Il faudrait mettre en avant ce type d'expérience dans les descriptifs, là ce n'est pas flagrant (et personnellement ça ne me donne pas envie).
Si l'on attend que la société soit prête à intégrer des personnes autistes dans les équipes de travail, rien ne se fera avant perpète.
Il y a déjà des autistes qui font un truc révolutionnaire aussi, travailler dans des conditions insupportables parce qu'ils savent quelle est l'alternative, mais attendent tout de même d'être (mieux) pris en charge. (Ou pris en charge tout court).
(Et quand j'écris attendent, ce n'est pas une attente passive).
Du coup, pour eux le financement peut être trouvé par exemple chez leur employeur (à partir du moment où leur productivité est averée), ou différents organismes financeurs susceptibles de débloquer des moyens (organismes publics du handicap, mutuelles privées par des actions de type mécénat, etc...). Par la suite ces mêmes employeurs peuvent être ensuite sensibilisés à aller chercher d'autres autistes, toujours avec des moyens, si ça se passe bien.
Je n'ai pas l'impression que ce soit forcément les moyens qui pêchent dans toutes les situations. Parfois,
il y a des moyens mais pas d'offre de service.