[Index] Articles divers à partager sur autre chose que l'autisme !

[Cathy]

Je ne retrouve pas le topic des livres qui traitent de l'autisme, avez vous lu ou entendu parler de celui là ?

Livre de Laurence Rigault : Autismes, Synchronisation Interaction Réciprocité - Une pédagogie pragmatique pour tous.

Je ne trouve pas de lien direct sur ce livre , juste le site : http://www.action-autismes.com/fr/21-acheter

[-Nora-]

La théorie des cuillères

Une théorie tout à fait applicable au SA

[G.O.B.]

Pour info, on en parle ici

[-Nora-]

Ah, me semblait bien l'avoir déjà vu quelque part, merci ^^

[Tugdual]

Sur Rue89 :
-> Dans la tête de Martin Winckler : Perec, des femmes, Sherlock Holmes ...

Médecin préoccupé d’éthique, soucieux
de redonner du pouvoir aux patients, très actif
sur Internet, Martin Winckler est aussi un écrivain
épris de liberté et fasciné par l’Amérique.

Sur son compte Twitter, Martin Winckler se présente comme
un « soignant patient ». Il est surtout une référence pour toute
une génération de jeunes médecins, de jeunes gynécologues, de féministes.

Qu’a-t-il fait pour cela ? Un site d’abord qui existe depuis plus de 10 ans :
Winckler’s Webzine. Cette mine d’informations sur la contraception et
la gynécologie est visitée par plus de 100 000 personnes par mois
(c’est énorme pour un site qui ne tient que sur une personne).

Là, Martin Winckler discute des vérités médicales autoritaires :

• oui, on peut se faire poser un stérilet quand on est nullipare ;
• oui, on peut prendre la pilule en continu pour ne plus avoir ses règles
  et non, ça n’est pas néfaste ;
• non, il n’est pas normal de pratiquer systématiquement des épisiotomies
  pendant les accouchements ;
• non, il n’est pas normal de retirer si souvent l’utérus des femmes
  présentant des fibromes ...

Cela ne lui vaut pas que des amis.

« Quand je parle d’éthique en ligne, il y a des confrères qui disent
“ oh il est encore en train de faire la morale ”, alors que non, l’éthique
ce n’est pas moi qui l’invente, c’est un consensus. »

Au-delà de faits médicaux, c’est toute la relation patient-médecin que
Martin Winckler ne cesse de questionner. Il déplore globalement qu’en
France, le confort du médecin prime souvent sur le bien-être du patient.

Ce qui explique, par exemple, qu’on ne propose que rarement aux femmes
d’examen gynécologique à l’anglaise (sur le côté) ou qu’on leur demande
parfois de se mettre entièrement nue dans un cabinet (parce que
« ça va plus vite »). Alors que je l’interviewais un jour pour un autre
article, il avait résumé ainsi son point de vue :

« Le médecin français se voit comme le médecin du roi. Si vous n’êtes
pas le roi, il vous fait une faveur en vous soignant. Un chirurgien hospitalier
veut faire des opérations exceptionnelles sur des personnes
exceptionnelles. »

Comme d’autres praticiens, Martin Winckler veut donc redonner du pouvoir
au patient. Un combat pas anecdotique mais politique. En cohérence
avec ses idées et ses valeurs de gauche. Il fait partie de ceux qui ont refusé
de voter Chirac en 2002 et raconte :

« J’étais militant de gauche dans les années 70 en fac de médecine,
je participais à une revue underground dans laquelle on contestait
le pouvoir médical, on était pro-avortement, pro-euthanasie, pro-cannabis,
ça passait inaperçu parce qu’en tant qu’étudiants, on n’avait pas beaucoup
la parole à cette époque. »

Martin Winckler n’est pas que médecin. Il est aussi écrivain. Son nom
est d’ailleurs un pseudonyme d’écriture comme il le dit sur son site.

« Mon nom est Marc Zaffran, je suis médecin généraliste (sous mon nom)
et écrivain (sous le pseudonyme de Martin Winckler). Je suis né en 1955
à Alger. »

Dans ses romans, comme « La Maladie de Sachs » ou « Le Chœur
des femmes », il parle aussi souvent de la relation patient-médecin
mais pas que. Dans son œuvre, il est aussi beaucoup question de
sa famille et de son père, Georges Zaffran, qui était aussi médecin.

Pour toutes ces raisons, nous nous sommes demandé ce qu’il y avait
dans la tête de Martin Winckler. On y a découvert un univers riche
et éclectique où se conjuguent :

• L’Amérique ;
• Les femmes ;
• Georges Perec ;
• Internet ;
• les comédies musicales ;
• Sherlock Holmes ;
• l’amour de la liberté.

Note personnelle, sous forme de rappel :

Le site de Martin Winckler respecte les principes de la charte HONcode,
et est certifié en partenariat avec la Haute Autorité de Santé (HAS).

Difficile de faire mieux en matière de conseils de santé ...

[Tugdual]

Sur l'Avventura :
-> Devenir artiste à 83 ans ...

[freeshost]

The domesticated male / marry a penguin.

If you want a great husband, marry a penguin.

[freeshost]

If you're looking for Asperger therapist in the United States, for example in New York City, here you are.

[freeshost]

Il y a anche des séminaires sur l'autisme en Italie, à Montezemolo, par exemple.

__________


Allein zu zweit, das Buch von Katrin Bentley über Asperger-Syndrom, in dem sie seine Erfahrung mit ihrem Eheman Asperger in Australien erzählt. [En passant, le suisse-allemand de Berne, le Bärntütsch, n'est pas si difficile à comprendre. ]

Beschreibung ihres Buchs / Description de son livre : [Traduction / Übersetzung]

Lors de son voyage en janvier 1987 en Australie, Katrin ne se doutait pas du tout qu'elle rencontrerait Gavin, l'amour de sa vie. À peine quelque mois après, il lui fait une demande de mariage qu'elle accepta sans hésitation. Pour cet homme atypique, l'enseignante de 27 ans était déjà prête à quitter son lieu d'origine au bord du lac de Thoune (en Suisse allemande), sa famille et ses amis et à s'installer à Down Under (expression anglo-saxonne qui désigne l'Australie). Mais les premières difficultés ne tardèrent pas à apparaître. Pourquoi, se demande Katrin, Gavin se laisse facilement distraire par les petits bruits ? Pourquoi se comporte-t-il sans tact avec les invités ? Pourquoi a-t-il un si gros besoin d'être seul ? Pourquoi est-ce que les sentiments des autres ne l'intéressent pas ? Et, par dessus tout : Pourquoi ne vient-il pas à mes côtés quand je vais mal ? L'absence d'empathie émotionnelle de son mari l'a amenée à devenir toujours plus créative. Plus d'une fois, Katrin, entre-temps mère de deux enfants, proche du désespoir. Mais abandonner n'était pour elle pas une option, et c'est ainsi qu'elle chercha des explications quant au comportement de Gavin. Sept après leur mariage, le diagnostic était enfin établi : syndrome d'Asperger. Katrin commença à s'investir intensément dans le phénomène de l'autisme, fit une formation de conseillère psychologue et ouvrir son propre cabinet pour aider les personnes avec le syndrome d'Asperger et leurs partenaires ainsi que sauver leurs relations.

[freeshost]

Deux Canadiens sur trois ne savent pas ce qu'est le consentement sexuel.

Savoir que le consentement de toutes les parties est requis (et pas seulement pour les relations sexuelles) et peut disparaître s'il n'est pas entretenu, ça me semble une des habiletés sociales de base.

Neda Topaloski et Femen Canada

[Cathy]

Je n'arrive pas à passer cette vidéo avec les balises Youtube


Modération (Tugdual) : Correction de balise YouTube("http:" et simplificaton).

[Cathy]

Merci Tugdual, dis moi est ce qu'il existe un fil qui recense les divers colloques, formations, journées etc qui s'adressent à un public d'adultes autistes ?

Pour par exemple y déposer ce genre de lien : http://locamin.unblog.fr/2015/05/06/6em ... c-autisme/

[Benoit]

A lire le programme, je ne suis pas sûr que ça justifie forcément un long déplacement pour des personnes adultes avec autisme du type S.A..

Le sujet est vaste et ils couvrent tout dans la journée, je vois peut être une heure vraiment pertinente (plus la conclusion).

[Cathy]

Je vois la même chose Benoit, mais recenser les formations pour adultes me semble indispensable. Beaucoup d'adultes se plaignent et ils ont raison, si ces plaintes peuvent être étayées c'est encore mieux.

[Benoit]

Je crois qu'il y avait un (des) paragraphe(s) sur la question du manque au niveau du 3e plan autisme.

En tout cas là où je suis tout le monde y compris le C.R.A. est d'accord sur le fait qu'il n'y a rien de vraiment existant, et je pense qu'il faut être force de proposition si on peut.