inhibition intellectuelle

[freeshost]

À mon avis, mieux vaut être motivé à ne rien faire que ne pas être motivé. Parfois, je suis motivé à rester au lit. Après tout, se reposer n'est pas rien.

[ClaraO]

Fatigue mentale et confusion mentale, oui, c'est fréquent. Tout redevient normal quand je suis isolé du monde et du bruit pendant une journée ou deux. Je retrouve alors mes esprits, mon énergie et ma créativité. Sinon, je suis en mode survie

Pareil pour moi. Par exemple j'adore lire, mais certains jours je suis tellement vidée intellectuellement et physiquement parlant que je n'arrive plus à déchiffrer la moindre phrase ! Alors qu'une fois au repos, je suis capable de lire deux livres en deux jours...

[Claradoll]

j'y suis sujette actuellement, ça me fiche en l'air, on dirait que je ne suis que l'ombre de ce que j'ai pu être. Trous de mémoire, percussion un peu plus lente, impression de me perdre. Je me sens totalement vidée depuis le mois d'août, dépression (ça aide surement pas).

Je ne peux plus ouvrir de livre alors que j'adore ça...

Mon conjoint étant HP (je suppose THQI même) + très probablement aspie, y'a des comparaisons malheureuses qui se font seules dans la tête... (lui est meilleur, gère mieux....).

Quand je suis dans ma famille, je me réduis... si je leur parle comme je parle à mes amis ils seront largués en 2 minutes. Obligation de descendre du tabouret et ça me dérange.

[misty]

Je fais remonter ce sujet car je viens de découvrir ce terme d'inhibition intellectuelle. Je le perçois vraiment complètement lié à la dépression, comme un refus de réfléchir. Et aussi à la procrastination: trop dur d'y penser maintenant on verra plus tard. Le vivez-vous comme ça? Avez-vous eu des périodes d'inhibition intellectuelle hors état dépressif?