(futurs) Parents étudiants
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Re: (futurs) Parents étudiants
Je suis parent, et je suis contente pour vous, félicitations .
Devenir parent, ça fait mûrir, du coup ça peut aussi booster (il parait qu'en ce qui me concerne, j'ai vécu une vraie transition "de ma façon d'être", positive, en devenant maman)... il fautjuste faire un peu attention pour que ça ne vous oblige pas à arrêter vos études (surtout la maman), mais si vous êtes bien entourés, et que vous ne vous privez pas des aides sociales que fourni la France, ça devrait aller. Perso, avoir un enfant ne m'a pas privé d'interactions sociales ou d'activités à l'extérieur, vu qu'en j'en avais déjà pas... et du coup ça n'a pas été le chamboulement que tout le monde avait l'air de prédire.
Pour les frais, attention c'est surtout les frais de garde qui coûtent cher. A moins d'avoir une mamie très disponible (ou alors deux mamies normalement dispos et qui se relaient). Pour les couches, vous pouvez investir dans du lavable (j'en avais acheté 15 pour 50€, d'occasion... rentabilisé en 2 mois, sachant que vous en avez pour deux ans de couches minimum, ça fait dans les 1000€ d'économie quand même.... j'utilise des jetables en complément quand j'ai zappé le lavage, mais globalement j'y ai quand même gagné... bon par contre faut une machine à la maison). Pour les vêtements etc, il y a les solutions déjà citées, et les dépôts vente aussi (des vêtements à 2-3€, comme neufs, et tous au même endroit).
L'avantage, c'est que si vous vivez à deux, déjà vous faîtes des économies sur le loyer (étudiante, pour moi la collocation était juste pas envisageable, du coup je devais payer mon loyer seule, et c'était donc un gros budget). Etant à faible revenu et avec un enfant à charge, vous pourriez même avoir droit à un logement HLM.
Si jamais vous avez des questions de "comment s'organiser", "quelles solutions à ceci/cela", "comment vous vivez ceci/cela", "comment faire des économies avec un bébé" (ça je suis douée), n'hésites surtout pas à les poser ici ou par MP, en tous cas!
Encore félicitations et beaucoup de bonheur à votre petite famille .
Devenir parent, ça fait mûrir, du coup ça peut aussi booster (il parait qu'en ce qui me concerne, j'ai vécu une vraie transition "de ma façon d'être", positive, en devenant maman)... il fautjuste faire un peu attention pour que ça ne vous oblige pas à arrêter vos études (surtout la maman), mais si vous êtes bien entourés, et que vous ne vous privez pas des aides sociales que fourni la France, ça devrait aller. Perso, avoir un enfant ne m'a pas privé d'interactions sociales ou d'activités à l'extérieur, vu qu'en j'en avais déjà pas... et du coup ça n'a pas été le chamboulement que tout le monde avait l'air de prédire.
Pour les frais, attention c'est surtout les frais de garde qui coûtent cher. A moins d'avoir une mamie très disponible (ou alors deux mamies normalement dispos et qui se relaient). Pour les couches, vous pouvez investir dans du lavable (j'en avais acheté 15 pour 50€, d'occasion... rentabilisé en 2 mois, sachant que vous en avez pour deux ans de couches minimum, ça fait dans les 1000€ d'économie quand même.... j'utilise des jetables en complément quand j'ai zappé le lavage, mais globalement j'y ai quand même gagné... bon par contre faut une machine à la maison). Pour les vêtements etc, il y a les solutions déjà citées, et les dépôts vente aussi (des vêtements à 2-3€, comme neufs, et tous au même endroit).
L'avantage, c'est que si vous vivez à deux, déjà vous faîtes des économies sur le loyer (étudiante, pour moi la collocation était juste pas envisageable, du coup je devais payer mon loyer seule, et c'était donc un gros budget). Etant à faible revenu et avec un enfant à charge, vous pourriez même avoir droit à un logement HLM.
Si jamais vous avez des questions de "comment s'organiser", "quelles solutions à ceci/cela", "comment vous vivez ceci/cela", "comment faire des économies avec un bébé" (ça je suis douée), n'hésites surtout pas à les poser ici ou par MP, en tous cas!
Encore félicitations et beaucoup de bonheur à votre petite famille .
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Re: (futurs) Parents étudiants
Je fais partie des gros lourds qui ont du mal à se réjouir.
Par contre, bien entendu je vous souhaite du bonheur avec ce petit, il existe, donc accueillons-le avec bienveillance.
Je vous souhaite du courage aussi car, au delà des mots d'encouragement il y a la réalité, pas toujours rose.
Et, contrairement à Josef Schovanec, je ne vous souhaite pas un enfant aspie.
Attention, je n'ai rien contre les aspies, bien au contraire, mais je vous trouve bien jeunes et démunis financièrement pour affronter la naissance d'un enfant aspie.
Voilà, Ogawa, tu connais mon état d'esprit, il n'a pas changé depuis notre dernière discussion, en fait.
Par contre, bien entendu je vous souhaite du bonheur avec ce petit, il existe, donc accueillons-le avec bienveillance.
Je vous souhaite du courage aussi car, au delà des mots d'encouragement il y a la réalité, pas toujours rose.
Et, contrairement à Josef Schovanec, je ne vous souhaite pas un enfant aspie.
Attention, je n'ai rien contre les aspies, bien au contraire, mais je vous trouve bien jeunes et démunis financièrement pour affronter la naissance d'un enfant aspie.
Voilà, Ogawa, tu connais mon état d'esprit, il n'a pas changé depuis notre dernière discussion, en fait.
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.
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Re: (futurs) Parents étudiants
oui, je suis à 100% d'accord avec Mars
en tout cas, ne refusez pas l'aide des professionnels qui doivent vous suivre, sinon elle vous sera imposé ... et ça sera bcp moins sympathique.
donc, pas de réjouissance pour le Had non plus.
en tout cas, ne refusez pas l'aide des professionnels qui doivent vous suivre, sinon elle vous sera imposé ... et ça sera bcp moins sympathique.
donc, pas de réjouissance pour le Had non plus.
TSA
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Re: (futurs) Parents étudiants
Vous vous êtes mis dans un beau merdier, le retour sur Terre va être violent. J'espère me tromper. Bon courage.
F84.5 | Things go wrong so that you appreciate them when they're right, you believe lies so you eventually learn to trust no one but yourself, and sometimes good things fall apart so better things can fall together.
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Re: (futurs) Parents étudiants
3 messages "non socialement acceptables" C'est normal, ce sont des modérateurs du forum
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: (futurs) Parents étudiants
Je les trouve super pessimistes... à 17 ans j'ai passé le BAFA, et à 20 ans j'encadrais une troupe de jeunes scouts presque toute seule (faute d'autres volontaires), avec un camp de 15 gamins à gérer l'été (ça j'étais pas seule, mais j'étais le point focal vu que je m'en était occupée pendant l'année). C'était des responsabilités, mais ça a été ultra formateur, et m'a permis de beaucoup apprendre. Lisez la suite avant de dire "ce n'est pas comparable".
Je me souviens qu'une dame de l'équipe d'encadrement (il y avait quand même une équipe vu qu'il y avait plusieurs tranches d'age à encadrer + la coordination globale + la tréso à faire etc) avait dit à la réunion bilan un truc du genre: "franchement, quand j'ai su que tu allais prendre la responsabilité de la troupe cette année, j'ai pensé que tu pourrais pas le faire (je vous laisse imaginer tous les a priori qui pouvaient bien être derrière), mais chapeau, tu as vraiment bien géré, tu m'as épatée, je ne m'y attendais pas".
On me prenait pour une débile à cause de mes déficits sociaux, mais on avait sous-estimé mes capacités à faire les choses "bien" parce qu'on m'en avait donné la responsabilité.... et que je suis du genre à pas prendre une responsabilité à la légère (contrairement, certes, à beaucoup de gens). Le truc, c'est qu'une fois qu'on prend conscience qu'on peut faire les choses, on en fait de plus en plus, et on mûrit de plus en plus... c'est un cercle vertueux.
Avoir des responsabilité, c'est le meilleur (le seul?) moyen de grandir. Je ne crois pas que la capacité à "assurer" soit une question d'age... je pense que c'est une question d'apprentissage (même si bien sur, quand on est plus âgé, on a plus de chances d'avoir eu d'autres responsabilités donc d'avoir déjà appris des trucs.... mais c'est pas automatique, ça dépend du vécu, et il y a des gens de 35 ans qui sont moins mâtures que d'autres à 20 ans).
Quand j'étais en thèse, je me suis entendue dire "pas de bébé", ou tu tues tes chances de réussir. En réalité, trois jeunes femmes de mon labo en ont eu, et elles n'échouent pas plus que les autres dans la suite (presque... au contraire!).
Cette idée qui se transmet selon laquelle pour faire des enfants, il faut "attendre le bon moment", peut être qu'elle avait du sens à l'époque de nos parents. Elle n'en a plus, maintenant, car il n'y a plus de bon moment. Après nos études, c'est la précarité qui nous attend. Tous. De nos jours, même un CDI n'est plus un gage de sécurité financière. Alors est-ce que faire des gosses quand on a 20 ans c'est risqué? Oui. Mais ça l'est autant quand on en a 30, alors qu'en conclure? Qu'on doit plus du tout en faire?
Ou qu'on doit dire m*** aux modes de vie sécuritaires qui ne permettent aucun épanouissement, et à la place vivre sa vie pleinement malgré les risques? Perso, j'ai choisi la seconde option (=partir loin dans un pays étranger inconnu, et faire des enfants malgré la précarité de nos emplois)... et pour le moment, je n'ai pas eu à le regretter. Car oui, il y a plus de contraintes avec ces choix de vies, mais une fois dedans, on se rend compte que si on cherche bien, on trouve toujours des solutions au final: quand on veut, on peut.
Je me souviens qu'une dame de l'équipe d'encadrement (il y avait quand même une équipe vu qu'il y avait plusieurs tranches d'age à encadrer + la coordination globale + la tréso à faire etc) avait dit à la réunion bilan un truc du genre: "franchement, quand j'ai su que tu allais prendre la responsabilité de la troupe cette année, j'ai pensé que tu pourrais pas le faire (je vous laisse imaginer tous les a priori qui pouvaient bien être derrière), mais chapeau, tu as vraiment bien géré, tu m'as épatée, je ne m'y attendais pas".
On me prenait pour une débile à cause de mes déficits sociaux, mais on avait sous-estimé mes capacités à faire les choses "bien" parce qu'on m'en avait donné la responsabilité.... et que je suis du genre à pas prendre une responsabilité à la légère (contrairement, certes, à beaucoup de gens). Le truc, c'est qu'une fois qu'on prend conscience qu'on peut faire les choses, on en fait de plus en plus, et on mûrit de plus en plus... c'est un cercle vertueux.
Avoir des responsabilité, c'est le meilleur (le seul?) moyen de grandir. Je ne crois pas que la capacité à "assurer" soit une question d'age... je pense que c'est une question d'apprentissage (même si bien sur, quand on est plus âgé, on a plus de chances d'avoir eu d'autres responsabilités donc d'avoir déjà appris des trucs.... mais c'est pas automatique, ça dépend du vécu, et il y a des gens de 35 ans qui sont moins mâtures que d'autres à 20 ans).
Quand j'étais en thèse, je me suis entendue dire "pas de bébé", ou tu tues tes chances de réussir. En réalité, trois jeunes femmes de mon labo en ont eu, et elles n'échouent pas plus que les autres dans la suite (presque... au contraire!).
Cette idée qui se transmet selon laquelle pour faire des enfants, il faut "attendre le bon moment", peut être qu'elle avait du sens à l'époque de nos parents. Elle n'en a plus, maintenant, car il n'y a plus de bon moment. Après nos études, c'est la précarité qui nous attend. Tous. De nos jours, même un CDI n'est plus un gage de sécurité financière. Alors est-ce que faire des gosses quand on a 20 ans c'est risqué? Oui. Mais ça l'est autant quand on en a 30, alors qu'en conclure? Qu'on doit plus du tout en faire?
Ou qu'on doit dire m*** aux modes de vie sécuritaires qui ne permettent aucun épanouissement, et à la place vivre sa vie pleinement malgré les risques? Perso, j'ai choisi la seconde option (=partir loin dans un pays étranger inconnu, et faire des enfants malgré la précarité de nos emplois)... et pour le moment, je n'ai pas eu à le regretter. Car oui, il y a plus de contraintes avec ces choix de vies, mais une fois dedans, on se rend compte que si on cherche bien, on trouve toujours des solutions au final: quand on veut, on peut.
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Re: (futurs) Parents étudiants
Message supprimé
Modifié en dernier par Cryptobiose le jeudi 25 février 2016 à 23:26, modifié 2 fois.
TSA TDA
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Re: (futurs) Parents étudiants
Qui vivra verra, car de toutes manières, les dés sont jetés .
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Re: (futurs) Parents étudiants
Nymphaea, disons que quelques personnes du forum connaissent personnellement Ogawa, et suffisamment bien pour s'inquiéter, ce qui me semble assez normal...
Le SA n'est pas simple à gérer pour soi-même, alors avec un enfant à 19 ans. Je dois avouer que je suis également dubitative.
Rien n'est figé, heureusement. J'espère sincèrement que cela se passera bien.
Le SA n'est pas simple à gérer pour soi-même, alors avec un enfant à 19 ans. Je dois avouer que je suis également dubitative.
Rien n'est figé, heureusement. J'espère sincèrement que cela se passera bien.
30 ans, autiste cru 2013, trans (il/lui), Brest. Ex AVS, artiste, diplômé en Art. Propriétaire d'un Loup intérieur et dérapeur de réalité. ⚥
"Sire, sire, on en a gros!"
En bordure du bout du monde + La manufacture des loups + BANG! + Ouroboros
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Re: (futurs) Parents étudiants
Je comprend ça. Ce que je voulais dire, c'est que quand même, parfois les apparences sont trompeuses. Si ça me touche c'est justement parce qu'on m'a moi-même prise pour une débile en me jugeant sur ce que j'avais l'air d'être, et que finalement mise face à des responsabilités, je me suis révélée être très différente de ce que je semblait être (en fait, je fais du transfert empathique, un peu ).
J'aurais pas forcément conseillé à quelqu'un d'avoir un enfant à cet age, mais là, ce qui est fait est fait, du coup je vois pas trop l'utilité de lui faire la morale et de plomber sa confiance en lui.
Je préfère y croire.
J'aurais pas forcément conseillé à quelqu'un d'avoir un enfant à cet age, mais là, ce qui est fait est fait, du coup je vois pas trop l'utilité de lui faire la morale et de plomber sa confiance en lui.
Je préfère y croire.
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- Localisation : オルセー
Re: (futurs) Parents étudiants
Peut être que les modos savent que c'est eux qui joueront le rôle des "grands parents" ?
Ca expliquerait leur réticence.
Ca expliquerait leur réticence.
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Re: (futurs) Parents étudiants
Le problème, c'est que d'autres personnes dans le même cas peuvent tomber sur ce fil. Si tout le monde dit "super !" ça pourrait les encourager à faire de même...Nymphaea a écrit :J'aurais pas forcément conseillé à quelqu'un d'avoir un enfant à cet age, mais là, ce qui est fait est fait, du coup je vois pas trop l'utilité de lui faire la morale et de plomber sa confiance en lui.
(et puis revenir poster pile poil au bout 12 semaines de grossesse (délai légal ivg), c'est limite, ou alors une grosse coïncidence)
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Re: (futurs) Parents étudiants
Des grands-parents?
30 ans, autiste cru 2013, trans (il/lui), Brest. Ex AVS, artiste, diplômé en Art. Propriétaire d'un Loup intérieur et dérapeur de réalité. ⚥
"Sire, sire, on en a gros!"
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Re: (futurs) Parents étudiants
Dans la pratique, il faut bien que quelqu'un assume de s'occuper des enfants.
Dans certains cas, ce sont aux grands parents qu'ils sont "refilés" pendant que les parents continuent à s'amuser. Ou aux grands frères/soeurs dans les grandes familles.
(Je ne cherche à donner de conseil à personne).
Dans certains cas, ce sont aux grands parents qu'ils sont "refilés" pendant que les parents continuent à s'amuser. Ou aux grands frères/soeurs dans les grandes familles.
(Je ne cherche à donner de conseil à personne).
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Re: (futurs) Parents étudiants
Nous ne sommes pas de la famille...
(personne de la modération)
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