confiance à la vie, je trouverai.
Merci c'est en relisant le message de Budakesi sur l'acceptation que j'ai compris que je ne pourrais pas oublier tant qu'ils ne seront pas reconnus pour ce qu'ils sont.
bonne journée
Porter plainte n'est pas suffisant. Tant pis.
Je vais agir, même face à un pervers narcissique je vais peut être me planter mais tant pis.
Je n'accepte pas ce qui m'a été fait. Et si ma sérénité doit passer par l'acceptation de ce qui m'a été fait alors ils doivent eux aussi être reconnus pour ce qu'ils sont. La balance doit être équilibrée.
Les violences doivent être révélées
Je ne sais pas encore ce que je vais faire mais ce sera légal.
Je vais prendre le temps, non pas de me venger mais de faire valoir mon droit au respect qu'ils ont tous bafoué.
Après je pourrai tirer un trait avant ce n'est pas possible.
Il restent dans le flou je vais les débusquer, ignorer le mal qu'il m'ont fait c'est leur reconnaître leur droit de recommencer et cela c'est non.
Pour le moment j'ignore comment, mais je fais confiance à la vie, je trouverai.
Merci c'est en relisant le message de Budakesi sur l'acceptation que j'ai compris que je ne pourrais pas oublier tant qu'ils ne seront pas reconnus pour ce qu'ils sont.
bonne journée
Pas de Tsa
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Re: Le pardon
@Enora
Effectivement, demander réparation (droit) peut faciliter le pardon et la paix qu''elle engendre. C'est parfois même une étape nécessaire. Porter plainte c'est déjà révélé ?
Se porter partie civile en justice avec une publicité du jugement ?
Attention aux révélations même justifiées par des éléments de preuves ça peut se retourner contre soi même quand on est de bonne foi
(retoquer en diffamation)
Effectivement, demander réparation (droit) peut faciliter le pardon et la paix qu''elle engendre. C'est parfois même une étape nécessaire. Porter plainte c'est déjà révélé ?
Se porter partie civile en justice avec une publicité du jugement ?

Attention aux révélations même justifiées par des éléments de preuves ça peut se retourner contre soi même quand on est de bonne foi

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CIM10 F84
Insight Aspie (?) +Aphantasie, prosopagnosie, écholalie, mutisme électif....
Fan de super héros, Daredevil le pygmalion de mon fonctionnement social
Mes doigts sur un clavier communiquent plus de mots que ma bouche...
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Re: Le pardon
Commentça se fait que des gens sont porté à détruire les autres justes pour le plaisir. Encore pour l'argne voilà( même si c'est ridicule et ignoble) mais détruire la vie de qqun pour la détruire je suis sans mot.
Tu dois avoir affaire à un pervers narcissique. Des gens intrusifs qui vont chercher à te manipuler, à connaître tes failles et à te détruire.
Tu devrait porter plainte si tu l'a pas fait. Seul risque, c'est les représailles. Possibilité d'une garde? Ou d'enfermer le ou les criminelles dans une cellule?
Tu dois avoir affaire à un pervers narcissique. Des gens intrusifs qui vont chercher à te manipuler, à connaître tes failles et à te détruire.
Tu devrait porter plainte si tu l'a pas fait. Seul risque, c'est les représailles. Possibilité d'une garde? Ou d'enfermer le ou les criminelles dans une cellule?
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Re: Le pardon
J'ai fait une demande de renseignement judiciaire, directement chez le procureur de la République.Daredevil a écrit :@Enora
Effectivement, demander réparation (droit) peut faciliter le pardon et la paix qu''elle engendre. C'est parfois même une étape nécessaire. Porter plainte c'est déjà révélé ?
Se porter partie civile en justice avec une publicité du jugement ?
Attention aux révélations même justifiées par des éléments de preuves ça peut se retourner contre soi même quand on est de bonne foi(retoquer en diffamation)
La demande ne nommait que les faits pas de nom même si oralement j'ai cité des noms très précis aux enquêteurs.
Je pense qu'elle n'a pas abouti, cependant comme tu le soulignes on peut me rétorquer de la diffamation ,c'est pour cela que je prendrai le temps nécessaire, quand tout sera verrouillé et sans faille ou le moins possible, le missile sera envoyé. Ils ont joué, ils jouent encore, j'attends, comme dit le proverbe patience et longueur de temps font plus que force ni que rage (merci Astérix).
Je m'arrêterai ici car leur associés malfaisants sont malheureusement nombreux pas une foule non plus, mais une famille nombreuse et ses amis comptent plusieurs membres. Ils en ont lu assez je pense, le reste leur sera signifié en temps réel et surtout au moment opportun, pour le moment je les laisse se gargariser.
Pas de vengeance, juste du respect. Ils ne connaissent pas la valeur de ce mot. Certains auraient bien besoin de travailler comme nous l'a demandé l'Education Nationale les valeurs de la République.
Enfin, la vie me protège je pense vu ce que j'ai appris hier mais chut.

Pas de Tsa
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Re: Le pardon
pour moi, le pardon , c'est facile à prescrire mais les conseilleurs de pardon ne donnent habituellement pas la recette pour en arriver à pardonner! en gros , ils disent"pardonne, et tu te sentiras mieux...", mais quand j'essayais, ....rien ne se passait: même si je me répétais "je te pardonne le mal que tu m'as fait", ....ca n'allait pas plus loin.et je continuais de souffrir du souvenir.même si je n'avais plus peur que les faits blessants recommencent.
cette souffrance de se souvenir d'avoir été blessée, était au départ constituée surtout de culpabilité (et si j'avais pas fait ceci, ou ca, ...j'y aurais échappé, mais j'y suis allée, donc c'est ma faute si j'ai mal maintenant), puis de colère contre moi (j'aurais voulu avoir été autrement: plus futée, plus attentive à me barrer avant que ca dégénère..), et la colère légitime que je ressentais contre l'agresseur a grandi.(tu m'as fait mal et tu n'as rien fait pour réparer les conséquences de tes actes).
j'ai d'abord dû me pardonner à moi-même avant que le pardon à l'agresseur m'arrive comme un cadeau.
me pardonner à moi-même: me prendre mentalement dans les bras, et m'aimer, me rassurer que j'avais fait du mieux que j'étais capable à ce moment-là, et que mektoub, mais une tuile m'est tombée dessus qui m'a fait mal, mais que c'est fini maintenant, que si je continue d'attendre de l'agresseur une réparation alors que je sais qu'elle ne viendra pas, c'est moi-même que je pollue par cette attente, en restant liée à un souvenir douloureux.est-ce que je peux classer cette histoire, et cesser d'attendre la réparation?
ou bien est ce que je continue d'entretenir la violence("maladie socialement transmissible", j'ai adoré l'expression), et si oui, à quel prix pour moi?
c'est le jour où j'ai senti que je ne voulais plus continuer à remuer la m..., que je voulais passer à la suite de ma vie (aujourd'hui est le premier jour du reste de mon existence), que j'ai retrouvé la paix. et que, beaucoup plus tard, je suis allée voir l'agresseur sur son lit de mort, juste pour énoncer: je viens faire la paix avant que tu partes. Je ne sais pas si ca s'appelle pardonner, mais ca m'a libérée du poids de ce passé douloureux.
cette souffrance de se souvenir d'avoir été blessée, était au départ constituée surtout de culpabilité (et si j'avais pas fait ceci, ou ca, ...j'y aurais échappé, mais j'y suis allée, donc c'est ma faute si j'ai mal maintenant), puis de colère contre moi (j'aurais voulu avoir été autrement: plus futée, plus attentive à me barrer avant que ca dégénère..), et la colère légitime que je ressentais contre l'agresseur a grandi.(tu m'as fait mal et tu n'as rien fait pour réparer les conséquences de tes actes).
j'ai d'abord dû me pardonner à moi-même avant que le pardon à l'agresseur m'arrive comme un cadeau.
me pardonner à moi-même: me prendre mentalement dans les bras, et m'aimer, me rassurer que j'avais fait du mieux que j'étais capable à ce moment-là, et que mektoub, mais une tuile m'est tombée dessus qui m'a fait mal, mais que c'est fini maintenant, que si je continue d'attendre de l'agresseur une réparation alors que je sais qu'elle ne viendra pas, c'est moi-même que je pollue par cette attente, en restant liée à un souvenir douloureux.est-ce que je peux classer cette histoire, et cesser d'attendre la réparation?
ou bien est ce que je continue d'entretenir la violence("maladie socialement transmissible", j'ai adoré l'expression), et si oui, à quel prix pour moi?
c'est le jour où j'ai senti que je ne voulais plus continuer à remuer la m..., que je voulais passer à la suite de ma vie (aujourd'hui est le premier jour du reste de mon existence), que j'ai retrouvé la paix. et que, beaucoup plus tard, je suis allée voir l'agresseur sur son lit de mort, juste pour énoncer: je viens faire la paix avant que tu partes. Je ne sais pas si ca s'appelle pardonner, mais ca m'a libérée du poids de ce passé douloureux.
peut-être Aspie, en attente d'un premier rdv demandé au CRA.
premier rdv le 04/07, demande de bilans ergo/neuro en cours
Premier diag Asperger posé par un neurologue expert juillet 2016, communiqué en décembre
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Re: Le pardon
Bonjour,
ton texte me parle, mais pourquoi ne pas avoir porté plainte ?
Moi le dépôt de plainte m'a fait beaucoup de bien, ne serait ce que nommer toutes les injustices et les noms des voisins notamment et du médecin m'ont fait du bien, même si pas inscrit dans la plainte. Le fait d'avoir été entendu fait qu'aujourd'hui je ne souhaite pas de vengeance mais un droit à l'oubli qui passera peut être avec le temps par une action en justice. Ta phrase le premier jour du reste de ma vie, je n'arrive pas encore à l'entendre aujourd'hui preuve que tout n'est pas soldé pour moi, par contre je n'ai pas de haine juste, une envie d'égalité de traitement entre tous les protagonistes et un droit au respect.
Edit : " la différence de taille" entre nos histoires c'est la réalité, moi mon histoire commence dans le virtuel sans Véritables certitudes mais se termine malheureusement dans la réalité.
Tu savais donc qui aller trouver, moi le mien d'agresseur porte un masque virtuel, et fait agir son réseau dans la vraie vie et aussi sur internet et de plus socialement d'un niveau élevé. Ce qui crée de grosses difficultés car sa devanture professionnelle est rutilante et moi pauvre fille lambda, ma parole a autant de crédit que celle d'un Sdf.
Je ne peux pas aller le trouver même pour lui dire ses 4 vérités ce qui me libérerait car il réfuterait en bloc. Il suffit de voir comment réagissent ses chiens de garde ( femme de la piscine, hypocrite à souhait, sourire, l'apanage des grands de ce monde.)
ton texte me parle, mais pourquoi ne pas avoir porté plainte ?
Moi le dépôt de plainte m'a fait beaucoup de bien, ne serait ce que nommer toutes les injustices et les noms des voisins notamment et du médecin m'ont fait du bien, même si pas inscrit dans la plainte. Le fait d'avoir été entendu fait qu'aujourd'hui je ne souhaite pas de vengeance mais un droit à l'oubli qui passera peut être avec le temps par une action en justice. Ta phrase le premier jour du reste de ma vie, je n'arrive pas encore à l'entendre aujourd'hui preuve que tout n'est pas soldé pour moi, par contre je n'ai pas de haine juste, une envie d'égalité de traitement entre tous les protagonistes et un droit au respect.
Edit : " la différence de taille" entre nos histoires c'est la réalité, moi mon histoire commence dans le virtuel sans Véritables certitudes mais se termine malheureusement dans la réalité.
Tu savais donc qui aller trouver, moi le mien d'agresseur porte un masque virtuel, et fait agir son réseau dans la vraie vie et aussi sur internet et de plus socialement d'un niveau élevé. Ce qui crée de grosses difficultés car sa devanture professionnelle est rutilante et moi pauvre fille lambda, ma parole a autant de crédit que celle d'un Sdf.
Je ne peux pas aller le trouver même pour lui dire ses 4 vérités ce qui me libérerait car il réfuterait en bloc. Il suffit de voir comment réagissent ses chiens de garde ( femme de la piscine, hypocrite à souhait, sourire, l'apanage des grands de ce monde.)
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Re: Le pardon
j'ai relu une deuxième fois ce fil, (ainsi qu'un autre, où tu parlais de mammographie), et je me demandais si ce ne serait pas utile pour toi, de faire le tri entre:
-des actes qui sont reconnus par la justice comme des délits (diffuser l'image de qqun sans son consentement, crever les pneus..)
-des actes qui , sans être des délits, te stressent et t'inquiètent parce que tu n'est pas sûre de l'interprétation à leur donner: neutre? indice d'un possible problème futur?indice d'une envie de te nuire?, et que tu ressens alors comme menaçants ou inquiétants des actes que tout un chacun a le droit et la liberté de commettre.
-et enfin les soupçons que tu peux avoir que ce quelqu'un aurait commis un délit (photos volées), et il te faut alors d'abord interroger ton soupçon: différencier ce que tu as perçu (une femme me suit pendant mon jogging) de l'interprétation que tu choisis de leur donner( je me demande si elle a un lien avec X, si elle est là pour me surveiller?), et ensuite questionner cette interprétation: quelle est l'intention que je prête à l'auteur? y en a-t-il d'autres possibles?(la nana voulait juste faire son jogging, et c'est par hasard qu'elle est sortie en même temps que moi)
je crois que la Justice et le Droit existent pour dire clairement qu'est ce qui est un délit, et qu'est ce qui ne l'est pas ( comme sourire, stationner devant l'école...); et, si tu es en droit de demander réparation pour un délit qui t'a occasionné un préjudice, tu n'as pas le pouvoir de limiter la liberté des autres...mais tu as tout pouvoir sur toi-même! pour, éventuellement, réorienter ton interprétation de l'intention d'autres personnes qui t'inquiètent.
il y a aussi plein d'actes sociaux qui, sans être des délits, peuvent me faire mal (une critique justifiée ou injustifiée, un reproche, une demande refusée, une drague importune ..)... là, moi, je trie : est-ce que la relation avec cette personne est importante pour moi: si oui, je cherche à m'expliquer avec la personne pour résoudre le conflit, si non, je baste, et je m'éloigne...
-des actes qui sont reconnus par la justice comme des délits (diffuser l'image de qqun sans son consentement, crever les pneus..)
-des actes qui , sans être des délits, te stressent et t'inquiètent parce que tu n'est pas sûre de l'interprétation à leur donner: neutre? indice d'un possible problème futur?indice d'une envie de te nuire?, et que tu ressens alors comme menaçants ou inquiétants des actes que tout un chacun a le droit et la liberté de commettre.
-et enfin les soupçons que tu peux avoir que ce quelqu'un aurait commis un délit (photos volées), et il te faut alors d'abord interroger ton soupçon: différencier ce que tu as perçu (une femme me suit pendant mon jogging) de l'interprétation que tu choisis de leur donner( je me demande si elle a un lien avec X, si elle est là pour me surveiller?), et ensuite questionner cette interprétation: quelle est l'intention que je prête à l'auteur? y en a-t-il d'autres possibles?(la nana voulait juste faire son jogging, et c'est par hasard qu'elle est sortie en même temps que moi)
je crois que la Justice et le Droit existent pour dire clairement qu'est ce qui est un délit, et qu'est ce qui ne l'est pas ( comme sourire, stationner devant l'école...); et, si tu es en droit de demander réparation pour un délit qui t'a occasionné un préjudice, tu n'as pas le pouvoir de limiter la liberté des autres...mais tu as tout pouvoir sur toi-même! pour, éventuellement, réorienter ton interprétation de l'intention d'autres personnes qui t'inquiètent.
il y a aussi plein d'actes sociaux qui, sans être des délits, peuvent me faire mal (une critique justifiée ou injustifiée, un reproche, une demande refusée, une drague importune ..)... là, moi, je trie : est-ce que la relation avec cette personne est importante pour moi: si oui, je cherche à m'expliquer avec la personne pour résoudre le conflit, si non, je baste, et je m'éloigne...
peut-être Aspie, en attente d'un premier rdv demandé au CRA.
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Re: Le pardon
.........................
Modifié en dernier par Enora12 le lundi 20 mai 2019 à 15:13, modifié 1 fois.
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Re: Le pardon
Et, pour répondre à ta question"pourquoi n'as-tu pas déposé plainte?", ma réponse est; " pour plein de raisons valables à mes yeux, que je souhaite garder dans mon domaine privé-intime-secret.
peut-être Aspie, en attente d'un premier rdv demandé au CRA.
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