c'est mieuxBenoit a écrit : Ma question (mon point de vue) c'est que ces troubles et altérations peuvent constituer un obstacle à la communication avec les autres, et par conséquence logique impliquer une attitude de repli.
Mais dans ce cas, le repli est une conséquence et non une cause, et il peut y avoir des personnes qui ont envie de communication mais vivent très mal ces obstacles.
Clair / Pas clair ?
peut etre, il faut voir autrement : le trouble et les altérations constituent le repli, on peut imaginer que l'autiste est dans le repli "neurologiquement de naissance" ^^ et que tout le travail éducatif est de donner les outils pour communiquer, et essayer d'entrer en relation.
sachant que -sauf cas exceptionnels- les troubles et les altérations ne permettront jms à l'individu d'être social aussi bien que les gens normaux (sinon quoi ce n'est pas un handicap ?)
Si le repli était une conséquence, les psykk auraient raison : le repli autistique serait alors un choix du 'sujet', ou qqchose d'imposer par son environnement (mère frigo, camp de concentration ...). Or ce n'est pas un choix, on est né comme ça ; et on fait des efforts pour communiquer (que ce soit pour acheter du pain ou pour discuter ici).
l'exclusion vient que l'on ne maitrise pas instinctivement ces outils de communications (qui ne sont pas des outils, justement, pour les NT. c'est carrement cablé dans leurs cerveaux. nous on doit apprendre), et que notre communication est souvent pathétique (sens préjoratif) du coup.
alors, oui, on veux rentrer en contact, souvent pcq on y a un intérêt (alimenter l’intérêt restreint, se faire plaisir, ...) et on est pas tres bons dans ce domaine, pcq on arrive d'une autre planète, où la communication et être social ne sont pas important.
?
Spoiler : :