Pareil aux 2 (au moins) messages ci-dessus : on ne te reproche pas ta démarche ... de toute façon tu es aspie aussi si je ne me trompe, donc aucun lien avec les psycaca !

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Spoiler : Chippendale :
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remplacer par ?Benoit a écrit :Vu sa "balise psy", quand il écrit "par définition", je pense que had fait plutôt référence à l'étymologie du mot.
J'ai toujours cru que cette "définition" avait été abandonnée parce qu'on avait compris qu'il s'agit d'un point de vue erroné issu d'une caste de personnes tout aussi auto-centrées.
troubles de la communication ou altération des interactions sociales, ça reste une façon de dire que les gens autistes sont pas dans la relation avec l'autre, sont pas dans l'empathie, le partage émotionnel etc.Troubles qualitatifs de la communication verbale et non verbale,
Altérations qualitatives des interactions sociales,
Comportements présentant des activités et des centres d'intérêt restreints, stéréotypés et répétitifs.
Ces anomalies qualitatives constituent une caractéristique envahissante du fonctionnement du sujet, en toutes situations
je ne crois pas AMHA que l'éthymologie ai été abandonnée. ce qui a été abandonné c'est la théorie sur les causes de l'autisme : on est passé de psychogène à génétique et environnemental."Emprunté à l’allemand Autismus, mot forgé par le psychiatre suisse Eugen Bleuler, à partir du terme grec « αὐτος » : « soi-même » et du suffixe -ismus."
Justement, ces deux phrases me semblent un sous-entendu fréquent, qu'on pourrait formuler comme "les psys racontent des conneries, mais pour les autistes ils ont raison, ce sont de gros égo(t)istes".had a écrit : troubles de la communication ou altération des interactions sociales, ça reste une façon de dire que les gens autistes sont pas dans la relation avec l'autre, sont pas dans l'empathie, le partage émotionnel etc.
Si ils sont pas tourné vers l'autre (le cas des êtres humains, en général), c'est qu'ils sont tourné vers l'intérieur (c'est mal dit, mais c'est l'idée)