Ici, on parle de social !

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Deux heures à boire des bières ?

Prends ta Rubik's collection.

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L'Europe compte plus de onze millions de logements vides.

L'argent et la gentrification...

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Faut-il réduire les sciences humaines en Suisse ? Deux spécialistes croisent le fer.

À mon avis, on n'insiste pas assez sur les sciences humaines : psychologie (sociale, cognitive, etc.), sociologie, psychiatrie, neurosciences, sciences du langage, sciences de l'information.

Les formations universitaires me semblent, astheure, pas assez diversifiées.

Mais bon, c'est surtout en fin d'école obligatoire que je pense qu'il faudrait insérer de la psychologie et de l'informatique, qui occupe une place de plus en plus grande dans beaucoup d'activités (lucratives comme non lucratives). La psychologie, quant à elle, permet de prendre du recul face aux préjugés et aux stéréotypes, donne des outils pour observer les biais cognitifs, les sophismes, la rhétorique verbale comme non verbale. Elle permet également de comprendre l'influence sociale, la manipulation, les techniques de vente, de mercatique, de publicité, la soumission à l'autorité, etc.

Comme les outils informatiques (TIC) occupent une plus grande place dans l'école, les processus didactiques, les enseignants de tous niveaux devraient encourager l'usage de fichiers dans le public et/ou sous une licence libératrice (et non sous une licence privatrice), et mettre ces fichiers en libre accès, que les écoliers et les étudiants pourraient télécharger et lire comme bon leur semble.

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Faire son coming-out est un long parcours très stressant.

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Thabo Sefolosha, le basketteur de NBA qui a refusé le racisme institutionnel aux Etats-Unis

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Entre pression budgétaire et protection de l’enfance : la vie quotidienne des assistantes sociales

Ça dirige le Québec comme une PME.

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"Morts pour l'exemple."

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Le nouvel élitisme des réseaux sociaux.

[Thierry Léo]

Ah ! n'y a-t-il pas le vivre ensemble à l'école en France (comme en Suisse) ?

Je viens de trouver ce pdf avec diverses réflexions.

Une liste de quelques livres pour enfants. (Sinon, il y a aussi la collection Max et Lili.)

Le vivre n'englobe pas seulement la vie avec les personnes immigrantes (et même là, faut différencier "réfugiés politiques", réfugiés climatiques, réfugiés économiques, etc.), mais aussi :

- la vie entre personnes autistes et personnes non autistes, la vie entre personnes autistes, la vie entre personnes non autistes,
- la vie entre hommes et femmes,
- la vie avec les enfants,
- la vie avec les personnes âgées,
- la vie avec les personnes malades, avec leurs maladies diverses (maladies dégénératives, symptômes mnésiques, maladies sexuellement transmissibles, maladies contagieuses, etc.),
- la colocation (entre étudiants, entre étudiants et travailleurs, etc.),
- la vie en commune (trier les déchets, payer ses factures, annoncer ses changements de données, secourir une personne en danger, le bénévolat, la politique, etc.),
- la gestion des conflits inter-familiaux, intra-familiaux,
- la gestion de la violence (à l'école, au travail, dans la rue ; sous ses différentes formes),
- etc.

Le vivre ensemble, c'est aussi :

- créer des jeux coopératifs, pas des jeux compétitifs,
- s'interroger sur l'épuisement des ressources naturelles (le pétrole, les gaz de schistes, les arbres, etc.) par les grandes entreprises (notamment multinationales) et par notre consommation,
- ...

Et il me semble que le vivre ensemble est rendu possible avec l'apprentissage des habiletés sociales (tant chez les personnes autistes que chez les personnes non autistes).

Bonjour chez vous freeshost,

il m'a fallu chercher un peu pour retrouver le fil parmi tous les fils que tu avais tissé.
Et puis j'ai trouvé le fil que je cherchais, et notamment cette déclaration du vivre ensemble.

Je viendrais ajouter mon petit grain de sucre avec plaisir ET colère sur cette Cyber Agora des idées
où l'on parle social.
Et si l'on parle de social, on va pouvoir y parler un peu de la lutte sociale, car la situation en France et dans le monde peut être qualifiée de pré-insurrectionnelle (ou pas, c'est selon)
L'émail verni de la République s'effrite et se craquèle par pans entiers.
Et le Peuple continue de s'étouffer, par pans entiers des humains s'effondrent de par le monde.
Et puis d'autres se relèvent et aident ceux qui viennent de tomber à se relever, pendant qu'il en est encore temps.
Notre seul pays c'est la terre, nous devons en prendre le plus grand soin, tout comme nous devons prendre le plus grand soins les un-e-s les autres.

Vivre ensemble est le plus beau cadeau que la vie nous ait donné, c'est un sacré cadeau dont il nous faut prendre le plus grand soin.

[freeshost]

Oui, mais vivre ensemble est rendu plus difficile si nous entretenons un système qui encourage les relations de compétition / concurrence entre nous.

Oui, il n'est pas facile de trouver un sujet précis parmi les nombreux auxquels j'ai participé.

[freeshost]

Accepter le "continuum sexuel" plutôt que s'attacher à un bipartisme des genres.

[freeshost]

ChronoDrive et cie stressent leurs employés.

[misty]

L'homme avait entendu plein de trucs là dessus, donc même si les courses c'est un peu le supplice pour moi, je préfère encore y aller que d'encourager des trucs pareils. On n'a jamais fait de "drive" et c'est pas prêt d'arriver...

Et puis cette course au "1er magasin de la chaîne"... J'ai connu ça dans le commerce, c'est pareil partout, et je ne comprends pas tellement c'est absurde: t'as 95 magasins ils peuvent pas tous être premiers!

[Lilette]

Ça ne m'étonne même pas.
J'ai eu fait de la mise en rayons en supermarché "classique" et quand je vois à quel poing c'était stressant par moment, je dois dire que je ne suis pas étonnée que ce soit encore pire dans ces trucs-là, voire ça confirme ce que je pensais en fait ...